MassaliaLive.com

[Jester]

On vient de prolonger le contrat de Garcia, et en cas de licenciement on va lui filer une blinde en plus de lui payer le restant du contrat...

Bref, grosso grosso, mais alors grosso, on va lui filer 20 à 30M€ si on le vire cet hiver.
Autant vous dire que ça nous plombe le cacato d'hiver voire celui de cet été. Où l'on vendra du Thauvin, du Kamara...

Faut vite réagir, mais on va y laisser des plumes.

[jarlandine]

Mc Court n' a qu' à déduire le dédommagement des salaires de JHE et ceux qui lui ont conseillé de prolonger comme des incapables au plus mauvais moment

[ville]

20 M€, c'est énorme.
C'est ce qu'avait pris Blanc quand il s'est fait virer du PSG.
M’entonnerais que Roudi soit au même niveau.

[Delio]

La loi Macron ne permet pas de limiter les indemnités prud’hommales?

Viré!

[Dragan]

Attend que je mette mon gilet jaune

[Rocca]

Garcia a été prolongé combien de temps ? Si il dégage on lui verse son salaire non chargé non ?

[Jester]

jusqu'en 2021

Il était à 250 000€ en 2016. J'imagine qu'il a demandé largement plus depuis. Il doit être facile à 300 ou 350 000€.

[Kenshi]

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Ligue 1 - Olympique de Marseille : comment Rudi Garcia se justifie après les défaites de son équipe

Rudi Garcia n'a pas épargné ses joueurs après la défaite de l'OM à Nantes (2-3). Depuis le début de l'année, l'entraîneur marseillais est assez imaginatif pour expliquer les contre-performances de son équipe.

La faute à l'arbitre central

Lors du dernier Marseille-PSG (0-2), M. Bastien siffle une étonnante faute de Strootman sur Marquinhos et refuse dans la foulée le but de Mitroglou (86e). Rudi Garcia regrette avec ironie que l'arbitre n'ait pas laissé l'action se dérouler jusqu'au bout pour ensuite faire appel au VAR. « Et si un jour le VAR est mis en route dans le Championnat de France, on ne verra pas ce qu'on a vu aujourd'hui, dit-il juste après le match. Je milite pour le VAR et il n'est malheureusement pas encore en application... »

Quelques temps plus tard, sur RMC, il revient sur cette action du Clasico : « En championnat on est bien à domicile, sauf contre le PSG, qui est aussi un match qu'on n'aurait jamais dû perdre. Mais je ne vais pas y revenir, sinon on va me dire que je ne fais que me plaindre sur l'arbitrage. Je me plains contre l'arbitrage que lorsqu'il y a objectivement des erreurs... Et, contre, Paris il y a eu une grossière erreur qui ne nous a pas permis d'être la seule équipe à faire match nul contre eux. »

La faute aux arbitres de surface

Les erreurs ne sont pas toujours aussi flagrantes que celle-ci. Contre Francfort, lors de la première journée de phase de poules, une main d'Evan Ndicka déviant un centre de Lopez dans la surface aurait pu se siffler (70e), Tout comme un contact litigieux avec Thauvin (82e). Le coach phocéen s'en prend aux arbitres de surfaces, qui « ne servent à rien ». Et réclame le VAR, sans ironie, cette fois-ci : « Tant que l'UEFA n'utilisera pas l'assistance vidéo, on aura des compétitions à deux vitesses. » En fait, avec les erreurs d'arbitrage, il est comme un Cavani des grands jours devant le but : il n'en rate pas une.

La faute au hors-jeu imaginaire

Nouvelle démonstration après « l'Olympico » du 18 mars 2018, marqué par une victoire de Lyon à Marseille (2-3), sur un but tardif de Depay, inscrit juste après un hors-jeu sifflé à l'encontre de Mitroglou. « Dans le temps additionnel, au lieu de voir Mitroglou défier le gardien lyonnais et avoir des grandes chances de mener au score, on se retrouve avec un hors-jeu complètement imaginaire, s'énerve l'ancien technicien de la Roma. Mais aussi un avertissement pour Mitroglou et coup franc qui nous fait perdre. » L'appréciation du hors-jeu est en fait très difficile, car l'attaquant grec est positionné dans son camp, juste avant la ligne médiane.

