[Ex] Gerson Santos Da Silva

Bof, on a lu ça aussi de Cuisance dernièrement

Je me rappel de Pires qui se disait impressionné par De La Pena a l'entraînement... Pour le résultat que l'on connait tous

Pas la bonne époque pour lui, plus récemment on aurait pu aligner un trio Isla Moffi De la Pena.

Très très loin...

J'adore les twwets qui METTENT certains mots en valeur de MANIÈRE random pour attirer l’œil dans la timeline.

Le dernier de qui j’ai lu ça je crois que c’était Lass Diarra

Qui nous avait régalés une demi-saison avant d'en avoir marre et de vouloir se tirer.

Le dernier de qui j’ai lu ça je crois que c’était Lass Diarra

Modou Sougou aussi avait impressionner lors des 1er entrainements , donc bon

Il était pas mauvais Sougou et j’ai le souvenir qu’il était souvent décisif. Après, beaucoup de gens lui ont porté le mauvais œil aussi …

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Gerson, déjà des promesses

La recrue phare de l’été, Gerson, a disputé ses premières minutes de jeu sous le maillot de l’OM, hier contre Sète. Le Brésilien a provoqué un penalty et marqué un but, refusé pour hors-jeu. BAPTISTE CHAUMIER

Il n’y avait pas de public sur les bords du terrain principal d’entraînement de La Commanderie, hier, pour cause de huis clos, mais il y avait des milliers de supporters devant leurs écrans pour assister à la première de Gerson sous le maillot de l’OM. La recrue phare de l’été a été titularisée pour ce deuxième match de préparation face à Sète (2-1) et il y a déjà quelques bribes de leçons à tirer de ses premières foulées.

Aligné en soutien de Dimitri Payet, dans une sorte de 3-4-3, le milieu brésilien s’est placé très haut sur le terrain, se focalisant presque uniquement sur les tâches offensives malgré des replis appliqués. Il a montré quelques belles choses dans l’utilisation du ballon et des prémices de complicité aussi, avec certains coéquipiers, comme son compatriote, Luis Henrique, et Dimitri Payet. Il a plusieurs fois trouvé le premier, le servant dans la profondeur (5e, 44e) sans que les actions ne débouchent sur des situations véritablement dangereuses. Cela a été plus tranchant, encore, avec le Réunionnais.

À la réception d’un mauvais renvoi de la défense sétoise, Gerson a obtenu un penalty, transformé par Payet (42e), passeur décisif, déjà sur le premier but marseillais (Dieng, 15e). Les rôles se sont inversés ensuite et c’est Payet qui a lancé Gerson après un joli une-deux entre les deux joueurs (45e). Le Brésilien a montré sa capacité à se projeter vers l’avant, sans réussite finale sur ce coup-là.

Konrad de La Fuente a joué 30 minutes

Lancé dans la profondeur par Payet, de nouveau, il a ensuite marqué un joli but, piquant son ballon devant le gardien, avant d’être signalé en position de hors-jeu (47e). Dans ce match découpé en trois tiers-temps, selon les souhaits de Sampaoli, Gerson a joué au final une heure, avant la rentrée de nombreux Minots et… d’une autre recrue.

Alors que Mattéo Guendouzi, Cengiz Under et Pau Lopez n’étaient pas sur la feuille de match, Konrad de La Fuente a en effet effectué ses débuts, lui aussi, sous le maillot de l’OM. L’ailier américain, arrivé en provenance du FC Barcelone, a disputé les trente dernières minutes de la rencontre et a dévoilé une partie de ses qualités sur quelques actions.

Sur le côté gauche de l’attaque marseillaise, il s’est ouvert les espaces avec sa vitesse et ses dribbles, se créant même des occasions (66e, 71e). Pour voir les autres nouveaux joueurs marseillais, il faudra être encore un peu patient et attendre, peut-être, le prochain match de préparation face à Servette (D1 suisse), jeudi, à Fos-sur-Mer.

L'Equipe

J'ai un gros catch-up à faire, pas vu les matchs et les confs, je suis en train de regarder celle de Gerson c'est à pleurer de consternation: 95% des questions sont à base de "t'y as vu ici c'est Marseille, tu connais Marseille, t'y es prêt à la pression marseillaise, t'y as visité Marseille?" Sérieux?!

