Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
Règles du forum
Répondre

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

17 Juil 2018, 14:37

pbb35, tu as absolument raison 8)

Mais encore sune fois, je suis respecte complètement les gens qui sont heureux et se branlent devant Steevy du loft hein, aucun souci.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

17 Juil 2018, 14:42

boodream, sauf qu'entre se branler, être heureux, et trouver ça débile NRJ12-style, y'a un juste milieu.
C'est l'autre sens du mot "atrabilaire" que voulait donner pbb35, je présume, et c'est vrai que sur ce forum, entre blanc et noir, il y a peu de place pour le gris.

En l'occurrence, je n'étais pas mort de rire sur l'anecdote de l'extincteur. Ca m'a fait sourire tout au plus.
Les mecs se sont retrouvé dehors à 3h du mat en Russie, et Rami t'explique qu'il a cru qu'il serait viré de l'équipe. C'est du domaine de l'anecdote, certes raconté par un mec limité, mais bien plus attachant qu'un vrai débile de NRJ12.

Faudrait régler un peu la mire des couleurs...

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

17 Juil 2018, 14:46

Remind, nan mais je trouve vraiment que pbb35. a raison, je ne plaisante pas.

Je n'arrive clairement pas à avoir de sympathie pour ce genre de trucs :lol:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

17 Juil 2018, 14:51

boodream, ah bon merde!! Mets des panneaux quand tu n'est pas dans l'ironie. :lol:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

18 Juil 2018, 18:43

instant closer

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

19 Juil 2018, 18:42

Très bel interview dans l'Equipe du jour ! Je recommande chaudement à ceux qui ont 1.60€ en poche et passent devant un tabac presse.

De même que je recommande tout aussi chaudement cette anecdote lunaire (même s'il manque la chute sur cette vidéo : arrivée des pompiers et de la police dans l'hôtel) !

:ptdr:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

19 Juil 2018, 23:23

Effectivement, très sympa cette itw

Information
« Comme si j’avais joué chaque match »

Le défenseur, qui n’a pas disputé une seule minute de jeu pendant la Coupe du monde, a été un remplaçant très impliqué et un bon camarade pour détendre l’atmosphère, aussi.

Il s’en est fallu de peu pour qu’Adil Rami ne s’envole sans se confier une dernière fois sur cette épopée magnifique des Bleus, vainqueurs de la Coupe du monde en Russie. Cela aurait été dommage car même s’il n’a pas joué une seule minute, le défenseur central a été un témoin privilégié de cette aventure incroyable et reste un très bon conteur d’histoires. Mardi soir, avant le décollage, c’est assis confortablement dans l’avion qui allait le conduire aux États-Unis, où il passera une partie de ses vacances, que le Marseillais est revenu sur l’après, sur son rôle de remplaçant, sur ce collectif qui a montré un vrai goût du sacrifice, sur ses rapports avec Didier Deschamps. On aurait aimé que son avion reste encore un peu sur le tarmac car on avait encore plein de questions à lui poser.

« (On entend des gens le féliciter. “Merci, merci, c’est gentil”, répond-il). Votre vie a-t-elle vraiment changé ?

C’est chaud, c’est la folie. Écoutez, tout le monde me dit ça. Je ne sais pas comment je vais le vivre mais le regard des gens a changé, c’est sûr. Je suis mal à l’aise.
Déjà, à la base, quand je marche et qu’on me regarde un peu trop je ne suis pas très bien, même si j’essaie de rester naturel. Ça fait bizarre, mais en même temps il y a tellement de gentillesse. C’est une dinguerie. Il y a trop de compliments, trop de gentillesse, trop de messages. Oh putain, c’est un truc de ouf !

Vous partez en vacances. Allez-vous couper un peu avec tout ça ?

Je vais loin de la France, loin du foot, oui(il est en vacances jusqu’au 6 août).Mais pas loin du sport. Jeudi matin (ce matin), j’ai une randonnée à vélo de quatre heures. Je kiffe, c’est mon truc. Je vais en Californie dans les montagnes, près de Beverly Hills. Je vais faire du sport et la semaine prochaine je reprends ma préparation là-bas. J’ai envie de me bouger.