Le lendemain du match, dans nos colonnes, notre référent arbitrage, Saïd Enjimi, juge la tâche de M. Buquet et de son accesseur peu évidente : « Ça se joue à quelques centimètres... Dans l'absolu, il a les pieds dans son terrain mais le haut du corps est en légère position de hors-jeu. Cela se joue tellement à rien. Mitroglou se penche car il veut prendre de la vitesse. Dès lors que le doute est présent, l'attaque doit être bénéficiaire mais, sur les images, l'assistant de Ruddy Buquet a eu raison. » On est donc loin d'un hors-jeu « complètement imaginaire », qui donne l'impression de prendre l'arbitrage pour paravent.

La faute au manque de préparation

19 août 2018, deuxième journée et déjà un premier crash pour l'OM, à Nîmes (1-3). Rudi Garcia, après le match, est plus tranchant que ses joueurs, pendant. « Il n'y a pas que les internationaux ou les champions du monde qui n'étaient pas en jambes. On n'a pas fait grand-chose pour les aider (dans l'équipe). Mais il faut bien commencer à jouer pour trouver du rythme. On n'a pas su aligner trois passes. C'est déjà pas mal d'être revenus au score mais après on a pris des vagues. On a été mauvais dans l'utilisation du ballon et on ne peut pas gagner un match sans gagner un duel. C'est un accident, il faudra gagner le prochain match (...) Cela faisait bien longtemps qu'on n'avait pas été aussi mauvais que cela. C'était un match sans. On n'était pas prêts, d'accord, mais, malgré l'écart dans la préparation, ce n'est pas normal d'afficher ce visage-là. Après, Nîmes était une équipe bien organisée, ils ont bien défendu et ont été efficaces. »

La faute aux joueurs peu combatifs

A croire que ce coin du sud-est fourmille de mauvaises ondes pour le club phocéen, Marseille s'incline le 4 novembre à Montpellier (0-3), par la faute d'une seconde période d'une médiocrité abyssale. Le coach olympien tape fort, là encore. « C'est grave. Grave de jouer une deuxième période comme celle qu'on a jouée, d'avoir autant d'écart avec une première période solide où on a les meilleures occasions, même si on aurait été inspirés de mener à la pause. On sait que, contre Montpellier, il ne faut pas concéder l'ouverture du score. On a eu l'occasion de prendre l'avantage, on ne l'a pas fait. Mais ce n'est pas une raison pour concéder trois buts sur des erreurs, du laxisme ou un manque d'efforts, comme cela s'est passé. Je n'ai pas vu une équipe qui défendait les uns pour les autres, qui faisait les efforts, les courses offensives, qui amenait de la simplicité... Je suis très en colère. Je suis autant responsable que mes joueurs de cette défaite. Il va falloir des remises en causes individuelles et collectives (...) À moi de prendre les bonnes décisions dans les jours qui viennent. »

La faute aux joueurs qui n'écoutent pas les consignes

Les discours étaient à peu près jumeaux, mercredi soir après la défaite à Nantes (2-3). « On change les hommes et on retrouve les mêmes défauts. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai des ressorts. Certains ont bien joué, d'autres nous ont mis dedans en se relâchant quelques minutes (...) C'est toujours les mêmes problèmes. Depuis deux ans, ce n'est pas faute de dire aux joueurs qu'il peut se passer plein de choses dans les cinq minutes qui suivent un but. C'est à se demander aussi à quoi servent les préparations de matches. On a pris des buts exactement sur les situations qu'on avait travaillées et identifiées, c'est-à-dire sur des centres ou quand Sala est dos au jeu. On a bafoué les fondamentaux. On a la palme de la stupidité ce soir (mercredi). Je ne vais rien dire pour protéger mes joueurs. Je crois qu'on peut s'arrêter là. » Jusqu'à la prochaine fois.

http://www.lequipe.fr/Football/Article/ ... -om/966002

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Les défis qui attendent Rudi Garcia à l'OM

Des résultats irréguliers, une communication brouillée et des choix parfois incompris : l'entraîneur marseillais traverse sa période la plus difficile depuis qu'il est à l'OM. Il doit vite retrouver la bonne formule.

Si l'AS Rome est connue pour son climat instable, ses supporters et ses médias exigeants, l'OM n'est pas mal non plus de ce côté-là. Depuis qu'il a signé à Marseille à l'automne 2016, Rudi Garcia vit sa période la plus délicate sur la durée. L'entraîneur a connu des tempêtes, notamment en début de saison dernière, où des banderoles vindicatives avaient été sorties contre lui et ses dirigeants. Cela n'avait pas duré bien longtemps au fil d'une saison terminée avec une finale de C3 et une quatrième place en Championnat. L'exigence est bien plus élevée désormais.

