Joueurs et staff qui ne sont plus sous contrat avec l'Olympique de Marseille
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Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

09 Mai 2018, 14:59

Pourvu qu'on le prolonge pas

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

09 Mai 2018, 15:01

Surtout pour jouer remplacant, avec le rythme c'est deja pas terrible mais ca fait le job face aux petits clubs au moins, mais sans le rythme ca serait catastrophique

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

09 Mai 2018, 15:02

Il aura apporté pas mal de choses, il nous a aidés mais à présent il faut qu'il s'en aille. Il a 33 ans, un dernier joli contrat en Turquie ça sera parfait pour lui.

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

11 Mai 2018, 11:11

A moins qu’il divise son salaire par 2 ou 3, aucun intérêt


Ces 18 derniers mois on un peu améliorés l’image que j’avais de lui mais on ne peut pas construire avec Rolando

Merci et au revoir

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

15 Mai 2018, 12:25

Sélectionné dans la liste des 35 portugais

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

20 Mai 2018, 09:05

Ben il va plus l'être...

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2018]

31 Mai 2018, 17:07

Sale semaine pour Dragan :mrgreen:

Information
OM : Rolando va prolonger d'un an

Le défenseur portugais jouera à l'OM la saison prochaine.

Les représentants de Jorge Rolando se sont rendus à Marseille, ce jeudi, pour rencontrer les dirigeants de l'OM. Un accord de principe a été trouvé pour la prolongation d'une saison du défenseur portugais comme annoncé dans L'Equipe (le 25 mai). Opéré d'une fracture de la main et d'une rupture du tendon d'Achille, la semaine dernière, Rolando est actuellement au Portugal. Il devrait officiellement parapher son nouveau contrat à son retour à Marseille d'ici deux à trois semaines


https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... -an/906397

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2018]

31 Mai 2018, 23:29

J'attends de voir le montant de son salaire. Mais c'est bien, l'an prochain Hubocan, Pele, Doria, Bedimo se blesseront tous au dernier entrainement de la saison pour choper une prolongation :cretin:

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2018]

01 Juin 2018, 07:01

Rolando en 4eme dc c pas moche

Mais en 4eme uniquement

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2018]

01 Juin 2018, 09:59

Mouais, vraiment en 4e alors...

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

20 Aoû 2018, 13:19

A cause de sa prolongation, on n'a pas pu recruter des joueurs qui auraient pu nous aider contre Nîmes...

En plus, il n'est pas beau.

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

20 Aoû 2018, 15:36

Pas d’accord, il n’est pas si mal pour un microcéphale.

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

21 Aoû 2018, 09:59

Au delà du fait qu’il ne soit pas beau, il est moche.

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

21 Aoû 2018, 11:44

+1
Et il nous a empeché de signer Balotelli.

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

14 Oct 2018, 00:40

Information
Comment allez-vous ?

Très bien. J'ai repris avec le groupe, j'ai retouché le ballon pour la première fois avec mes partenaires (interview réalisée jeudi, ndlr). J'y suis allé doucement, mais la bonne nouvelle, c'est que j'ai repris.


Quelles sont les prochaines étapes ?

Je dois retrouver les sensations, le physique, reprendre confiance dans mon corps, bien faire certains petits mouvements. C'est la dernière étape, la plus cool de toutes, car je suis avec mes partenaires. Je peux prendre du plaisir au quotidien. Je suis proche de faire mon retour.

Quel genre d'appréhension avez-vous ?

Quand tu restes longtemps sans faire les mouvements naturels d'un footballeur, ton corps perd l'habitude. Avec les kinés et les préparateurs physiques, je travaille sur ça, pour réapprendre les petits mouvements. Je dois m'appliquer, ça vient doucement. Ça se passe bien, c'est le plus important.

Votre retour est annoncé pour novembre. Vous confirmez ?

On n'a pas défini une vraie date. Mon corps sera le seul juge. Je serai prêt et disponible pour l'entraîneur dans quelques petites semaines. Trois ou quatre au maximum, à mon avis. Je connais mon corps, je serai vite prêt.