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DEMETRIUS FERREIRA; "Gerson a le bon profil"; L'ancien défenseur brésilien estime que son compatriote, principal renfort de l'OM, a tout pour réussir à Marseille. Il considère aussi que Luan Peres et Luis Henrique seront de précieux atouts cette saison

Il est dithyrambique. Pour Demetrius Ferreira, l'OM a tout simplement recruté "le meilleur milieu de terrain du Brésil" en misant sur Gerson (24 ans), acheté 20 millions d'euros à Flamengo, et auteur de son premier but sous ses nouvelles couleurs jeudi soir face au Servette, à Fos (3-1). "Il a beaucoup de qualités : il prépare le jeu, il est bon en un-contre-un, il est très fort techniquement, physiquement, et fait preuve d'intelligence, détaille-t-il dans un français sans faille. C'est un joueur complet, on voit d'ailleurs qu'il a déjà marqué."

L'ancien latéral olympien (2004-06), aujourd'hui directeur sportif du Futebol Clube Ska Brasil (lire par ailleurs) a observé de nombreux matches de son compatriote. "Il a gagné la Copa Libertadores en 2019 et était alors l'un des meilleurs sur le terrain, rappelle-t-il. Cela fait deux ans qu'il évolue au très haut niveau."

Comment expliquer, alors, que son premier passage en Europe, entre 2016 et 2019 à l'AS Rome puis la Fiorentina, se soit soldé par un échec ? "Quand on part jeune en Europe, ce n'est pas évident de réussir", répond d'emblée "Deme".

Gerson n'avait effectivement que 19 ans lorsqu'il a débarqué en Italie. "Ça dépend du club, du pays... Pour l'adaptation, beaucoup de choses comptent, insiste-t-il. Je vais prendre l'exemple de Luis Fabiano. Il n'a pas réussi à Rennes (en 2000). Il faisait froid, sa famille lui manquait. Il est resté peu de temps et n'a pas beaucoup joué (seulement 12 matches). Il est rentré à Sao Paulo, dont il est devenu le meilleur attaquant, et a été appelé en équipe nationale. Il est ensuite reparti en Europe et a été très bon en Espagne (il a évolué six ans à Séville après être passé par Porto). Aujourd'hui, à l'OM, il y a trois Brésiliens. Ça, c'est bien. Si tu ne prends que Gerson, l'adaptation peut être difficile. Mais il y a Luis Henrique, qui est là depuis un an et connaît le club. Un an, c'est le temps minimum pour un étranger. Je dis cela par rapport à mon époque, même si aujourd'hui c'est peut-être un peu différent car les réseaux sociaux aident beaucoup."

Si les conversations en visios permettent en effet de garder un contact régulier, elles ne ressemblent néanmoins pas à la vie réelle. Et c'est d'ailleurs quand Luis Henrique a été rejoint par Maria Luiza, sa petite amie et future épouse, pendant l'hiver, que ses prestations sur le terrain ont commencé à être très intéressantes la saison passée.

Dans cet environnement, aidé par les autres natifs du pays de Pelé, Gerson pourrait donc très vite s'imposer selon Ferreira. "Il a les caractéristiques et le bon profil pour l'OM, où il faut donner de soi. C'est ce qu'il fait. Il n'y aura pas de problème pour lui."

Quid de son compère Luan Peres (26 ans), arrivé en provenance de Santos la semaine passée, contre la somme de 4,5M€ ? "Je l'ai moins vu jouer, mais de ce que j'ai observé, c'est un très bon défenseur, rétorque-t-il. Jorge Sampaoli a passé pas mal de temps au Brésil (de 2018 à 2021). Il n'aurait jamais voulu d'un joueur moyen, surtout dans un club comme l'OM...Il le connaît déjà, c'est un atout. Je crois, si je ne me trompe pas, qu'il avait demandé à l'Atlético Mineiro (qu'il a dirigé avant de rejoindre la Ligue 1) de le recruter. Il est pas mal physiquement, il faudra juste qu'il s'adapte au jeu, plus rapide qu'au Brésil, mais je ne suis pas inquiet."