Mais les résultats ne suivent pas pour l'instant et la forme est souvent désastreuse. Les Marseillais sont déjà éliminés de la Ligue Europa avec quatre défaites et ils en ont concédé six en L1, dont cinq en encaissant au moins trois buts, la dernière à Nantes (2-3, mercredi). Dans ce contexte, le match reporté contre Saint-Étienne dimanche peut être vu comme une bénédiction, tout comme les trois points seulement qui séparent l'OM du podium. Rien n'est irrémédiable mais Garcia doit surmonter les turbulences.

Ressouder un collectif en morceau

Rudi Garcia a déjà endossé tous les costumes : bon ou mauvais flic. Mais les problèmes de l'OM restent les mêmes : trop de buts encaissés, trop de légèreté défensive, pas assez de solidarité entre les lignes. On lui prête la réputation de toujours charger publiquement ses joueurs après une défaite. C'est faux si l'on se souvient de son discours après quelques sorties de route mémorables, notamment à Monaco en août 2017 (1-6), où il avait assumé ses erreurs. D'une manière générale, il a même plutôt tendance à protéger ses hommes devant les médias, quitte à pratiquer parfois la langue de bois ou à pointer du doigt les éléments contraires, au hasard l'arbitrage, par exemple. En privé, en revanche, Garcia n'a jamais ménagé ses hommes. Et Dimitri Payet, qui le trouvait dur à Lille, est servi à Marseille. En public, il met moins de filtres en ce moment.

Si son discours devient plus offensif aujourd'hui, c'est peut-être aussi car il ressent le besoin de se protéger dans une période compliquée pour lui. «Palme de la stupidité», «Certains nous ont mis dedans», «On se demande à quoi ça sert de préparer nos matches». À Nantes, mercredi, dans des proportions encore plus importantes qu'à Francfort (0-4), Garcia a frappé fort devant la presse. Dans le vestiaire de la Beaujoire aussi, où il a dit en substance à ses hommes que leur prestation avait été inacceptable, que certains s'étaient cachés et n'avaient pas respecté les consignes. Jeudi à la Commanderie, il a remis une couche sur l'importance du collectif, soulignant que beaucoup se retranchaient derrière des erreurs individuelles pour ne pas faire les efforts. Un discours visant à ressouder un collectif en morceaux par rapport à la saison dernière.

La méthode musclée n'est pas nouvelle et peine à porter ses fruits. Après Montpellier (0-3, le 4 novembre), les joueurs avaient été convoqués à la Commanderie le lendemain matin, après quelques heures de sommeil, pour une séance vidéo de deux heures, où ils avaient notamment revu en intégralité leur deuxième période, un supplice absolu. D'autres débriefings ont été corsés, comme celui qui a suivi la première défaite de la saison à Nîmes (1-3, le 19 août), où il avait pointé du doigt des attitudes déjà déplaisantes et encore récurrentes, notamment le repli défensif de ses attaquants. Dans son management, il n'a pas hésité à sortir certains titulaires de son onze de départ, comme Jordan Amavi, qui n'a pourtant pas de véritable doublure. Il ne s'est pas embarrassé des statuts non plus puisque Thauvin, à Monaco, ou encore Payet, à Nantes, ont effectué des tours sur le banc eux aussi. En privé, il se dit prêt à continuer à ne pas faire de cadeaux. C'est louable, même si ce n'est pas une réussite pour l'instant.

Rassurer ses cadres

À l'image de sa composition d'équipe à Francfort (0-4), où les bannis ont été envoyés au casse-pipe, sa gestion des hommes a de quoi faire parler, c'est certain. Surtout que les résultats ne lui donnent pas raison pour l'instant. Le désarroi de ceux qui ont été déclassés se fait plus audible, ce qui est naturel. Ils n'ont eu besoin de personne pour se mettre en difficulté mais Garcia a perdu ses deux avants-centres, au fil d'un turnover qui a fini par devenir contre-productif. Kostas Mitroglou et Valère Germain sont aujourd'hui au fond du gouffre moralement. Conscient de ces dégâts, le technicien semble vouloir revenir à une sorte de continuité aujourd'hui puisque l'ancien Monégasque vient d'être aligné trois fois d'affilée. Mais n'est-ce pas trop tard ?