Comment vivez-vous cette longue blessure ?

C'est dur car je ne peux pas jouer. Mais pendant toute ma vie et ma carrière, j'ai appris une chose : il y a toujours un côté positif. En treize ou quatorze ans de carrière, je n'ai jamais passé autant de temps avec ma famille. J'ai profité de mes trois enfants, on a passé beaucoup de temps ensemble. Ils commencent à demander plus d'attention. Maintenant, ils en ont marre de moi ! (Rire) C'est ça, le positif, avoir été à leurs côtés pendant mes soins. Je me reconcentre de nouveau sur le foot. Le négatif existe, mais il y a pire dans la vie.

Arrivez-vous toujours à positiver ?

Ma grand-mère m'a appris ça. La vie et mon expérience m'ont prouvé que c'était mieux d'agir ainsi. La blessure est là, je ne suis pas encore à 100 %. Tout cela, je le sais. Mais je cherche quelque chose de positif sur laquelle me fixer. Je me fixe des petits objectifs, des petits défis. J'essaie de les atteindre le plus vite possible.

En quoi être absent est-il si difficile ?

La saison dernière, j'ai galéré pendant trois mois, je n'étais pas à 100 %. J'ai commencé à sentir une douleur à Dijon (le 31 mars, ndlr). J'ai joué par la suite sans être au maximum de mes possibilités, j'essayais de répondre présent, même si je n'étais pas totalement à l'aise. Pour le dernier match, l'entraîneur m'a demandé si je me sentais capable de jouer. J'ai dit oui, c'était le dernier match au Vélodrome après une grosse saison. Je voulais jouer devant mes enfants, on pouvait terminer sur le podium. Et puis, c'est arrivé... Quand ce genre d'événement se produit, tu commences à réfléchir, à penser à beaucoup de choses négatives. Puis quand tout se normalise, tu te rends que tu ne peux rien changer et que tu dois continuer à vivre.

Les douleurs ressenties dès le match à Dijon ont-elles provoqué cette blessure plus grave ?

Oui. Aux alentours de la 20e minute, je sens un truc bizarre en retombant sur mes jambes après un duel aérien. J'ai dit au doc' que j'allais tenir jusqu'à la mi-temps et qu'après on allait faire un point. J'avais mal au tendon, mais on était dans le sprint final, ce match était important. J'ai essayé de continuer. Je serais sorti si on avait mené 2-0. Mais Dijon égalise, Steve (Mandanda) et Adil (Rami) se blessent. Je n'avais plus le choix, je devais tenir. J'ai fini le match en souffrant. Mais on a gagné, c'était le plus important. J'ai passé une IRM qui a révélé une petite fissure sur le tendon. J'ai commencé les soins, raté quelques matches. Puis j'ai ressenti des douleurs au mollet. Et à la fin, ça a pété. Ce match-là a tout déclenché.

Regrettez-vous de ne pas avoir coupé plus tôt ?

(Ferme) Non, pas du tout. Les seules choses que je regrette sont celles que je ne fais pas. C'est toujours ma décision, que ça se passe bien ou mal. Ma première saison à l'OM s'est mal passée, pour moi comme pour l'équipe. Je me suis demandé si j'avais fait le bon choix. Mais c'était mon choix, j'ai dit que je resterai ici trois ans. Et voilà que j'entame ma quatrième année ! C'est bon signe. Puis le club a connu des changements. Je rêvais de vivre des bons moments à l'OM. Mais la réalité est mieux que les rêves. Arriver en finale européenne est inoubliable, toute la ville était derrière nous. Je ne regrette rien, je suis fier de ce qu'on a fait même si je l'ai payé. Mais ça valait le coup de payer cette addition-là. J'ai pris du plaisir.

Vous êtes-vous sacrifié pour l'équipe ?

Ce n'est pas une question de sacrifice. Ils (les dirigeants) nous payent pour être là. Jouer au football est un plaisir, mais on est pros, on doit être là. À un moment, ton corps te dit de t'arrêter ou de faire une pause. Mais si le docteur ou l'entraîneur te pose la question, tu dis toujours que tu es prêt. Je n'aime pas le mot sacrifié, il est trop négatif. J'ai fait ce que je devais faire, ce que j'aime faire et ce que je voulais faire.