De la même manière, Demetrius Ferreira apprécie la progression de Luis Henrique (19 ans). "Je le suivais déjà quand il était au Brésil (à Botafogo). J'avais vu quelques-uns de ses matches, raconte-t-il.C'est un très bon joueur aussi. J'avais fait une interview sur Canal + dans laquelle je prévenais qu'il ne fallait pas s'attendre à ce qu'il soit bon tout de suite, qu'il était jeune, qu'il fallait lui donner du temps pour qu'il s'adapte. Aujourd'hui, il a changé physiquement. Il est plus puissant, plus décisif. C'est bien."

Le finaliste de la Coupe UEFA 2004 est donc confiant pour la suite. D'autant qu'il estime que ses compatriotes sont entre de bonnes mains sous les ordres de Jorge Sampaoli, passé par Santos et Mineiro. "C'est un entraîneur de caractère, ce qu'il faut à Marseille !", conclut-il, aussi enthousiaste qu'optimiste.

La Provence

Match très compliqué hier…

J’arrive pas à voir son poste.

O futchibol europei no esse aquel que el dou Brasil, ai que jogar muito duro su hombrinhos y velozamentchi.

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PAULO CEZAR; "Gerson, laissons-lui du temps"; Le premier champion du monde de D1 demande de la patience envers son jeune compatriote

Aujourd'hui, on peut voir du foot partout et de partout. Y compris l'OM au Brésil. "Sur les chaînes qui appartiennent à Disney", précise Paulo Cezar, qui a donc suivi les premiers matches du championnat de France, devant sa télé à Rio de Janeiro.

"Je vois Montpellier qui nous balade 2-0. Et on renverse le score grâce à deux actions de Payet et on gagne. Après, c'est Bordeaux qui revient de 2-0 à 2-2. Et Nice qui gagne à Lille 4-0 chez le champion ! Moi, l'an dernier, j'étais pour Lille qui jouait vraiment bien. 4-0 ! Incroyable ! Galtier est bon, mais quand même, ce n'est pas normal, aujourd'hui, tout le monde vaut tout le monde, Clermont qui gagne, Angers qui bat Lyon... Comme chez nous, on a Flamengo, un peu Palmeiras et après, 18 équipes qui se valent. Botafogo, mon club de coeur, est en deuxième division avec Vasco de Gama. C'est triste." "Il n'y a plus de grands joueurs, poursuit Paulo Cezar. Au Brésil, il y a une équipe nationale qui joue en Europe : Neymar, Marquinhos, Thiago Silva, Firmino, Fabinho, chez nous, le niveau n'a jamais été aussi bas. Même si ça ne date pas d'aujourd'hui."

On sent bien que la distance n'abolit pas la passion. Paulo Cezar qui n'a joué qu'une saison à l'OM en 1974-75 ("partir a été la pire bêtise de ma carrière" dit-il), l'a gardé dans son coeur. Alors, lorsqu'il y voit des Brésiliens, il est particulièrement attentif.

Il a été le premier joueur champion du monde à évoluer dans le championnat de France, deux mois avant son ami Jairzinho. Les Brésiliens actuels n'ont pas le même pedigree. Mais il demande la patience pour son jeune compatriote Gerson. "Je ne veux pas trop m'exprimer sur lui pour le moment. Laissons-le jouer au minimum jusqu'à la fin de l'année avant de le juger. Il a vécu une expérience en Italie qui n'a pas marché, à la Roma et à la Fiorentina. Il est revenu au Brésil, reparti à Marseille. Ce n'est pas un joueur qui peut faire la différence tout seul, il lui faut de bons joueursà côté, l'OM ne peut pas compter que sur Payet. Il en faut d'autres si on veut de nouveau gagner un trophée. Gerson est un joueur pour organiser. Techniquement, un très bon, il fait jouer, sert les autres. Contre Bordeaux, il fait un bel appel et une belle passe sur le premier but de l'OM. Mais laissons-lui le temps..." Paulo Cezar le connaît particulièrement bien. "J'étais au stade quand il a débuté à Fluminense, il y a six ou sept ans, et j'ai dit au vice-président : 'Ce gamin, il a du talent !' Un an après, il était transféré en Italie. Donc, je le connais bien. Mais tu ne peux pas compter que sur Payet ou Gerson pour gagner des matches contre le PSG, Lille, Lyon, Nice".

