[Ex] Gerson Santos Da Silva

et la raison est certainement la même, ils arrivent tous les deux du brésil et on basiquement enchaîné directement avec nous après avoir fini leur saison
espérons comme l'un comme l'autre retrouvent leur meilleurs niveau la saisons prochaine apres les vacances et la préparations complète du début de saison

Ouais Luan en DC gauche a 5, il avait été bien

Pour le prix qu´ils l´ont payé Luan Peres, c´est en effet une excellent pioche. Certainement pas le joueur du siècle mais un très bon joueur de club.
Pour revenir à Gerson, là où il me surprend, c´est sur sa capacité à rester impactant même en changeant de poste. On peut pas vraiment dire que Sampaoli construit l´équipe autour de lui. Faut qu´il continue comme ça mais en ce moment il fait partie des mecs qui tirent l´équipe vers le haut.

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Gerson s’occupe de tout

À des postes parfois très différents, le Brésilien enchaîne les prestations intéressantes et tire son équipe vers le haut. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT

MATHIEU GRÉGOIRE MARSEILLE – « On sait tous que Gerson a eu un peu plus de mal au début de saison. Il s’est très bien intégré, avec l’équipe, il a assimilé un nouveau Championnat, très différent de celui qu’il connaissait au Brésil, c’est incomparable. Il nous aide beaucoup sur le couloir gauche, il fait des passes décisives, il arrive à marquer, il est très efficace. Quand il est comme ça, il s’avère très important pour nous, on est super heureux de l’avoir avec nous. » La déclaration est signée Mattéo Guendouzi, qui tenait à souligner la performance de Gerson face à Nice.

Hier soir, le Brésilien de 24 ans a été positionné en piston gauche, après avoir été ailier droit contre Monaco, le 6 mars, puis ailier gauche à Brest, le 13 mars, ou à Bâle lors de son entrée en jeu, jeudi. À chaque fois, le couteau suisse de l’OM s’est distingué par des prestations généreuses et cruciales : un but précoce en Bretagne, une jolie passe décisive du gauche en Suisse. Son subtil centre pour Cédric Bakambu, en toute fin de rencontre hier, ressemble beaucoup à l’offrande délivrée à Cengiz Ünder en Ligue Europa Conférence, sur l’égalisation marseillaise.

Interrogé après la victoire contre Nice, l’entraîneur adjoint Jorge Desio raconte le nouvel emploi du Brésilien : « On avait imaginé un 5-4-1, Gerson étant le cinquième joueur. Il pouvait attaquer de l’extérieur, gagner des duels, physiquement, on comptait sur lui. Il a des qualités de puissance face à des joueurs rapides. On ne voulait pas un latéral traditionnel, quelqu’un qui avait un plus gros volume offensif. Et il avait quatre joueurs pour l’aider à défendre. »

Son attitude a évolué dans le bon sens

En première partie de saison, il n’était pas rare de voir Gerson se démener au poste de latéral gauche, sur certaines fins de match. Il a encore réédité l’expérience contre Clermont, en février (0-2, le 20 février). « Au Brésil, on ne me surnomme pas le “Joker” pour rien, j’ai l’habitude de dépanner », racontait-il en souriant avant le déplacement à Brest (4-1, le 13 mars). Son positionnement côté gauche, long de ligne, permet aussi à Jorge Sampaoli de libérer Payet.

Plus encore que son placement, l’attitude du joueur a évolué depuis un début de saison mitigé. Arrivé l’été dernier pour 23 millions d’euros, bonus compris, en provenance de Flamengo, celui qui était considéré comme une des stars du Championnat brésilien a eu du mal à gérer un ego quelque peu boursouflé. En outre, il n’avait pas eu de coupure ni de vacances, et il a pu avoir des creux au début de l’automne. Depuis le match à Nantes où il avait marqué (1-0, le 1er décembre), il a élevé son degré d’intensité, remportant des duels en pagaille, arrêtant de se plaindre à la moindre faute. Ses coéquipiers l’ont adopté. Gerson s’occupe de tout, désormais.

L'Equipe

L’enchaînement sur son but exceptionnel

Ce joueur en a encore beaucoup sous la semelle

Je sais que ce n'est pas son habitude jusqu'alors mais je serai curieux de le voir s'essayer ou s'entraîner aux CF à l'entraînement puis en match s'il est efficace.

Car il est sans doute l'un de nos joueurs avec la meilleure technique, avec Payet, Under et Milik.