C’est vrai que vous n’avez pas trop forcé en Russie (Rami est le seul joueur de champ à ne pas avoir disputé une seule minute de jeu).

Je vous jure que c’est comme si j’avais joué chaque match ! Tu puises mentalement, vous ne pouvez pas vous imaginer. Sur le banc j’étais à fond et les gars devaient me calmer parfois. Je n’arrivais pas à contenir mes émotions. Les mecs me disaient même : “Casse pas les couilles, tu me stresses !” C’était la folie sur le banc.

Votre entraîneur, Didier Deschamps, a dit que vous seriez liés à vie maintenant. Y a-t-il un joueur avec lequel vous le serez encore plus ?

Non, c’est vraiment le groupe que j’ai kiffé. Il y a eu quelques beaux discours entre nous. On a un groupe WhatsApp. Et je vous jure, après les huitièmes et les quarts de finale, il y a eu des messages où on se disait déjà : “Peu importe ce qu’on va faire dans cette Coupe du monde, on n'oubliera jamais.” Dès les huitièmes. Et certains répondaient : “Non, non, on kiffe, mais on va aller au bout.”

Le déclic, est-ce l’Argentine ?

Après l’Argentine (4-3, en 8 es ), on a compris qu’on avait un style de jeu. Et que ce style convenait à tout le monde au final, les attaquants comme les défenseurs. Ce qu’on a montré contre les Argentins, c’est ce qu’on savait faire de mieux. Il y avait beaucoup de talents dans notre équipe. Et j’essayais comme d’autres de faire passer un message à certains. Le talent, c’est bien, mais si tu ne cours pas pour ton coéquipier, si tu ne couvres pas ton pote qui a perdu la balle ou qui s’est fait dribbler, si tu n’as pas ce don du sacrifice, l’équipe n’ira pas loin. On ne peut pas gagner une Coupe du monde uniquement avec le talent. J’ai vu des mecs qui se battaient les uns pour les autres. J’ai vu Paul (Pogba) qui a mis de côté ses passements de jambes pour défendre. Je l’ai vu dans notre surface dégager de la tête, je l’ai vu prendre Fellaini au duel en demi-finales contre la Belgique (1-0). C’est ça, le football.

Est-ce ce qu’a rappelé Deschamps après l’Australie (2-1, 1 er match de groupe) ?

Oui, certains cadres aussi. Ce débrief a porté ses fruits. Ce groupe était super fort mentalement et finalement mature. Le coach nous a un peu tapé dessus à la réunion. On a vu le comportement des uns et des autres, ça marchait, ça dribblait, à la perte du ballon ça ne revenait pas. C’était de l’anti-football pur et ça sentait la défaite. C’est là qu’on s’est mis à courir les uns pour les autres. Du jour au lendemain.

Des attitudes qui semblaient plus naturelles pour un Griezmann ou un Giroud que pour d’autres.

Il y a en a qui ont dû se forcer, oui. Le petit pont, le grand pont, on t’apprend ça au quartier. Tout le monde kiffe. C’est beau à voir mais ça dure dix secondes. C’est mieux d’être champions du monde. Au final, on gagne le Mondial, car on s’est battus chaque match pendant quatre vingt-dix minutes, parce qu’on a souffert.

Comme en finale face à la Croatie ?

On se doutait qu’on allait souffrir contre la Croatie. Et ce n’était pas plus mal qu’on joue loin de la France, c’est mon avis. Quand on a affronté le Portugal chez nous, en finale à l’Euro 2016 (0-1 a.p.), on pensait tous qu’on allait gagner. Parfois c’est bien d’avoir tes supporters derrière, mais si c’est pour n’être qu’à 90 % en te disant que ça va passer grâce au public, ça ne marche jamais comme ça.

Vos journées n’étaient-elles pas trop longues en sachant que vous n’alliez pas jouer ?

