Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
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Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Fév 2023, 10:36

Par contre si y a pas hors jeu à la fin, :? :lol:

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Fév 2023, 10:55

Dragan a écrit:Par contre si y a pas hors jeu à la fin, :? :lol:


Et donc tu trouve que c'était pas un bon geste?
Un ballon qui va rentrer, à la place tu as un péno, donc une petite chance qu'il n'y ait finalement pas but.
Si le péno est raté, c'est bingo et Gigot est un héros de s'etre sacrifié.
Si le péno est marqué, tu joues à 10 pour 2 min avant les TaB, je crois pas que ça changeait grand chose.

En tout cas, Messi de mes couilles pour lequel les journaleux en mettent partout, il s'est fait dominé par Gigot :lol:

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Fév 2023, 10:59

Bah ça change dans le cas où Gigot est suspendu 2 matchs en championnat.

Ce geste m'a fait rire parce que le mec vit OM à chaque seconde où est sur le terrain, mais au pire si y a but y a les penos derrière donc c'était pas "si" grave

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Fév 2023, 11:53

Je le trouvais déjà bon en début de saison quand Tudor l´avait replacé en stoppeur gauche. Mais depuis la Coupe du Monde, il est bon partout. J´adore son dépassement de fonction et sa volonté d´amener le surnombre en attaque. Il offre toujours une solution au porteur du ballon comme Mbemba. Pas le joueur le plus talentueux certes mais il est bon sur le terrain. Belle affaire de Longoria.

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Fév 2023, 12:30

D'accord avec Dragan. Sortir volontairement le ballon de la main, ça ne peut pas être appelé le bon geste. La main de Suarez, comme celle d'Henry, on en parle encore. On n'a pas besoin de ça.

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

11 Fév 2023, 22:41

On a ptet perdu Gigot pour le reste de la saison ce soir

Très très mauvaise nouvelle vu la non fiabilité de Bailly

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

11 Fév 2023, 23:48

Rongier, où es-tu ? ^^

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

13 Fév 2023, 11:45

Pas de fracture décelée ce dimanche, IRM prévu ce jour , espérons plus de peur que de mal [-o<

Rien de grave, il va manquer Toulouse et pourrait être de retour contre le PSG :prosterne:

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

13 Fév 2023, 16:36

Très bonne nouvelle

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

13 Fév 2023, 20:43

Son état d'esprit de gladiateur fait plaisir à voir. On sent que ce n'est pas de la flûte à la fois quand il se blesse comme son attachement.

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

14 Fév 2023, 13:42

Information
OM; Gigot, retour probable début mars
L'Equipe.fr

Sorti sur civière lors du déplacement victorieux de l'OM à Clermont (2-0) samedi, le défenseur Samuel Gigot devrait manquer le Classique contre le PSG et revenir à la compétition début mars. Touché à la cheville droite à la fin de la première période de Clermont-OM (0-2), à la suite d'un choc avec Aïman Maurer samedi soir, Samuel Gigot a passé une IRM ce lundi, après des premiers examens dimanche qui n'ont révélé aucune fracture. Les résultats sont plutôt rassurants pour le colosse de la défense centrale marseillaise, âgé de 29 ans. Les tendons ne sont pas abîmés, et son absence ne devrait atteindre qu'une grosse poignée de semaines.Son indisponibilité pour le déplacement à Toulouse, dimanche (20h45) au Stadium, est déjà actée. Et le Classique au Vélodrome, le 26 février ? À ce stade, et avec toutes les précautions d'usage, une participation paraît compromise.

Pour composer son équipe face au Paris-SG, Igor Tudor sera privé du Congolais Chancel Mbemba, suspendu pour une accumulation de cartons jaunes, et il devra s'appuyer en priorité sur le trio Sead Kolasinac - Eric Bailly - Leonardo Balerdi, en croisant les doigts pour que ces gaillards n'aient pas de pépins jusque-là.lire aussiToute l'actualité de l'OM

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

24 Avr 2023, 11:00

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

29 Avr 2023, 18:31

Information
Samuel Gigot, de la Placette d'Avignon à Marseille, un défenseur fidèle

Originaire d'Avignon, le défenseur central de 29 ans Samuel Gigot s'épanouit à l'OM, son club de coeur. Il y cultive son humilité et rend fier un entourage qu'il n'a jamais négligé.

Au commencement, il y a la bande de la Placette, dans le centre-ville d'Avignon. À 18 ans, Samuel Gigot l'a tatouée sous le poignet gauche, « LP7 », comme un mot de passe vers les souvenirs d'enfance. À l'aube des années 2000, entre les rues du Rempart Saint-Lazare et des Infirmières, devant les murs de leur école primaire Persil-Pouzaraque, les collègues en culotte courte se donnent rendez-vous pour d'interminables sessions de ballon rond. Philippe, Chaq', Mich', Clem', Flo, Nourredine, Alex, Boulette et bien d'autres entourent Samuel et son grand frère Tony.