C'est la première fois que vous vous blessez aussi gravement...

Ah oui... Le lendemain de ma blessure, mon agent m'appelle. Je lui explique que le tendon est touché. Il avait pris l'habitude de dire à ses interlocuteurs que, en plus de mes qualités, je n'étais jamais blessé. Je lui ai dit que c'était sa faute si j'étais blessé, qu'il devait arrêter de dire ça (sourire). Le positif, c'est que ça arrive dans les dernières années de ma carrière. Si ça s'était produit il y a dix ans, je ne serais pas au même niveau. Que ça arrive aujourd'hui n'est pas un problème même si j'aime être sur le terrain. Mais je dois l'accepter et vitre avec.

Vous souvenez-vous du moment où vous vous blessez ?

Bien sûr. J'ai dégagé un ballon normal après un contrôle de la poitrine. Puis je sens que quelqu'un me tape derrière le pied. Quand je retombe, je regarde l'attaquant d'Amiens, Konaté, et lui dis : "Oh ! Qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu me frappes ?" Il me répond qu'il n'a rien fait, il se trouvait à deux mètres de moi. Au doc', je dis aussi qu'un joueur m'a frappé, que j'en suis sûr et que je me sens bien. Il me dit que je me suis pété seul et, comme je me sens bien, de me lever et de sortir du terrain. "OK, personne ne rentre alors, je reviens. Pas besoin de m'appuyer sur quelqu'un." Puis je n'arrive pas à marcher et je me résous à sortir. "Le tendon est pété", m'assure le doc. Je n'avais pas de douleur, je sentais juste un coup derrière. J'avais un doigt cassé et j'ai demandé au doc' de s'en occuper plus que de mon pied. Au départ, j'ai cru que le doc' exagérait.

Quand vous apprenez la gravité de votre blessure, vous vous dites quoi ?

Je commence à réfléchir sur beaucoup de choses. Mais je ne réfléchis sur rien, finalement. J'ai beaucoup d'idées dans ma tête sans savoir quoi penser. Je suis un joueur expérimenté sur certaines choses mais pas sur une longue blessure. Pour ça, je suis un gamin de 18 ans.

Au moment de la blessure, vous avez presque 33 ans, êtes en fin de contrat. Imaginez-vous que c'est la fin de votre carrière ?

Non. Car ce sera moi qui déciderai de ma fin de carrière. (Il lève les yeux au ciel) Sauf si le bon Dieu me dit que c'est fini. Ce sera mon choix comme cela a été le cas tout au long de ma carrière. J'espère avoir la chance de décider le jour où je vais arrêter. Ça ne prendra pas beaucoup de temps car ma famille me manque et commence à me demander d'être un peu plus à la maison. Je la comprends encore plus depuis que je passe plus de temps avec elle. Mais je ne veux pas finir sur cette blessure.

Étant libre, votre situation devenait très inconfortable...

La saison était finie, ça m'a fait gagner un mois et demi. Cette blessure tombait à un bon moment. Imaginez que je me sois blessé en début de saison : j'aurais raté cinq ou six mois de compétition, voire presque toute la saison. Là, je manque seulement les deux ou trois premiers mois. Si j'avais eu à choisir le moment de ma blessure, j'aurais opté pour la fin de saison.

Même en étant en fin de contrat et potentiellement sans club ?

Même en fin de contrat, oui. Cette question ne me dérange pas. Je sais que même si je n'étais pas ici, je suivrais des soins et, comme joueur libre, je choisirais un club pour continuer dans un bon niveau. À la fin du match contre Amiens, l'entraîneur et le président sont arrivés dans le vestiaire. Ils me disent de rester tranquille, de prendre soin de moi, que les discussions (sur une prolongation) ont été entamées et qu'on signera le contrat à mon retour au début de la saison suivante. "Tout est calé, ne t'inquiète pas", m'ont-ils dit.

Les dirigeants olympiens se sont bien comportés avec vous...