Je n’attendais pas l’entraînement de l’après-midi. Je me levais à 8 heures du matin. Les plus anciens étaient déjà debout, comme Philippe Tournon (l’attaché de presse historique des Bleus, qui a pris sa retraite après le Mondial). Je prenais mon petit-déjeuner. Je remontais une heure dans ma chambre. Et à 10 heures j’étais en salle. Vous demanderez à Franck Raviot (l’entraîneur des gardiens) ou à Greg Dupont (le préparateur physique) qui étaient là. J’étais obligé, c’est dans ma mentalité. Je m’étais imposé une discipline.

Sauf le soir où vous avez gazé vos coéquipiers avec un extincteur à incendie et que tout l’hôtel s’est retrouvé évacué en pleine nuit…

On était assis dehors. Le coach était au téléphone en pyjama. Il est venu vers nous. Je me suis dit que j’allais en prendre plein la gueule. Et, d’un coup, il a fait demi-tour. Le lendemain matin, il me croise et me dit : “Oh le pompier, ça va ?” Ça m’a soulagé car j’avais une boule au ventre, quand même. J’ai aimé cette attitude. Au final, on a déconné jusqu’à 5 heures du matin avec cette histoire, ça chantait, il y avait de l’ambiance. Tout le monde m’a dit que j’étais un malade. Mais aujourd’hui on me remercie presque, ça reste un bon moment de cette Coupe du monde.

Comment avez-vous trouvé Deschamps lors de cette Coupe du monde ?

Je suis allé voir le coach lundi. Je trouve qu’il a changé et je lui ai fait passer le message. C’était important de lui dire ce que je ressentais. Je l’apprécie énormément, comme tout le groupe, car durant cette compétition j’ai beaucoup appris sur lui et de lui. Demain, si je veux devenir entraîneur, ça me servira. Il a mis des règles sur le plan défensif mais il nous a encouragés à prendre du plaisir, à oser, à frapper. “N’ayez peur de rien”, nous disait-il. On était libres. Par le passé, j’ai eu des doutes sur lui, j’ai eu du mal à accepter son fonctionnement. Je le trouvais dur, strict. C’était stressant de jouer en étant scruté de la sorte et en sachant qu’il allait dire quelque chose qui n’allait pas sur mon football. C’est comme ça que je le voyais.

Vous auriez pu lui en vouloir cette fois aussi, car vous n’avez pas joué une seule minute. ..

Le jour où il est venu dans ma chambre avant la demi-finale de l’Euro 2016 contre l’Allemagne (2-0) pour me dire que je n’allais pas jouer, j’ai pleuré. Avant qu’il parte, il a vu que j’étais super triste. Je lui ai dit : “Coach, à la collation je vais sourire, je vais faire des blagues. Ne pensez pas que c’est parce que je m’en fous. C’est pour ne pas montrer à l’équipe que je suis triste et envoyer des mauvaises ondes.”Je ne sais pas s’il me connaissait réellement. Et quand un coach doute de moi, je ne me sens pas bien. J’ai l’impression de passer pour un vicieux, pour quelqu’un de faux. Un entraîneur doit savoir que je suis prêt à 100 %. Ça m’a fait mal à l’époque mais cette fois cela n’avait rien à voir. Il y avait une défense (Varane-Umtiti) qui marchait du tonnerre. »

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 08:02

Super interview qui sort aussi un peu des codes et de la communication lisse au possible actuelle.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 08:05

Superbe. Le passage sur DD est magnifique

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 09:44

Quand tu lis ça, tu sais pourquoi il l’a pris ( en plus de son excellent niveau en DC).

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 11:33

itw à faire lire de force à Cabestron.

Toute la différence entre un type pas génial mais avec suffisamment de bon sens pour comprendre ses forces et ses faiblesses, et que son intérêt coïncide avec celui de l'équipe et un kéké crétin terminal comme le Rémy.

C'est vraiment un type attachant.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 11:35

Dommage qu il est pas jouer quand même , en finale DD n'a fait que 2 changements il me semble .