Surnommé « Mumu » par ses parents, Samuel devient « Mum », et gare à celui qui le prononce doctement à l'anglaise, rien à voir. Ici, c'est le quartier des Italiens, le pavé populaire, la fraternité joyeuse, sauf le soir d'une finale de Coupe de monde, en juillet 2006. « On n'a surtout pas regardé le match ensemble », sourit Samuel Gigot.

Les Italiens sont dans leur fief, au bar de la Navigation. Les fans des Bleus dans la rue, à scruter les écrans par la fenêtre. Samuel Gigot soutient la France, mais il est hypnotisé par le capitaine adverse, Fabio Cannavaro. « Son retourné dans la surface (italienne, devant Florent Malouda, à la 74e minute), cela m'a marqué, dit-il. J'essayais toujours de le refaire sur le terrain ! Et sa prestance... Marcher comme il marchait. Je voulais tout faire comme lui. »

La tête haute à la Cannavaro, la tempête dans les pupilles, le buste droit et les pectoraux gonflés, Samuel Gigot transposera la démarche dans son club de toujours, la MJC d'Avignon, devenu ensuite l'Avignon Football 84. « Le grand club de la région, avec des éducateurs comme Laurent Paganelli, confie fièrement Anthony Briançon, le défenseur de Saint-Étienne. Mon grand-père m'emmenait au stade Léon-Dulcy et j'ai découvert Samuel quand j'avais huit ans. Lorsque j'étais surclassé, on évoluait ensemble sur le synthétique avec du sable dessus. Pizzas aux genoux garanties... Il était déjà gaillard sur le terrain, posé en dehors. Face aux rivaux du Pontet, du SCO d'Orange ou de l'AS Saint-Rémy-de-Provence, cela donnait de sacrées rencontres. »

Au commencement, il y a une vieille bagnole. Pas la Peugeot 403 de la série Columbo, mais la 404 de Jean-Luc Gigot. Le détective a la silhouette voûtée, le père de famille le corps éreinté par son job de maçon. « Un métier très difficile, on le voyait partir le matin dans le froid, rentrer le soir fatigué, dit Samuel. Il a fait le maximum pour nous. »

Quand il s'agit de trimballer la grande soeur Erika, Tony le rugbyman en herbe et Samuel, il ne rechigne pas à sortir la 404. Il transmet son amour de l'OM, les frangins en pincent pour Samir Nasri, « même si on n'avait pas les mêmes qualités », rigole Samuel Gigot. « Puis notre père nous emmène pour le Classique avec le but de Lorik Cana, sourit Tony Gigot, notre première au Vélodrome, mémorable. » Ce 16 octobre 2005, d'une tête au premier poteau, le capitaine de l'OM met fin à une série de huit succès parisiens.

Samuel retourne au stade dès qu'il le peut, mais avec les copains. Il voit son frère, pas encore 17 piges, filer en Angleterre, aux Harlequins de Londres, pour lancer une fructueuse carrière de treiziste. Tony Gigot : « J'étais déterminé à réussir, il a vu aussi les sacrifices qu'il fallait faire. Est-ce que cela l'a aidé ? En tout cas, on s'est toujours poussés l'un l'autre. » À la maison, la maman Caroline, aide-soignante, cache sa peine. « Dans notre famille, c'était plutôt : "Ton frère a peur de rien, toi tu es toujours avec nous !" explique Samuel. Il vivait de sa passion, j'avais le meilleur exemple devant moi. »

En mai 2019, avec les Dragons Catalans, Tony Gigot domine les Wigan Warriors (33-16) au Camp Nou, en Super League. Alors joueur du Spartak, en convalescence, Samuel est en transe dans les travées barcelonaises. Les années à Moscou (2018-2022), abouties sportivement, sont parfois douloureuses. Les histoires de visa prennent des tournures kafkaïennes, la famille vient peu.

Naël, le fils de Samuel né pendant sa première saison au Spartak, grandit en France. Samuel Gigot raconte : « Dès que la séparation devenait trop dure, que j'avais deux jours, je rentrais direct de Russie. Il m'arrivait de faire des allers-retours dans la journée, j'arrivais à 5 heures du matin, je voyais mon fils quatre heures et je repartais le soir. » Ils sont désormais réunis et Naël est « en kiff total », dixit Samuel : « Il voit l'OM partout, va au stade, mes collègues m'envoient les vidéos de lui après les matches, il met l'ambiance. Au foot, il me fait tous les joueurs de l'OM, "un coup, je suis Payet, un coup Veretout, un coup Guendouzi" et il essaie de me dribbler. »

