Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
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Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

02 Oct 2017, 07:54

PATRON.

Cette remontée de balle, j'avoue je me suis sègue

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

02 Oct 2017, 08:58

Tout à fait d'accord avec vous. Je le voyais venir comme un bon soldat, à l'instant t il est beaucoup plus que ça =D>

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

02 Oct 2017, 11:16

Tout à fait vrai, ce qui permet d'ailleurs de calibrer le niveau de l'OM sur la scène européenne, vu qu'il était assez loin d'être un "PATRON" en Espagne.

En tous cas il a un super état d'esprit et est vraiment investi avec et pour l'OM, étonnant quand mm, mais c'est vrai qu'il a des liens avec Marseille depuis toujours.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

02 Oct 2017, 18:17

Faut pas oublier que le mec a voulu jouer blesser quand l'equipe etait au plus mal et que La Défense etait pointée du doigt ça aurait été tellement plus simple de se cacher a l'infirmerie

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

02 Oct 2017, 23:45

Comme vous, je suis agréablement surpris par son niveau et son implication.
Belle recrue.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Oct 2017, 16:56

Je sais plus c'est dans quel match, mais j'avais kiffé aussi quand il gueule sur Thauvin après un ballon perdu betement.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Oct 2017, 17:02

onizuka, ce qui est bien c'est qu'il en fait pas trop non plus. Contre Nice il va plusieurs fois brancher Rolando et Sakai sans jouer les gros bras.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Oct 2017, 23:56

onizuka a écrit:Je sais plus c'est dans quel match, mais j'avais kiffé aussi quand il gueule sur Thauvin après un ballon perdu betement.

C'était contre Toulouse. Thauvin avait essayé de dribbler près de notre surface de réparation

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

14 Jan 2018, 22:28

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

27 Jan 2018, 16:16

Sublime itw de Rami par la Provence. Un regal =D> =D> =D>

Information
"Je ne calcule jamais rien" (Adil Rami)

Arrivé à l'OM l'été dernier, le défenseur international de 32 ans est l'un des tauliers du groupe olympien. Il se livre sans retenue

Vous n'avez pas joué à Épinal. Aviez-vous besoin de souffler ?
Adil Rami : Dans ma tête, je m'étais dit que je voulais jouer. J'étais prêt, surtout que c'était une rencontre appréciable pour moi dans le sens où je suis passé par là pendant un long moment. Ces matches-là, je les ai connus (lorsqu'il évoluait en amateur, ndlr), je les aime. J'avais pris mes affaires le jour du départ (lundi) mais le coach m'a convoqué et m'a dit : "Tu vas souffler".Ça m'a fait un peu bizarre, je préfère enchaîner et jouer. Je ne calcule jamais rien. Parfois, ça a été un défaut.

Pourquoi ?
Adil Rami : J'ai toujours voulu tout jouer et m'entraîner à fond. Ça m'a coûté quelques petites blessures. J'avais du mal à me gérer. Maintenant, avec plus d'expérience, j'ai appris à le faire. Si, parfois, je me sens fatigué, j'essaye de faire un petit peu moins à l'entraînement. Mais mon but est de rester toujours près de mes coéquipiers et de montrer que je suis là, H24, sur le terrain avec eux.

Vous avez rarement enchaîné à ce point durant votre carrière. Tous postes confondus, vous êtes le joueur le plus utilisé par Rudi Garcia cette saison. Comment expliquez-vous votre capacité à répéter les efforts ?
Adil Rami : J'ai connu ça à Valence, même à Séville. À Valence, je crois que j'ai fini une saison avec plus de 65 matches (66 exactement, dont 13 en sélection, en 2011-12). J'avais fait tous les matches, on avait perdu en demi-finale de coupe du Roi et de Ligue Europa. J'avais aussi fait tous les matches en équipe de France avec Laurent Blanc, sauf contre le Chili à Montpellier, et j'avais enchaîné avec la préparation et l'Euro-2012. Sur ma capacité à répéter les efforts, il faut demander au préparateur physique, mais il est vrai que mon point fort, depuis que je joue au foot, c'est mon endurance. Je récupère vite.

Le plus paradoxal, c'est que je ne vais jamais en salle de soins... Vous pouvez demander aux kinés, je ne me fais jamais masser. Je ne veux pas qu'on me touche. Cette année, je n'ai dû être massé que deux ou trois semaines, c'était juste pour mon épaule.Je pars du principe que la meilleure récupération, c'est de laisser son muscle se reposer naturellement. Je me dis que si je me fais masser, ça va peut-être habituer mon muscle à être trop chouchouté et même endormi parfois. Je préfère le garder bien tendu (rires).