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 11:41

marcos011, DD allait le faire entrer mais a changé de plans quand on a pris le 2è. Merci Lloris ! :mrgreen:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

20 Juil 2018, 11:47

marcos011, il a fait les 3
Nzonzi, Fekir et Tolisso
À 4 1, il le faisait sûrement rentrer

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

31 Juil 2018, 02:31

Information
Instant PEOPLE - Le Mondial 2018 est terminé, les joueurs de l'équipe de France peuvent maintenant reprendre une vie (presque) normale. Adil Rami s'est offert quelques moments de vacances cette semaine avec Steven Nzonzi, Samuel Umiti et Paul Pogba à Los Angeles pour faire visiter la ville californienne au trophée de la Coupe du monde. C'était aussi l'occasion pour le joueur de l'Olympique de Marseille d'enfin rencontrer sa "belle-mère", ce dimanche 22 juillet.


En couple avec Pamela Anderson depuis un peu plus d'un an, Adil Rami a été filmé par le site américain TMZ avec la mère de cette dernière, Carol Anderson, et plusieurs proches à leur arrivée au Ivy, un restaurant branché de Beverly Hills.

La star de "Alerte à Malibu" ne s'est pas attardée devant la caméra, et a rapidement poussé tout le monde à l'intérieur du restaurant, laissant juste le temps au journaliste de filmer la poignée de main entre le champion du monde et "belle maman".

Ce n'est qu'après le repas que le journaliste de TMZ a pu interroger Carol Anderson sur cette fameuse rencontre, et elle était plutôt enthousiaste. "C'est un mec super, il est très gentil," a-t-elle déclaré. Interrogée sur les rumeurs de mariage de sa fille, elle s'est amusée de la question mais a affirmé qu'elle ne savait absolument rien. Elle a tout de même donné sa bénédiction, au cas où.

Le couple s'est rencontré lors du Grand Prix de Formule 1 de Monaco en mai 2017. Depuis, Pamela Anderson s'est rendue plusieurs fois au stade Vélodrome pour voir jouer son compagnon avec l'OM, mais aussi en Russie pour le soutenir pendant la Coupe du monde.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

07 Aoû 2018, 00:23

Information
Adil Rami - Pamela Anderson

LA SIRÈNE ET LE CHAMPION DU MONDE


Depuis quatorze mois, la star d’ « Alerte à Malibu », et le défenseur central de l’OM, vivent une belle histoire. Qui en a surpris plus d'un... DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT

MATHIEU GRÉGOIRE (avec V. G.) MARSEILLE – C’est une histoire d’amour, d’eau fraîche et de sable chaud. La silhouette la plus connue de Malibu et des longues plages télévisuelles du dimanche après-midi qui croise un ancien jardinier de Fréjus, adepte du crossfit et des tacles puissants, devenu champion du monde de football. Dimanche 22 juillet, dans un restaurant charmant de Beverly Hills, The Ivy, Pamela Anderson, cinquante et un ans, a présenté à Carol, sa maman, Adil Rami, trente-deux ans. « C’est la première fois que je le rencontre en chair et en os. Est-ce qu’ils vont se fiancer ? Je ne sais pas, mais je donnerai ma bénédiction, c’est un garçon adorable ! » a expliqué la mère de la naïade aux caméras du site TMZ. Ancienne serveuse sur l’île de Ladysmith, au large de Vancouver (Canada), mariée à Barry, réparateur dans une imprimerie qui lui a toujours écrit de la poésie, elle déborde de bienveillance pour le french boyfriend.

Pamela et Adil se sont rencontrés au Grand Prix de F 1 de Monaco, fin mai 2017. Quelques semaines plus tard, leur idylle est révélée au grand public. À l’OM, on est d’abord interloqué. « Adil a mûri, il s’est posé auprès de sa femme (Sidonie), il est papa de charmants jumeaux (Zayn et Madi) depuis septembre 2016 », nous confiait un membre du staff pendant le stage d’avant saison, visiblement peu au fait de la nouvelle situation conjugale du défenseur central. On pense d’abord à une passade estivale, à une rencontre aussi furtive qu’intense. Il n’en est rien. Le 24 août 2017, dans une jolie robe à fleurs, une grande blonde traverse la zone mixte du Vélodrome après le match de Ligue Europa entre l’OM et Domzale (3-0). Les suiveurs et les stadiers se pincent, plus personne n’écoute Valère Germain débriefer la nette victoire face à l’équipe slovène. Apparition divine, Pamela Anderson flotte au-dessus du sol et tous n’ont d’yeux que pour elle.