Sur l’action du peno c’est du génie

Il va sacrément manquer jeudi

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Gerson confirme sa renaissance

Quelques bons matches à l'été (Bordeaux, Saint-Étienne), à l'automne (Nantes, Brest), mais aussi un paquet de performances moyennes, au mieux. L'ex de Fluminense, de la Roma et de la Fiorentina, acheté pour plus de 20M€, commençait à agacer les supporters et certains de ses équipiers, et a depuis retourné la situation avec brio, partout où Jorge Sampaoli l'a aligné (piston gauche, milieu axial, ailier droit, ailier gauche). Contre le FCN, il a obtenu un penalty puis délivré une assist à Harit, tout en faisant admirer sa vista et son activité. "Techniquement, il est au-dessus, propre, c'est un vrai joueur de ballon qui est dans l'esprit, poursuit Ludovic Asuar. Il fait le taf, ne rechigne pas à jouer à un autre poste que le sien."

"La peur de mal faire est terrible pour un joueur, insiste Meyrieu. Depuis quelques semaines, ça va mieux physiquement et sur le plan de la confiance. Il n'a pas peur de faire les efforts de replacement, a beaucoup d'abattage, il percute, prend les espaces, revient parfois sur ses pas pour ressortir proprement les ballons." Bref, le "Joker" est redevenu le milieu de terrain complet qu'il était à Flamengo, et a retrouvé le niveau qui lui avait permis de devenir un habitué de la Seleçao (4 sélections).

La Provence

Un habitué a 4 sélection c’est un concept quand même

Sur ses premiers matchs on sentait bien que techniquement il avais pas de soucis . Mais mentalement c’était hyper pas ça .

Là il carbure , et même si il vaut pas encore son transfert à mes yeux , on est très très loin du flop qu’on pouvait craindre

Tu es très fort Gerson Santos Da Silva

L'impression qu'il est même pas à fond

Tu lui mets d'autres très bons joueurs à côté, cad du niveau de Payet, il sera encore bien meilleur. Mais on n'a pas ce niveau de joueurs.

Très envie de le voir la saison prochaine avec une adaptation et une préparation physique complètes.

selfmade footix, exactement, et surtout avec des vacances qu'il puisse enfin souffler un peut car au final il arrive chez nous juste après a voir fini sa saison la-bas.

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Gerson monte le son

Laissé sur le banc au coup d’envoi, le Brésilien, buteur, a confirmé qu’il avait pris une nouvelle dimension. REIMS – Le printemps est arrivé et la saison de Gerson est bien en train de prendre une tout autre tournure après les inquiétudes de l’automne. Le Brésilien a inscrit le seul but de la rencontre face à Reims (1-0), hier soir, sur un joli enchaînement, passement de jambes dans la surface de réparation et tir rasant. Et sa frappe a tout changé puisqu’elle a offert la victoire à l’OM, terriblement brouillon dans l’ensemble. Elle a peut-être été aussi une confirmation.

Préservé en vue de la C4

Après une première partie de saison très décevante où il semblait chercher son véritable poste, ses repères et du rythme, le milieu est devenu un joueur essentiel de l’équipe. Son influence grandissante dans le jeu comme les statistiques le prouvent. Jorge Sampaoli avait pourtant choisi de le laisser sur le banc au coup d’envoi, comme Dimitri Payet, certainement en prévision de la demi-finale aller de Ligue Europa Conférence contre le Feyenoord Rotterdam, jeudi. Le choix du technicien argentin était risqué et cela s’est confirmé, tant le jeu de l’OM a ronronné pendant quarante-cinq minutes. L’entrée combinée de Gerson et Payet, au retour des vestiaires, n’a pas tout changé d’un seul coup mais les Marseillais ont soudain mieux maîtrisé le ballon et la menace s’est précisée.

L’ancien joueur de Flamengo s’est signalé une première fois sur un bon ballon de Dieng, manquant le cadre de peu (80e), avant d’adresser une frappe sèche dangereuse bien détournée par Rajkovic (82e). C’est dans le prolongement de cette action que Gerson a offert la victoire à son équipe et trois points précieux dans la lutte pour le podium.

Ses coéquipiers ne se sont pas trompés en le félicitant chaleureusement et en l’entourant à sa sortie du terrain avant qu’il ne soit réclamé pour les interviews d’après match. Le héros de la rencontre, c’était bien lui. Ba. C.

L'Equipe

Superbe action de Gerson sur son but, au début de l'action et à la conclusion

Article sur lui juste avant le match

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Gerson et lumières

Plus serein, plus décisif, le Brésilien, recrue la plus chère de l’été dernier, est devenu un joueur essentiel de l’OM après des débuts compliqués. BAPTISTE CHAUMIER et VINCENT GARCIA

À voir Arkadiusz Milik et Boubacar Kamara surgir du banc de touche pour courir sur la pelouse de Delaune en sa direction avant de l’enlacer, d’autres scènes sont remontées en mémoire. Pour un contraste qui est saisissant. Buteur à Reims (1-0), dimanche soir, Gerson a reçu l’intégralité des suffrages de ses coéquipiers, soulagés par une victoire qui place l’OM en position idéale en vue d’une qualification directe en Ligue des champions.