Oui. Avant ma blessure, je leur avais dit que je me sentais bien ici, que je voulais au minimum finir mon contrat. On a commencé à discuter, ça se passait bien. Après la blessure, on n'a pas beaucoup discuté, on a signé un an de plus. Ils se sont bien comportés avec moi. Ça me rend heureux car ça signifie que j'ai fait quelque chose ici et que je suis un bon pro.

Sans cette blessure, seriez-vous tout de même resté à l'OM ou aviez-vous la possibilité d'aller ailleurs ?

Bonne question. Je ne sais pas et c'est la vérité. À l'époque, on était juste en discussion, mon agent discutait aussi avec d'autres clubs. J'ignore si le club m'aurait donné le contrat que je voulais, si j'aurais choisi une autre option meilleure au niveau financier.

Votre situation vous a-t-elle obligé à revoir vos prétentions à la baisse ?

Non. S'ils m'avaient proposé de signer en coupant en deux mon contrat, j'aurais refusé. Je suis ici parce que je veux y être, que l'OM le souhaite aussi, pas parce que j'y suis obligé et qu'on m'a fait plaisir. Je dois me sentir important. Je me sens important dans le groupe et je dois le prouver aux gens. Je suis encore là car je l'ai senti. Si ça n'avait été que pour me faire plaisir, j'aurais répondu que j'étais touché mais que je ne pouvais pas accepter. Car à mon retour de blessure, je n'aurais pas joué. Je ne suis pas comme ça, je veux jouer tout le temps, faire partie d'un groupe. Après, le coach décide.

On sent que retrouver les terrains vous démange...

Je n'ai jamais raté deux semaines de compétition. Même pendant les vacances, j'essayais de toucher le ballon. J'avais une botte horrible, je ne pouvais même pas marcher. C'était difficile, bizarre. J'avais besoin d'aide pour me doucher. Je ne pouvais rien faire, à part des soins ou des abdos.

Qu'est-ce qui vous manque le plus ?

Être au Vélodrome. Quand tu ne joues pas, que tu vois tes coéquipiers sur le terrain ou entends le stade pousser et mettre la pression, tu sens le petit frisson. Il y a aussi la pression que je me mets pour travailler et être prêt.

Sans jouer, gardez-vous un rôle particulier dans le vestiaire ?

Bien sûr. Le coach dit souvent qu'il a des joueurs cadres, importants pour et dans le groupe, sur le terrain et en dehors. Je ne peux pas apporter sur le terrain, mais je tiens mon rôle à l'extérieur. Il faut gérer le vestiaire pendant dix mois, chacun doit apporter des choses en fonction de son expérience. Parfois, il est important de donner des conseils ; quand tu es en dehors du groupe, tu vois des choses que tu ne vois pas forcément quand tu joues.

Comment envisagez-vous votre après-carrière ?

Il ne me reste plus beaucoup d'années, trois maximum. Je dis à mes enfants que je serai bientôt avec eux 24 heures sur 24. La suite, ce sera ça. Après, ça dépendra si je prends du plaisir seulement avec ça. Le foot va me manquer.

Je pense que je ferai quelque chose plutôt avec les gamins qu'avec les pros, un monde trop compliqué qui demande beaucoup de temps. Je dois libérer mon esprit. Ma tête est plus fatiguée que mes jambes. Avec les enfants, je pourrai tout nettoyer et redémarrer. C'est moi qui prendrai du plaisir, rendrai aux plus jeunes ce que les anciens m'ont apporté depuis mes débuts.


La Provence

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

16 Jan 2019, 22:53

:nawak: :nawak: :nawak: :nawak:

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

16 Jan 2019, 22:55

Il FALLAIT le prolonger.
Se ferait on sans lui?

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

16 Jan 2019, 22:56

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

16 Jan 2019, 23:00

gob, on encaisserait plein de but exactement comme c'était aussi le cas en son absence?

Re: Rolando Jorge Pires da Fonseca [-> Juin 2019]

17 Jan 2019, 09:34

Quand c'est pas lui c'est Rami qui merde ou Amavi
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