Comment va votre pectoral droit (il s'était blessé en début de saison et avait manqué le match à Monaco, le 27 août) ?
Adil Rami : Là, ça y est, ça va beaucoup mieux. Quand je lisais la presse, je rigolais, tout le monde disait que c'était une déchirure, mais c'était le tendon qui avait carrément pété ! J'ai un beau défaut physique. Et ce n'est vraiment pas beau à voir (il lève son T.-Shirt, nous montre, en précisant, qu'il ne veut pas être pris en photo à ce moment-là). C'est laid, hein ? En fait, le tendon a été carrément coupé. Le lendemain du jour où ça m'est arrivé, je suis allé voir un spécialiste. Il me faisait faire des tests de trois secondes, je devais me rasseoir et j'étais dans les vapes. J'étais blanc, je transpirais. Même le doc' me disait : "Qu'est-ce qu'il se passe ?" Je n'ai jamais connu une douleur aussi forte. Regardez maintenant(il contracte ses pectoraux), vous voyez ? Ici, je n'ai plus de tendon (visuellement, un trou se dessine). Le spécialiste m'a annoncé que j'en avais pour trois ou quatre mois. Je lui ai alors demandé : "Quels sont les inconvénients de cette blessure ?"Il m'a répondu que c'était esthétique. J'ai alors dit : "Vas-y, je m'en bats les c..." (sic). Je m'en tape, je ne vais pas faire une Ronaldo. De toute façon je ne marque pas souvent (rires) !

Cette blessure m'a en tout cas fait mal. J'ai essayé de reprendre vite et j'ai eu du mal contre Rennes. Je joue beaucoup avec les bras ; sur les sprints, je ne pouvais plus pousser. C'était difficile pour me retourner. Ça m'a aussi fait mal au niveau de mon travail. Tous les jours, je viens une heure avant. Avec le préparateur physique, je fais du gainage, des abdos, des tractions... Et là, pendant deux ou trois mois, je ne pouvais plus. J'avais cette sensation psychologique de me dire qu'il me manquait un truc. Depuis deux semaines, je recommence à faire des pompes, maximum dix.

Qu'est-ce qui vous a le plus surpris depuis que vous portez le maillot de l'OM ?
Adil Rami : Le changement de regard qu'on peut avoir envers nous du jour au lendemain. Je n'ai jamais cherché à vouloir faire des choses hors du terrain pour être apprécié. On sait très bien qu'en football, ce sont tes prestations qui font que tu vas être aimé ou pas. En France, on a cette manie de toujours juger, critiquer, même sans connaître parfois. Quand je suis arrivé, il y a eu des critiques envers l'OM, les joueurs, l'entraîneur, le staff... En l'espace de deux semaines, j'ai vu des gens insulter certains d'entre nous. Et aujourd'hui, je les vois les idolâtrer. Ce changement est incroyable. Ça va dans les deux sens, on peut être bien et en un match ou deux, boom. À Marseille, on est impatient, c'est ce qui m'a le plus choqué. Il y a eu des publics assez sévères dans les clubs où j'ai joué, mais Marseille, c'est un pays dans un pays...

Quelles différences ressentez-vous justement avec ces clubs à l'étranger ?
Adil Rami : Valence est un club qui ressemble un peu à l'OM, avec de l'exigence, de l'impatience. Mais à Marseille, je vois ça différemment. Je suis en France, chez moi, près de ma région, j'ai même des amis d'enfance supporters. Aujourd'hui, ils n'hésitent pas à me dire les choses. Je reçois des messages (sourires). Ils me disent : "Tu peux être mon frère, mais demain tu donnes tout, tu donnes ton corps à la science !"Je réponds qu'il n'y a pas de problème !

Quel effet cela fait d'être de retour en France ?
Adil Rami : J'ai de la chance d'avoir fait cette carrière. J'ai côtoyé les meilleurs joueurs du monde, j'ai joué contre eux. Ça m'a fait bizarre de me retrouver contre Messi et Ronaldo. Je dis peut-être des bêtises, mais j'ai dû les affronter dix ou douze fois chacun. C'est ça l'objectif d'un joueur. Dans les centres de formations, que je n'ai pas connus, on apprend aux gamins que le métier de footballeur est très difficile. Tout le monde pense à signer pro, mais le plus dur, c'est d'aller plus haut et d'y rester. C'est ça, le plus important. Je connais des mecs qui sont en Ligue 1, dans des petits clubs, et se contentent de ça. Ils n'ont pas envie d'aller à l'étranger, pas envie d'aller se confronter aux meilleurs, c'est dommage.

