[Ex] Arkadiusz Milik

Il faut qu'il rejoue, il garde une belle côte et son hypothétique revente si Bakambu s'avère fort et constant nous permettra de tenter des trucs pas trop dégueu au mercato (surtout si 2è place il y a ).

A domicile il doit jouer par contre a l extérieur je pense qu' il jouera plus beaucoup

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LES 3 QUESTIONS À MAREK JOZWIAK EX-INTERNATIONAL POLONAIS, PRÉSENT À LENS COMME CONSULTANT POUR CANAL+ POLOGNE; "Arek est très frustré par cette situation"

Marek Jozwiak connaît Arkadiusz Milik sur le bout des doigts. L'ex-international polonais, passé par la France et Guingamp à la fin des années 90 (1996-2000), voulait engager l'attaquant de l'OM au Legia Varsovie, lorsque celui-ci était âgé de 15 ans. Il suit, depuis, la carrière d'Arek de très près. Samedi, il se trouvait à Lens pour commenter la rencontre sur Canal + Sport Pologne.

Que vous inspire la situation de Milik à l'OM ?

Il vit un moment très dur et il est très frustré par sa situation. Le match contre Lens a montré que Jorge Sampaoli a perdu patience envers lui et son attitude ; l'équipe présente maintenant un autre style de jeu, un autre schéma tactique qui ne prend pas en compte un attaquant tel qu'Arek, ce qui était impossible il y a quelques mois. L'entrée en jeu de Bakambu montre à Arek que sa position au sein de l'équipe s'est affaiblie, même si Pablo Longoria et l'entraîneur assurent que les deux attaquants peuvent jouer ensemble.

Comment perçoit-on ses difficultés en Pologne ?

En Pologne, on s'inquiète de ses problèmes de temps de jeu car on est tourné vers les barrages qualificatifs pour la coupe du monde. On aura besoin de lui. Si la situation dure, Milik pourrait être peu utile pour l'équipe nationale. À l'OM, il y a un manque d'alchimie entre Arek et le reste de l'équipe, ce qui est très visible sur le terrain, comme durant le match contre Lille.

Que doit faire Milik pour reprendre le dessus ?

Il doit retrouver très rapidement des automatismes pour que l'équipe et ses leaders reprennent confiance en lui et surtout qu'il puisse être un élément très important dans le plan de jeu de Sampaoli. Hier (samedi), durant l'interview qu'il nous a donnée à la fin du match, Milik a montré combien il est frustré par cette situation. L'entrée de Bakambu, avec son profil différent et son but, prouve qu'Arek a un sérieux concurrent qui pourrait l'empêcher d'être titulaire et créer des problèmes pour sa place au sein de l'équipe nationale.

La Provence

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IL GRIMACE; des questions; Resté sur le banc à Lens, scotché à 1 but en L1, le Polonais s'interroge sur son utilisation et son avenir. Mais l'OM compte sur lui


Jorge Sampaoli fondait beaucoup d'espoirs en lui, imaginant son escouade plus prolifique et plus tranchante avec un vrai buteur dans ses rangs. L'entraîneur de l'OM attendait avec impatience le retour de blessure d'Arkadiusz Milik, mais il a tout de même préféré patienter pour que le Polonais retrouve l'intégralité de ses moyens physiques, histoire d'éviter une rechute. Les délais ont volontairement été rallongés, jusqu'au 30 septembre et la réception de Galatasaray (0-0) en Ligue Europa. Pour quel résultat ? Milik n'est plus que l'ombre du serial buteur qu'il était la saison passée, celui qui changeait le destin des rencontres avec, parfois, une demi-occasion (10 buts en 16 apparitions).

Depuis son come-back, il totalise 9 réalisations, certes. Mais une seule en championnat, contre Lorient (4-1), il y a plus de trois mois, en 694 minutes de jeu. Ses quatre buts en C3 n'ont pas empêché l'élimination, ou ont permis d'être reversé en Ligue Europa Conférence, c'est selon, alors que les quatre autres inscrits en coupe de France l'ont été face à des amateurs.

Le pire, c'est que l'OM renvoie l'image d'une équipe qui joue mieux sans lui et sans réel avant-centre tout court, et que la connexion avec ses partenaires se révèle brouillée, voire inexistante. Comme si les Olympiens découvraient le jeu du natif de Tychy, et vice-versa, certains partenaires lui reprochant, en privé, de ne pas être au bon endroit au bon moment pour recevoir leurs centres. Une sensation qui tranche avec celle laissée, samedi à Lens, par le nouveau venu Cédric Bakambu, qui n'a eu besoin que de trois minutes pour ouvrir son compteur sur un service de Mattéo Guendouzi (lire en page précédente).