Payet, lui, était sur le banc mercredi à Nantes. Et il n'était pas ravi du tout, ce que l'on peut comprendre. Le capitaine marseillais l'a expliqué en zone mixte par une volonté de son entraîneur de le faire souffler, mais il ne semblait pas convaincu et nous non plus. Le Réunionnais fait partie de la garde rapprochée du technicien mais l'arrivée de Strootman, identifié comme le nouveau chouchou de Garcia, ou la gestion de Thauvin, que son entraîneur ne cesse de complimenter, ont semblé impacter son moral. Des états d'âme personnels, beaucoup en ont cette saison, pour diverses raisons, même Luiz Gustavo, contrarié d'être aligné en défense, ce qui n'est plus le cas. Parmi les cadres, le discours de Garcia passe-t-il encore ? Oui, même si son image s'est écornée, comme auprès de Steve Mandanda. Et le gardien, qui s'est un peu mis en retrait, reste quand même un poids lourd du vestiaire, où son avis compte.

Lutter contre une image écornée

À force d'enchaîner les lourdes défaites, l'entraîneur marseillais a aussi perdu du crédit auprès du grand public, même si les réseaux sociaux, plus véhéments que le Vélodrome, ne sont pas tout le temps une juste photographie de la réalité. Mais dans les discussions avec certains supporters, l'exaspération est palpable, devant la faiblesse du fonds de jeu de l'équipe, un mercato décevant et une communication jugée parfois à côté de la plaque. Alors que son président, Jacques-Henri Eyraud, est bien silencieux dans cette période difficile, Garcia, qui vient de prolonger jusqu'en 2021, se retrouve seul en première ligne. Lui qui aime les défis compliqués, le voilà servi.

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[peezee]

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Alors que son président, Jacques-Henri Eyraud, est bien silencieux dans cette période difficile

sérieux il branle quoi le président là, il prépare un Ppoint pour faire la promo de Jul' ou quoi...?

[Casper]

jusqu'en 2021

Il était à 250 000€ en 2016. J'imagine qu'il a demandé largement plus depuis. Il doit être facile à 300 ou 350 000€.

350k€ hors primes oui

[Jester]

Casper, voilà. Merci.

[boodream]

Ca ferait 10 millions à filer si on le lourde fin décembre, 8 si on le largue en fin de saison.

[spy]

Arrêtez de rever, y a qu’au qatar ou tu prolonges un entraineur et ou tu le vires juste apres. Eyraud se flinguerait en faisant ca. Il va prier et esperer que les planetes s’alignent.

[pretender]

spy, disons que 8 ou 10 M à ce moment de la saison à dépenser pour un chgt de coach, alors que tu n'as aucune certitude pour Eyraud et la direction que ce soit mieux avec un autre, ça paraît d'autant plus difficile à envisager.

Et ce d'autant plus qu'Eyraud a déjà connu Garcia en difficulté l'an dernier et qu'il s'était repris, donc s'il tient compte de ce paramètre, je doute qu'il procède à quelque changement d'entraîneur qui soit. Encore bien davantage si l'on se réfère au discours de FMC et JHE d'avoir une ligne très claire sur ce qu'ils veulent et de ne pas changer les choses à la moindre petite crise comme ils ne cessent de le répéter.

[Dragan]

Garcia sera viré en fin de saison s’il ne finit pas 3eme. C’est ce qui nous attend

Pour qu’il soit viré avant il faudrait 7 ou 8 éfaites de suite quasiment dans les prochains matchs de championnat et qu’on soit largué mais je pense qu’on va un peu se renforcer cet hiver, espérons le et limiter la casse.

Et rendez vous en mai prochain pour savoir si on continue ou non avec Garcia

[Lorenzin']

Je compte sur toi Rudolf pour me faire enrager jeudi en perdant contre les chypriotes et finir avec 1 pts dans la poule.
A moins que tu te décides à mettre une équipe type...

[jarlandine]

Perso, n' enverrai les féminines, ça sera pas pire

[Arno26]

Virer RG maintenant, j’en rêve, mais:
- je vois mal FMC payer les 10M de contrat restant
- je vois mal JHE venir se justifier derrière, ce serait une perte totale de crédibilité pour lui
- je ne sais même pas qui pourrait le remplacer en milieu de saison. Qui accepterait de venir à l’OM et pourrait avoir une vraie plus value? Peut être Jardim et encore, d’une part il préfère jouer avec des jeunes alors que la il va se retrouver avec un vestiaire de trentenaires au bord de l’implosion. Et pour rappel c’était le coach le mieux payé de L1

[spy]

Je ne reve pas de voir garcia partir, car ce n’est pas ca qui resoudra le probleme de l’attaquant et de l’egoisme de cette equipe. Je reve d’une grosse remise en cause et de vraiment apprendre de ses erreurs.

[Lorenzin']

J'espère que tu feras TOUT pour ne pas sauver le peu d'honneur qui reste du club demain, coño...
Invaincu contre la Lazio, tu parles.