J'ai fait cette carrière, et quand j'ai vu que l'Olympique de Marseille avait l'ambition de grandir, de laver un peu tout ce qu'il y avait avant par le biais de Frank McCourt, du président et du coach, que j'ai vu aussi qu'il y avait des Mandanda, Gustavo ou Payet, je me suis dit que c'était peut-être le moment de revenir, dans une équipe qui va être respectée dans le futur.

D'autres clubs s'intéressaient à vous. Où auriez-vous pu signer ?
Adil Rami : En Angleterre, en Turquie. J'ai beaucoup hésité. Ma soeur s'occupe de moi. Il y avait des bons petits clubs anglais et des clubs qui disputent la Ligue des champions. Grâce à nos connaissances avec le coach, on avait entamé les discussions avec l'OM depuis un petit moment. Je me souviens, ma soeur était à Istanbul, j'étais à Saint-Tropez, et là, je lui ai dit : "Écoute, on va aller à Istanbul (Besiktas), parce que j'ai parlé avec Rudi Garcia, mais je n'ai pas eu de nouvelles du président." J'ai besoin d'affectif, besoin de savoir que tout le monde m'aime au club pour me sentir bien. J'ai donc dit à ma soeur d'accepter Besiktas qui attendait mon accord. Sur le papier, j'étais le choix N.1. Et le N.2 était Pepe. Mais quand Jean-Michel... euh Jacques-Henri... J'allais dire Jean-Michel Eyraud ! (rires) Quand il m'a appelé et m'a fait comprendre qu'il avait vraiment envie de m'avoir, qu'il aimait bien mon caractère, j'ai vite raccroché et appelé ma soeur. Elle était avec quatre ou cinq mecs de Besiktas. Je lui ai dit : "Oublie l'argent qu'il y a en plus en Turquie, je vais à Marseille." Le plus important pour moi était de fouler la pelouse avec des gens qui m'aimaient. Elle m'a ensuite rappelé et m'a dit : "Je suis dans la merde, il y a un autre club turc qui propose maintenant le double de Marseille, on fait quoi ?" La pauvre...

Il s'agissait de quel club ?
Adil Rami : Trabzonspor. Mais je savais que j'en avais encore sous la semelle, que je pouvais encore prendre du plaisir et kiffer dans un club comme l'OM. Je lui ai dit d'oublier. Le plus important pour moi, c'est le terrain.

Vous kiffez donc ?
Adil Rami : Ah oui ! Aujourd'hui on est bien. Marseille, c'est comme ça. On a intérêt à bien jouer, à mouiller le maillot, à avoir une bonne cohésion d'équipe pour que tout le monde comprenne ce qu'est exactement l'OM. Parfois, quand tu viens à l'OM, tu oublies que le plus important, c'est de mouiller le maillot. Tu fais des gestes, tu veux essayer de prouver à des amis à toi, ou à certaines personnes dans les tribunes, que tu es technique, que tu es fort. Mais le plus important, ce n'est pas ça. Le plus important, c'est d'aller au charbon ! Si tout le monde fait ça dans l'équipe, tu crains dégun.

Quels rapports entretenez-vous avec les supporters olympiens ?
Adil Rami : Je l'ignore totalement. On ne me voit pas dans les rues de Marseille, à part pour aller au restaurant. Et je vais d'ailleurs toujours au même. Je ne parle pas beaucoup, je poste peu de photos sur les réseaux sociaux. Je ne cherche pas à être absolument aimé, ou à faire des déclarations pour l'être. À 32 ans, je sais comment ça marche, je mouille le maillot, c'est dans mes gènes, dans mes veines. J'ai beaucoup de compliments, mais ce n'est pas pour ça que je vais me rapprocher d'untel ou d'untel. Si on m'apprécie, tant mieux, mais le jour où je serai moins bien, on va me montrer que c'est moins le cas. Je l'ai déjà ressenti après le match de Rennes (le 10 septembre, 1-3). Personne n'a voulu savoir que j'étais blessé, on a tous fait un mauvais match. On n'a pas hésité à me terminer.

Vous avez une cousine, Najet, consultante sur Le Phocéen. Comment ça se passe avec elle ?
Adil Rami : (Sourire) Le problème, c'est que je sais qu'elle est à fond dans le football et qu'elle adore Marseille. Mais quand je la vois, je ne parle pas de foot ! J'évite. Je lui dis de me parler de Playstation, de qui elle veut... Elle le sait. Pour elle, j'ai téléchargé l'application du Phocéen, et pour retrouver sa tête, j'ai dû mettre trois heures. Je lui ai dit : "Va te faire foutre maintenant !" (il se marre). Elle parle bien, je trouve. Elle a un avis tranché. Elle peut parfois être dure avec certains joueurs, mais ces joueurs-là, ce sont mes amis, mes coéquipiers. Je fais la part des choses.