Freiné par le Covid qui l'a privé du déplacement à Bordeaux (1-0), transparent contre Lille (1-1), Milik n'a pas participé au succès maîtrisé au stade Bollaert-Delelis. Il l'a suivi depuis le banc de touche, voyant Sampaoli lui préférer Bakambu. S'il se sent affûté physiquement comme rarement depuis son arrivée il y a un an, prêt à batailler sur le terrain, il est apparu frustré, aussi bien par sa non entrée en jeu que par sa situation.

"Parfois, je regarde le chrono, ça fait 20 minutes que l'on joue et je n'ai reçu que deux passes avec un adversaire sur le dos. Ce manque de passes diminue la confiance que j'ai en moi. Avec le coach, on cherche des solutions. Nous avons fait une session vidéo et le fait que nous ne nous procurons pas beaucoup d'occasions est un problème global", a-t-il lâché au micro de Canal + Sport, version polonaise, avant de quitter l'Artois. Il aimerait, aussi, un jeu plus direct, moins horizontal. Il se verrait bien associé à Bakambu. "Il est entré à gauche et je pense qu'on peut jouer ensemble. Mais tout cela dépend du coach", a-t-il ajouté.

Alors, Milik s'adapte, travaille pour essayer d'inverser le cours des choses, les résultats donnant raison à Sampaoli. Ce qui ne l'empêche pas de s'interroger. Les dirigeants olympiens n'ont eu de cesse de lui répéter qu'il se trouvait au centre du projet. Ont-ils changé d'avis ? Cherchent-ils à lui adresser un message alors que le mercato se termine dans huit jours et que l'OM ne serait pas contre une belle rentrée d'argent ? L'attaquant et son entourage se posent toutes ces questions, et aimeraient des réponses. Jusqu'ici, les échanges avec la direction olympienne se sont toujours révélés transparents et honnêtes, et aucun signal allant dans ce sens ne leur a été envoyé, alors que les représentants du joueur n'ont pas reçu d'offre pour changer d'air.

D'autant que, selon nos informations, l'OM n'a aucunement l'intention de modifier la donne. Il compte plus que jamais sur Milik.

La Provence

Ça commence à pas sentir très bon cette histoire

Peut être que ça va le piquer un peu

Après j’ai déjà en tête un paquet de situations qu’il foire tout seul comme un grand. J’espère qu’il se remet en question aussi, parce que dans cet interview, j’en vois pas beaucoup

Batlles c'est devenu Michel Foucault

Ça me fout les boules pour lui

Il est pas irréprochable depuis son retour, mais là c'est abusé, Sampaoli l'a fait passer derrière... Harit, ou degun mm, devant.

Il revient de blessure, et on a vu en Coupes que s'il n'était pas là on ne marquait pas. Ca fait longtemps qu'on a pas eu un attaquabnt de ce calibre, on devrait jouer pour lui au lieu de se branler et de ne pas comprendre la vie quand l'adversaire déjoue notre manège à la con.

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COACHING; Et Milik, il joue quand ? Jorge Sampaoli avait encore décidé de se passer de l'attaquant polonais, entré en toute fin de partie. Un choix de plus en plus incompréhensible tant l'OM patine offensivement

Sa réputation lui collait à la peau. Quand Jorge Sampaoli s'est engagé avec l'OM, voilà bientôt un an, l'Argentin était présenté comme un pitbull. "Dans le monde, il y a des endroits calmes et des endroits intenses. Ce sont ces derniers que je veux", annonçait le Rosarino dans le communiqué officialisant sa nomination le 26 février 2021. On s'attendait alors à voir un technicien aussi déterminé qu'offensif. Acharné, le Sud-Américain l'est assurément. Un aspect de sa personnalité avait en revanche été passé sous silence : le bonhomme est particulièrement têtu. Et lorsqu'il a une idée en tête, difficile de lui faire changer d'avis. Ces temps-ci, Arkadiusz Milik en fait les frais.

Le Polonais est LE "grand attaquant" de l'ère McCourt. Impossible de dire le contraire. Il est l'un des finisseurs les plus redoutables du Vieux continent. Au pays de Jean-Paul II, il demeure une idole, le complément idéal de Robert Lewandowski en sélection. À l'OM, depuis quelque temps, il est en revanche devenu un simple remplaçant. Un cador des surfaces désormais abonné au banc de touche à la manière d'un joueur lambda de l'effectif.

Bizarre, quand on sait que l'idée de départ, il y a un an, était de construire l'équipe autour de lui. Hier soir, dans le climat glacial de Décines, il n'est entré qu'à la 86e minute, à la place de Cengiz Ünder, alors que ses partenaires étaient à la peine depuis déjà bien trop longtemps. Pourquoi une telle attente ? Mystère. Interrogé à ce sujet en conférence de presse à l'issue de la défaite, son coach, bonnet enfoncé sur le crâne, a fait la moue. "Je joue sans véritable neuf car je pense que c'est le mieux pour l'équipe, a-t-il répliqué froidement. Elle fonctionne comme ça. Payet est dans cette position depuis un certain nombre de matches. En réalité, ce n'est pas qu'on joue sans neuf, c'est qu'on joue avec un neuf différent. Il est là, il crée des espaces. C'est une manière de jouer. Elle n'est pas définitive. Mais je ne crois pas qu'en ayant plus de joueurs d'attaque on aurait mieux joué."