Au commencement, il y a la place de dix-septième en tribune. Entraîneur de l'AC Arles-Avignon, en L2, Franck Dumas fait monter une promesse de la réserve avec les pros, mais le week-end venu, dix-septième homme d'une feuille de match qui s'arrête à seize noms, Samuel Gigot va s'asseoir aux côtés de son père et de son agent, Mohamed Benchenafi. « À chaque fois, loyal, Sam disait : "C'est de ma faute, j'aurais dû être meilleur à l'entraînement", se souvient son représentant. Je ne l'ai jamais entendu critiquer son coach ou ses concurrents en défense. »

En 2012, Benchenafi est venu visiter un joueur sous contrat et il est tombé sur son colocataire de 18 ans, le colosse Samuel : « J'ai aimé l'homme, c'est rare, avant de le voir sur un terrain. » Sur ce second volet, il sera vite épaté par son courage et son intelligence. Samuel Gigot : « Mon souhait était de commencer ma carrière avec lui et de la finir avec lui. Ce n'est pas mon agent, mais mon grand frère. » Il oublie de dire le soutien permanent à la famille de Mohamed Benchenafi, à sa femme et ses enfants, quand celui-ci est tombé gravement malade.

Accompagné par son agent et Gaël Givet, son coéquipier à l'AC Arles-Avignon devenu un mentor, il se construit une carrière linéaire. Courtrai (BEL) à l'été 2015, La Gantoise (BEL) début 2017, puis le Spartak (RUS), les choix sont pertinents, l'intégration express, le brassard ou le vice-capitanat une suite logique. Il sourit : « J'étais du Sud, mais je rêvais d'aller jouer sous la pluie, d'un temps à l'anglaise. En Belgique, j'étais servi ! »

À Courtrai, son coach, le fantasque Karim Belhocine, se souvient de deux moments. Côté pile : « À une soirée dans un restaurant privatisé avant les play-offs 2016, dans la forêt, avec une hutte en plein air, Sam a décidé de prendre la sono et de mettre Danza Kuduro, de Don Omar. Toute l'équipe a dansé à la queue leu leu, c'était irréel. »

Côté face : « Après un nul cruel contre Ostende, alors qu'on menait 2-0, il vient me voir pour débriefer la rencontre. Et il se met à parler, à parler, à parler, toutes les analyses sont justes. Ça s'est répété et j'ai compris qu'il finirait entraîneur. » De la Placette à la famille, tout le monde en est convaincu. Samuel Gigot dit simplement : « J'aimerais bien m'occuper des jeunes, plus tard. »

L'Equipe

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

05 Mai 2023, 18:26

Information
Comment Gigot joue avec le vice pour remporter ses duels
Défenseur atypique, décrié à ses débuts, Samuel Gigot est devenu un élément-clé du dispositif d'Igor Tudor à l'OM. Solide au duel, intense, l'Avignonnais regorge de malice pour dominer ses adversaires.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... ls/1395017

Le titre de l'article... #-o

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

05 Mai 2023, 18:27

Et tu continues à leur donner une tribune ici

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

05 Mai 2023, 18:31

dxd92, Dragan va probablement poster l'article en entier de toutes façons. =P~

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Juin 2023, 18:57

Information
OM; Gigot, la naissance d'un taulier; Aux côtés d'un Chancel Mbemba XXL mais moins utilisé en fin de saison, l'Avignonnais s'est mué en patron d'une défense qui a aussi pu compter sur Sead Kolasinac. Leonardo Balerdi a été irrégulier et Éric Bailly ne s'est pas imposé.

L'image de Samuel Gigot en transe, la gueule ouverte, juché à la façon d'un gladiateur sur le bas du Virage Depé, filets en mains et communiant avec les supporters, restera l'une des plus belles de la saison 2022-23 de l'OM. Ce soir-là de novembre, le défenseur avignonnais avait repris victorieusement de la tête un corner de Jordan Vérétout. En catapultant le ballon au fond des filets, il permettait de mater Lyon (1-0) au Vel' et faisait la fierté de ses proches et de tout le peuple olympien. Mais, défenseur plein de grinta, fiable au duel, qui n'hésite pas à donner de sa personne (Ah, les fameux bandages à la tête...), l'ancien du Spartak Moscou, 29 ans, s'est surtout imposé pour ses qualités défensives. Érigé en "chef" du trident de l'arrière, "Mum" a été l'une des valeurs les plus sûres de cet OM à la sauce Igor Tudor, ne connaissant jamais véritablement de passage à vide pour sa première saison dans son club de coeur.

S'il a parfois subi des coupures pour suspension ou blessures (33 matches joués toutes compétions confondues), Gigot, qui a pas mal bourlingué du côté de la Belgique, a prouvé qu'il est un vrai taulier alors qu'il lui reste deux ans de contrat.