Combien de personnes, coéquipiers, journalistes ou inconnus croisés au bord de la route, combien seront-ils à féliciter Rami les mois suivants ? Mention particulière à tous ceux nés dans les années 1980, scotchés à chaque course de C.J. Parker dans son maillot rouge si seyant, pendant cinq saisons de Baywatch (Alerte à Malibu dans la version française). Ils lui disent souvent : « Incroyable, Adil, tu réalises le fantasme de notre adolescence !’’», raconte un proche. Le joueur, qui prétend ne pas avoir regardé la série, sourit à pleines dents mais évite soigneusement de s’étaler sur le sujet. « Je laisse les gens croire ce qu’ils veulent croire, nous confie-t-il le 30 septembre dernier. J e n’aime pas trop en parler. Peut-être qu’elle est avec Nolan Roux ? » Habile et taquin, il se protège derrière la rumeur d’un site parodique, reprise par des médias classiques, faisant état d’une aventure entre Pamela et le buteur du FC Metz. Intarissable sur tous les sujets, du système de jeu d’Unai Emery à Séville à la mode parfois tendancieuse chez les footballeurs, capable de sorties d’une drôlerie folle, il laisse le soin à Pamela de s’exprimer sur leur couple.

“On lui dit souvent : “Adil, tu réalises le fantasme de notre adolescence !” raconte un proche. Le joueur, qui prétend ne pas avoir regardé la série, sourit mais évite de s’étaler sur le sujet

« Il ne parle pas bien l’anglais, je ne parle pas bien le français, explique-t-elle au Daily Mail, début 2018. Mais nous avons un langage commun, celui de l’amour. Notre relation va au-delà des mots. Il se soucie énormément de moi. Nous avons une vie merveilleuse et simple, sans strass ni paillettes. Nous avons tous les deux des enfants, et nous essayons de résoudre au mieux l’équation. On veut protéger notre amour, car il y a beaucoup de fausses informations nous concernant. Adil me dit que je suis un alien. Il m’a demandé de lui montrer mon permis pour lui prouver mon âge. Il m’a dit que c’était impossible que j’ai cinquante ans, et pas trente ! »

Comme Pamela, leur histoire résiste aux affres du temps. Dès juin 2017, sur les rivages de Saint-Tropez, Adil se promène avec Pamela, l’un des deux grands fils de celle-ci, Dylan, et leur chien. Elle se rend au Vélodrome avec la famille Rami, sa mère, sa sœur Feda et d’autres cousins. « En février, j’étais dans la loge d’un élu sans savoir qu’elle était voisine de celle de la famille Rami. Soudain, un colosse vient nous dire de ne pas prendre de photos, se souvient le dirigeant d’un club amateur marseillais. On ne le savait pas, mais il y avait Pamela derrière les vitres légèrement fumées. Du coup, alertés, on a essayé de l’apercevoir. » Un stadier du club, habitué à la voir dans l’ascenseur réservé aux VIP, détaille : « Elle baisse la tête, s’éclipse sans un mot avec son chauffeur, on a presque l’impression qu’elle se cache, tant elle est discrète. Mais il n’y a aucun doute, elle est guettée avec plus de curiosité encore que Majooh, la femme de Lucas Ocampos, Francesca, la compagne de Rudi Garcia, ou Montaine, la petite amie de Maxime Lopez. »