On ne le saura jamais. Mais lorsque Moussa Dembélé, un autre véritable avant-centre, est entré côté lyonnais à la 64e minute pour suppléer Emerson, le visage des Gones a considérablement changé. L'OL était alors encore mené 0-1. Sur la touche, l'ex-pensionnaire de l'Ajax et de Naples, lui, patientait. L'OM était dans le dur mais "Sampa" préférait conserver son schéma de jeu et sa stratégie de départ, faisant simplement sortir le toujours aussi fantomatique Luis Henrique à la 70e en faisant entrer Amine Harit à sa place. Dans l'axe, en revanche, c'était le désert... Comme trop souvent ces dernières semaines.

Samedi, contre Montpellier en 8e de finale de la coupe de France (1-1, 5-4 aux tirs au but), c'est justement Milik qui avait débloqué le verrou héraultais en seconde période. Comme quoi, il est très utile. Ce que son entraîneur semble avoir oublié lors de cet "Olympico" très décevant.

La Provence

Il revient de blessure, et on a vu en Coupes que s'il n'était pas là on ne marquait pas. Ca fait longtemps qu'on a pas eu un attaquabnt de ce calibre, on devrait jouer pour lui au lieu de se branler et de ne pas comprendre la vie quand l'adversaire déjoue notre manège à la con.

Surtout que là il y avait des espaces. Match à l'extérieur et Lyon quoi

Tiens, les chacaux de La Provence continuent leur travail de déstabilisation.
Reste à savoir si c’est pour retrouver leurs petits avantages perdus ou s’il travaillent pour quelqu’un.

Y a aucun travail de déstabilisation pour le coup. Se passer de Milik (entrée a la 87eme, allo?) hier c'est une faute professionnelle.

Faut vraiment arrêter de voir des complots partout, ici aussi on est nombreux à ne pas comprendre comment tu peux mettre Luis Henrique titulaire et faire jouer 3 minutes à Milik.

Tous les articles de la Provence sont à charge depuis plusieurs semaines , même quand tu gagnes à bordeaux.

Ils sont clairement dans une logique de destabilisation.

On a commencé à en discuter par MP gob, et tu n'avais pas répondu sur ce point : on peut aussi penser que tu es dans une logique de promotion constante.

C'est pas méchant et tu l'avais mal pris, mais on a l'impression que tu condamnes toute critique envers la direction ou les choix du coach.

Le cas présent, il n'y a pas grand chose à redire sur l'article qui n'a rien d'infamant ni d'orienté.

Modifié en dernier par gaby le 02 Fév 2022, 13:02, modifié 1 fois.

gaby, Gob aime les mecs tatoués c'est son droit non ?

Superolive, seulement si je suis derrière ( sinon je vois pas les tatoos)

Gaby, lis mes messages et tu verras que je suis très critique envers Sampaoli ou les joueurs.
Mais je n’oublie pas les années de misère avec Garcia et AVB ou je n’allais au stade que parce que j’étais abonné tellement c’était chiant.

Je n’aime pas notre animation offensive notamment à gauche,
je n’aime pas notre manque de réalisme offensif qui nous tue un match sur deux,
je n’aime pas vraiment jouer sans attaquant,
je n’aime pas certains recrutements,
je n’aime pas les changements trop tardifs ( genre hier)
mais :

- je prends du plaisir au stade ( plus qu’a la TV d’ailleurs , probablement car on voit mieux le jeu tactique)
- cette équipe et certains joueurs sont attachants
- les résultats sont corrects et la qualification pour une coupe d’Europe reste atteignable
- on a choisi de reconstruire et il faut laisser du temps à ce projet ( deux saisons selon moi pour atteindre les objectifs i.e la LDC)
- on a pas de blé et on est interdit de recrutement

Bref, je reste réservé ( chat échaudé toussa) mais j’essaye d’adapter les critiques aux conditions actuelles.
Je ne vois pas en quoi virer Longoria ou Sampaoli améliorerait les choses par exemple.
Par contre, je reste inquiet sur le côté borné de Sampaoli sur certaines décisions.

Et je suis persuadé que les articles de La Provence ne sont pas neutres.

Je ne suis pas pro Samapoli du tout, mais il me semble pas fantaisiste de noter que La Provence sait être bien plus bienveillante quand elle veut, par exemple avec Mandanda ou avec la bande à Piscsou formée par Ajroudi et composée de Samia Ghali, Louis Acariès et Emile Louis, qu'elle ne l'est envers la direction du club actuellement.

Par contre, essayer doucement de faire passer l'idée que l'objectif cette année c'est juste "l'Europe" et que louper le podium cette année ne serait pas un fiasco, ça me semble orienté aussi