Le Brésilien n’a pas toujours été célébré de cette manière unanime et festive, et certains de ses buts, comme celui à Nantes (1-0, le 1er décembre), en première partie de saison, ont d’abord été fêtés en petit comité avec ses compatriotes (Luan Peres en l’occurrence) et les hispanophones de l’effectif. Comme un symbole et une frontière à la fois. Tulio De Melo, ancien attaquant de Lille, intermédiaire dans le transfert du joueur, a pourtant toujours cru à l’adaptation de Gerson : « Ce qui lui manquait, c’est de se sentir bien tout simplement. C’était une question d’adaptation. Maintenant, il ressent la confiance des gens et se sent à la maison à Marseille. »

Attiré à l’OM à la demande de Jorge Sampaoli, qui en avait même fait une condition sine qua non de sa venue, le gaucher a tout de suite été épié et vite catalogué dans un milieu où les étiquettes sont si difficiles à décoller. Annoncé comme le meilleur joueur du Championnat brésilien, recruté au Flamengo pour une somme importante – plus de 22 M€, soit la troisième recrue la plus chère de l’histoire du club –, Gerson était donc attendu. Ses débuts hésitants n’ont pas convaincu. Les critiques se sont alors accentuées de la part des observateurs, des supporters et même d’une partie du vestiaire. Mais Sampaoli l’a maintenu dans l’équipe, peu importe le scepticisme ambiant, peu importe aussi les mouvements d’humeur répétés du joueur à l’entraînement ou en match, comme cette sortie du terrain tendue à Lille (0-2, le 3 octobre).

Un temps d’adaptation nécessaire après deux saisons enchaînées

Le Brésilien (24 ans) n’a pas toujours renvoyé une bonne image et les explications qu’il cherchait ressemblaient davantage à des excuses, parfois. Au choix : il n’évoluait pas à son poste de prédilection, il changeait de position trop souvent au fil des matches et il était victime d’une certaine défiance de la part des Français de l’effectif. L’accrochage verbal en plein match avec Mattéo Guendouzi face à Lens (2-3, le 26 septembre), qui s’est limité à une divergence sur le terrain, a illustré ces premiers mois compliqués. Mais ni le staff, ni les dirigeants, ni son entourage n’ont douté de la capacité de Gerson à s’imposer, rappelant qu’il n’avait pas eu de vacances à son arrivée à Marseille puisque le Championnat brésilien se dispute sur l’année civile. « Ç’a été un peu compliqué pour lui au début, c’est vrai, a reconnu son coéquipier, Pape Gueye, hier. Mais il a beaucoup travaillé et vous pouvez voir le résultat aujourd’hui : il marque et fait marquer. »

Pour sa deuxième expérience en Europe, le milieu avait de grandes ambitions et la certitude d’y arriver, cette fois, après un passage raté en Italie (AS Rome et Fiorentina, 2016-2019). De Melo abonde : « C’est un joueur très fort mentalement depuis Flamengo. Il est habitué à la pression. Dans l’équipe, tout le monde a un peu aidé à son intégration même s’il est plus proche naturellement de ses compatriotes Luis Henrique et Luan Peres. Mais maintenant il se sent à l’aise avec tout le monde. Il comprend de mieux en mieux le français et il peut s’exprimer un peu. Ses différents postes ? Ce n’est pas un problème, il faisait déjà ça au Brésil. Il sait s’adapter à ce que lui demande son entraîneur. »

Sa polyvalence est une des clés de son retour au premier plan. Sampaoli a fini par lui faire accepter cette philosophie de jeu si particulière, par lui montrer que d’autres joueurs (Rongier, Payet ou Kamara) évoluaient à des postes changeants eux aussi. Plus apaisé, plus affûté aussi, Gerson a trouvé un second souffle et, au fil de prestations plus convaincantes, a éteint le débat le concernant. Au point d’être devenu l’un des joueurs essentiels de cet OM-là.

L'Equipe

En plus technique et en moins combattif, il me fait beaucoup penser à André Ayew chez nous. Je pensais le voir libre de ses mouvements, mais contrairement Payet, il a vraiment joué à gauche, tout en se projetant quasi avant centre au besoin.

Il est technique mais il fait pas de geste inutile

Pancho11, c'est clair. Je pense qu'on est tous heureux de retourner nos vestes à son sujet.

Un début catastrophique mais il s'est bien repris. Il s'est acclimaté. Un vrai bon joueur de football.