Sampaoli : "Gerson dépend aussi de l'équipe"

Jorge Sampaoli, lui aussi, défend un joueur qu'il a tenu à faire venir. "Il arrive d'un football différent, il y a donc un temps d'adaptation, au système, à un nouveau club, de nouveaux partenaires, il faut un petit peu de temps, mais on a vu le talent de Gerson à Flamengo, qui est l'un des plus grands clubs du monde par son histoire et on n'a pas noté de complication particulière à son adaptation à l'OM. Il peut nous montrer ce qu'il a montré à Flamengo. On continue d'avancer pas à pas avec lui. Il y a un autre facteur, c'est le développement de l'équipe, pour qu'il s'installe mieux dans ce collectif. Il sera alors plus important et ce sera le cas de tout le monde. Nous avons 90 % de nouveaux joueurs, quand l'équipe se sera améliorée collectivement, Gerson sera plus performant".

Même à distance, Paulo Cezar reste frustré de ne pas voir le club olympien rivaliser avec les meilleurs. "Je suis passionné par l'OM et je ne comprends pas, avec ce public extraordinaire, qu'il ne gagne plus rien. Ce stade, c'est le Maracana ! Quand je suis arrivé à Marseille, j'avais l'habitude de jouer devant 200 000 spectateurs à Rio et à Marseille, on ne faisait pas plus de 30 000. Mais quelle ambiance ! Ça me fait mal que le Maracana n'accueille plus de grands joueurs de Rio et ça me fait mal que l'OM ne gagne plus rien, avec 50 000 supporters".

Une ambiance que Paulo Cezar et Jairzinho ont failli revivre l'an dernier et qu'ils devraient goûter encore une fois cette saison. "L'OM avait eu la gentillesse de nous inviter avec nos épouses au printemps 2020, mais le covid a mis tout ça à mal. J'espère qu'ils vont penser à nous assez vite, on ne rajeunit pas ! Et puis, 47 ans après, un petit hommage nous ferait plaisir. Revoir ce stade, nos amis, l'OM, communier avec ce public, nous avons hâte de le vivre".

Avec Jairzinho, 77 ans et Paulo Cezar 72, l'OM compte deux supporters à Rio, que les plus jeunes se doivent de connaître. Ils étaient vraiment les Neymar et Mbappé de leur époque. Avec ce plus considérable par rapport au Brésilien du PSG : Paulo Cezar est l'un des trois seuls Brésiliens, avec l'aviateur Santos Dumont et le photographe Sebastiao Salgado à avoir été décoré de la Légion d'honneur française. C'était le 4 août 2016 à Rio, des mains de François Hollande.

La Provence

Pas trop mal hier. On sent une belle aisance technique, mais va falloir qu'il dose un peu plus en caféine.

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Après la pause, il est resté dans les vestiaires. Tite a lancé un autre « Français » : le Marseillais Gerson qui a enfin fêté sa première cape. Avec le numéro 18 sur le dos, l'ancien chouchou du Flamengo a fait dans la sobriété et a essayé de colmater les brèches.

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Le Marseillais Gerson célébrant sa première vraie titularisation, au côté de Casemiro. L'ancienne vedette du Flamengo a réalisé un match correct mais il va longtemps regretter son duel de la 10e minute. Il s'est retrouvé seul face à Gallese, a croisé son tir mais le portier péruvien l'a repoussé du bras.

« Il a fait son match mais pas avec l'envergure de ce qu'il faisait avec le Flamengo », a résumé le consultant de SporTV, Paulo Vinicius Coelho.

Le gars son poste c'est pas finisseur, c'est milieu relayeur. Ça ne doit certes pas empêcher de planter un but de temps en temps quand on en a l'occasion, mais lui reprocher de ne pas avoir transformé cette occasion ? Faudrait leur montrer les vendanges des plus grands avant-centres européens pour mettre un peu de perspective dans leur jugement, alors que eux c'est leur job principal et qu'ils s'entraînent exclusivement à ça.

Un rongier brésilien?