À sa droite, Chancel Mbemba a aussi crevé l'écran une grande partie de la saison. Le 30 mai dernier, le Congolais de 28 ans s'est vu décerner le prix Marc-Vivien Foé récompensant le meilleur joueur africain de la saison en Ligue 1. Cette distinction est une illustration supplémentaire du rendement remarquable et remarqué du numéro 99. Arrivé l'été dernier en provenance de Porto, le gaillard de Kinshasa s'est fondu avec une aisance déconcertante dans l'équipe drivée par Tudor, devenant un leader à la fois par l'attitude et la qualité. Solide, capable de dépasser sa fonction pour claquer quelques buts précieux (7 toutes compétions confondues), Mbemba, arrivé libre, a été une vraie bonne pioche. Il a été moins utilisé par son entraîneur en fin de saison. Sur les dix dernières journées de championnat, il n'a démarré "que" six matches et est même resté scotché sur le banc lors de la victoire à Lyon le 23 avril. Pas de quoi, néanmoins, ternir véritablement une impression d'ensemble plus que satisfaisante pour un élément sous contrat jusqu'au 30 juin 2025.

Le bail de Sead Kolasinac sera-t-il étendu au-delà de la fin du mois ? L'ancien Gunner a, en tout cas, étalé un niveau de performance des plus intéressants depuis l'automne, affichant une montée en puissance très linéaire. Boosté par son but décisif à Monaco avant le Mondial, le Bosnien, qui aura 30 ans le 20 juin, s'est imposé comme un homme de base à gauche de la défense à partir de la reprise. Oubliés son raté monumental contre Tottenham ou ses prestations pataudes des premiers mois de 2022, le gamin de Karlsruhe, en Allemagne, a mis tout le monde d'accord (41 rencontres entre L1, Ligue des champions et coupe de France). Joueur polyvalent (il a aussi été performant en piston), Kolasinac est aussi loué par ses partenaires pour son état d'esprit irréprochable.

Bailly, constat d'échec

Avec 44 apparitions toutes compétitions confondues, ce qui en fait le plus utilisé des défenseurs après Mbemba (45), Leonardo Balerdi n'a jamais perdu la confiance de Tudor. L'Argentin de 24 ans, sous contrat jusqu'en juin 2026, n'est pourtant pas franchement ce qu'on pourrait appeler une assurance tous risques, tant l'ex de Dortmund a pu peser négativement par ses errements sur certains matches. Mais, à son crédit, quand il est concentré de la première à la dernière minute, el Flaco est capable de produire de très bonnes prestations. Éric Bailly, pour sa part, quitte l'OM sans avoir réussi à s'imposer. Très bon voire excellent sur certains matches (à Londres contre Tottenham, à Paris), l'Ivoirien de 29 ans, dont la carrière est marquée par les blessures et pépins physiques, a été sur le carreau de mi-octobre jusqu'à la coupe du monde (cuisse). Alors qu'il était dans le coup en début d'année, il a été suspendu sept matches pour son intervention insensée contre Hyères en coupe. Une absence qui l'a fait reculer en dernier choix dans la hiérarchie, l'ancien défenseur de Manchester United devant se contenter d'entrées en jeu sporadiques.

Enfin, Isaak Touré, qui va rentrer de son prêt à l'AJ Auxerre, aura-t-il l'occasion de se montrer dans un avenir plus ou moins proche ? Entre son arrivée à l'OM l'été dernier et son départ dans l'Yonne en janvier, le géant (2,06 m) de l'arrière-garde, qui n'avait pas été retenu pour la C1, n'a disputé que 65 minutes réparties sur cinq matches.

La Provence

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Juin 2023, 19:44

Gigot est une bonne surprise mais de là à parler de taulier, c'est un peu tôt.

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Juin 2023, 19:47

gigi, oui, on sent un biais sur lui, mais après j'ai kiffé son état d'esprit cette saison. Une vraie réussite de recrutement pour l'instant. Il me fait penser à Julien Rodriguez quand on l'a pris.

Re: Samuel Gigot [-> Juin 2025]

09 Juin 2023, 19:49

Le malheureux a connu pas mal de pépins physiques. En tout cas, il faut bien moins flipper que d'autres et après des premiers temps un peu délicats, il s'est bien repris.

J'ai un peu de réserve encore sur de l'agressivité quelque peu non justifié par moments qu'il pourrait avoir.

A côté d'un top défenseur expérimenté, il serait à mon avis encore bien plus performant. Ce ne serait pas le cas pour tous mais on sent qu'il a cette capacité de progression.

+1 boodream sur son état d'esprit.
Modifié en dernier par Anonymous le 09 Juin 2023, 19:50, modifié 1 fois.
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