Si l’affable Adil s’attarde pour serrer des pognes, refaire le match et prendre les nouvelles, Pamela fonce vers le parking souterrain des joueurs, droite sur ses talons. Après les rencontres, elle aime aller dîner à la Villa, rue Jean-Mermoz, à deux pas du Vélodrome, dans un cadre bucolique. En milieu de saison dernière, elle a quitté Los Angeles pour s’installer avec Adil dans le triangle d’or du VIIIe arrondissement phocéen, dans une villa estimée à 3 millions d’euros. Pour duper les bandits locaux, Rami a eu l’idée d’inventer un vrai-faux cambriolage qu’il médiatiserait, afin qu’on les laisse ensuite tranquilles. Avant de se raviser. Toujours apprêtée, Pamela aime glisser sa main sur les froufrous de Pom, une boutique de prêt-à-porter sur le haut de la rue Paradis. Elle passe parfois une tête au Monoprix du rond-point du Prado, va plus sûrement visiter un primeur près de la place Delibes. « Elle a une prédilection pour les fruits rouges et tout ce qui est répertorié comme détox », dit l’un des vendeurs.

“Il ne parle pas bien l’anglais, je ne parle pas bien le français. Mais nous avons un langage commun, celui de l’amour. Notre relation va au-delà des mots

Pamela Anderson au « Daily Mail  » en janvier 2018

À Paris Match, début juin, Pamela la végétarienne révélait la recette de plusieurs smoothies « énergétiques » mis au point pour son footballeur : le doucereux banane-framboise-fleurs de bleuet-baie d’açai-beurre d’amandes-lait de coco ou le plus corsé guacamole avec de la coriandre, de l’ail et des oignons blancs. Dans des restaurants cosy de Marseille non loin de son domicile, comme le Café populaire ou le Comptoir marseillais, elle ne refuse pas une coupe de champagne ou de crémant rosé de Provence.

Sa seule appréhension reste les bains de foule et les fans un peu collants. Lors de la présentation du nouveau maillot Puma de l’OM, le 4 juillet à la Casa Delauze, où elle semble parfois s’ennuyer, le président Eyraud essaie de faire la causette. Pamela éconduit les photographes professionnels et les gratteurs de selfies qui tournent autour de sa table. Seul l’audacieux Oualid Tanazefti, premier agent de Paul Pogba, aura droit à une faveur : elle dédicacera son maillot « pour Tana ». L’actrice commence à avoir de bonnes bases en français, et en soccer, un sport que cette férue d’art contemporain ne connaissait pas. « Une chorégraphie ! narre-t-elle à Paris Match, ardente. Je suis tout près du terrain. C’est tellement immense, on n’imagine pas. Je découvre le jeu, les feintes… C’est compliqué, épuisant, une performance ! » Accompagnée de Feda Rami, elle a suivi la demi-finale France-Belgique du Mondial russe, avant d’assister à l’épilogue face à la Croatie et de poser fièrement avec son homme et le trophée. Bien sûr, cela ne vaut pas un Oscar, pour cette admiratrice de Russ Meyer, l’un des cinéastes fétiches de Quentin Tarantino. Elle aurait tourné pour lui sans se faire prier. « Fellini, aussi, c’est costaud, glissait-elle à So Film début 2016. Globalement, je regarde vraiment très peu de blockbusters. Mon rêve ultime reste de bosser avec Jean-Luc Godard. »

Pour l’instant, elle est la principale protagoniste d’une comédie romantique inattendue, Adil exauçant un scénario dont elle rêvait tout haut dans cette interview à So Film, dix-huit mois avant leur rencontre : « Quand mes deux garçons quitteront la maison, je veux me barrer de Malibu et m’installer en Europe. On m’a dit que là-bas, les femmes plantureuses et ­glamour avaient moins de mal à se faire reconnaître, à sortir des clichés. Paris ou le sud de la France, ­peut-être. J’ai besoin de la mer pas trop loin, car j’y trempe mes pieds absolument tous les jours sans exception…  »


L'Equipe

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

07 Aoû 2018, 06:25

Voici.fr

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

07 Aoû 2018, 11:34

Ils sont sérieux à l'équipe ?

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

08 Aoû 2018, 14:21

Ben... non

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

19 Aoû 2018, 23:26

Completement a court de forme ce soir. Apres coup si j'en sortais un des 2 DC pour Kamara, c'etait Rami. Sur le 1er but, il est nulle part et laisse Sakai totalement abandonne.

Et tout le match je l'ai senti absolument pas dans le coup physiquement.
Répondre