Selon vous, quels sont pour l'instant, les moments clés de la saison ?
Adil Rami : (Il réfléchit). J'ai beaucoup de regrets par rapport au match contre le PSG (2-2, le 22 octobre), à sa physionomie. Ou celui face à Angers (1-1, le 20 août). Je pense aussi au match perdu face à Rennes (1-3, le 10 septembre), au nul à Strasbourg (3-3, le 15 octobre).

Quels sont vos objectifs personnels pour cette seconde partie de saison ?
Adil Rami : Je veux enchaîner le maximum de matches avec l'Olympique de Marseille, continuer sur ce rythme-là. Mon premier objectif, le truc qui me tient à coeur, c'est d'emmener l'OM en Ligue des champions. Avant la coupe du monde. Après, s'il y a la coupe du monde en bonus, j'aurai fait une année parfaite, extraordinaire.

Vous étiez blessé lors du match aller à Monaco (6-1). Comment aviez-vous suivi la rencontre ?
Adil Rami : J'étais encore à l'hôtel, je n'avais pas trouvé de maison. Je l'avais regardée avec des amis. Au bout de 2 ou 3-0, je me suis senti humilié. Même à travers la TV. J'étais touché, vexé, énervé. C'était l'un des moments les plus difficiles de la saison pour moi. Beaucoup de gens m'ont dit : "Si on avait eu Rami..." Mais non, pas du tout ! On est une équipe. C'est pour cela que ce match retour va être important. Au niveau comptable, déjà. Mais nous devons montrer que nous avons du caractère. Nous sommes revanchards.

Retrouvez la suite de son interview, sa réaction après le coup de pied de Patrice Evra, ses débuts en tant qu'employé municipal à Fréjus, sa relation avec Pamela Anderson et la presse people et son avis sur ses coéquipiers aujourd'hui dans La Provence ainsi que sur LaProvence.com (édition abonnés)

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

03 Fév 2018, 03:07

Information
Rami : « J’ai un petit clin d’œil à faire à l’entraîneur adverse. Il a essayé de nous piquer avant le match, de nous parler de son terrain ou pas son terrain. Ici t’es à Marseille, tu rentres, tu prends pas les trois points. Point barre. C’est tout. Voilà. »

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

03 Fév 2018, 09:53

:lol:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Fév 2018, 13:26

Information
"Le langage de l'amour". C'est, selon Pamela Anderson, le mode de communication qu'elle emploie avec Adil Rami, le défenseur central de l'OM qui est son compagnon depuis l'été dernier. Dans une interview donnée au Daily Mail, l'actrice qui a récemment emménagé à Marseille s'est confiée sur leur relation.

"Il se soucie énormément de moi. Nous menons une vie saine et simple, sans strass ni paillettes. C'est vraiment une bonne personne", explique-t-elle. Mais lorsqu'on l'interroge sur une éventuelle abstinence avant les matches importants, pratique courante chez certains joueurs, elle répond "cela ne s'applique pas à nous".

Pamela Anderson a brièvement évoqué sa rencontre avec Rami, l'été dernier, au Grand Prix de Monaco, ainsi que leur différence d'âge. "Adil me dit que je suis un Alien. Il m'a demandé de lui montrer mon permis pour lui prouver mon âge. Il me disait : tu as 30 ans, pas 50 !"

Mis à part ses apparitions dans les tribunes du Vélodrome, la star d'Alerte à Malibu se fait discrète. "Nous voulons protéger notre amour, car il y a beaucoup de fausses informations", explique-t-elle.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Fév 2018, 14:36

Dragan, Il la kiffe parce qu'elle a donné son corps à la Science 8)

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Fév 2018, 15:08

Dragan a écrit:
Information
"Il se soucie énormément de moi. Nous menons une vie saine et simple, sans strass ni paillettes.


Heureusement que Dimitri a décidé cette fois ci de simplifier son jeu et privilégier le une deux, plutôt que le jeu à trois.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Fév 2018, 16:53

Information
Il m'a demandé de lui montrer mon permis pour lui prouver mon âge. Il me disait : tu as 30 ans, pas 50 !"

Merde j'avais lu penis :mld:

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

06 Fév 2018, 16:56

gigi, :lol: "des résultats étonnants". Tu. M'étonnes.

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

19 Mar 2018, 15:14



:|

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

13 Avr 2018, 16:28

Re: Adil Rami [-> Juin 2021]

13 Avr 2018, 19:30

:prosterne:
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