[Ex] "El Loco" Marcelo Bielsa

Gneugneugneu Don Marcelo. Déification débilissime.

Bon après pour 3 millions, on l’aurait tous fait

So much pour le "romantisme" du football

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Bielsa va-t-il prendre les rênes de l'Uruguay ?

Après l'élimination de la Celeste au 1er tour sur le gong à cause d'un but à la 90+1e minute de la Corée du sud contre le Portugal, son sélectionneur Diego Alonso ne va pas faire de vieux os à sa tête. Selon le média sud-américain TyC Sports, l'ancien entraîneur de l'OM Marcelo Bielsa devrait prendre les rênes de l'Uruguay. Si son recrutement devient officiel, il s'agirait de sa troisième sélection, après l'Argentine (élimination au 1er tour du Mondial-2002, médaille d'or aux JO-2004, finaliste de la Copa América-2004) et le Chili, où il a ressuscité la Roja.

La Provence

Klopp et Bielsa sur les bancs des deux clubs de Liverpool, ça a de la gueule

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JUSTICE; Longoria-Bielsa, les dessous d'un accord à l'amiable; Le club, via son président, et l'Argentin, qui réclamait 3 millions d'euros, ont trouvé un arrangement financier

Cette fois, c'est bien fini, et la rencontre (très) en retard n'a même pas été disputée sur le modeste terrain du conseil des Prud'hommes de Marseille (7e arrondissement). Là même où les quidams s'estimant abusés par leurs anciennes entreprises retrouvent leurs ex-bourreaux présumés pour tenter de récupérer des indemnités salvatrices loin des projecteurs, sans avoir conscience que dans la salle d'à côté, l'un des entraîneurs de foot les plus populaires du monde devait refaire une dernière fois le match contre l'OM. Mais avant même le coup d'envoi, l'arbitre avait sifflé la fin, sur un nul et un accord à l'amiable. Marcelo Bielsa et son ancien club, duquel il avait démissionné avec fracas un soir d'août 2015, pouvaient se quitter bons amis. Les deux parties ont ficelé un "accordtransactionnel" (ce sont les termes d'une source au conseil des Prud'hommes) sans avoir besoin de repasser par la case justice.

D'un côté, les avocats de l'ancienne idole du Vélodrome réclamaient 3 millions d'euros. De l'autre, le club olympien demandait le déboutement total de son ancien entraîneur. Où se situe le curseur ? Selon plusieurs sources, si le chiffre n'a pas filtré, le montant est largement inférieur aux requêtes du conseil de l'ancien sélectionneur de l'Albiceleste. Il correspond à des indemnités qu'il aurait dû percevoir du temps où il était assis sur le banc de touche olympien, entre juin 2014 et août 2015. Bielsa n'était, semble-t-il, pas à l'origine de la somme exorbitante demandée par ses conseils. L'affaire s'est réglée entre hispanophones : c'est le président de l'OM lui-même qui a piloté les négociations, Pablo Longoria traitant directement avec El Loco. Des échanges téléphoniques cordiaux au terme desquels les deux hommes se sont entendus. Dans le camp marseillais, on a d'ailleurs apprécié l'attitude du Sud-Américain, considéré comme très honnête. Dans le clan Bielsa, on se refuse au moindre commentaire.

Avant l'annonce de cet épilogue hier matin, révélé par LaProvence.com, le contentieux était donc censé se régler aux Prud'hommes devant un juge départiteur, après une première audience où les conseillers prud'homaux n'avaient pas trouvé d'accord, le 30 septembre 2022.

Quelles étaient les raisons du litige ? Il faut remonter au bouillant été 2015, durant lequel le fil rouge fut l'épisode de la prolongation de Marcelo Bielsa après une première saison aussi extraordinaire que frustrante, terminée à la 4e place.

Son contrat, de deux ans pour répondre aux exigences de la charte du football français, était en fait un faux bail d'un an (voulu par l'entraîneur), puisque l'Argentin n'était payé que 18 000 euros par mois la seconde saison, 90 % de moins que lors de son premier exercice. En juillet 2015, Vincent Labrune, aujourd'hui président de la LFP, et l'icône de Rosario se mettent d'accord sur une extension de contrat, avec à la clé une revalorisation de 25 % de son salaire (le vrai, celui de la première saison, à 185 000 euros nets mensuels) et celui de son staff. Puis le 5 août, il était invité par Philippe Perez (ex-directeur général) et Igor Levin, sulfureux avocat de Margarita Louis-Dreyfus (l'actionnaire majoritaire de l'époque), à apposer sa signature sur la nouvelle union, en l'absence de Labrune. La suite est connue : les conditions présentées à Bielsa sont inférieures à celles promises par Labrune, et trois jours plus tard, non sans avoir assumé son rôle d'entraîneur lors de la première journée de Ligue 1 contre Caen (défaite 1-0), il annonçait dans la confusion sa démission en conférence de presse d'après-match.

"L'OM a un peu magouillé le système", résumait Me Ibanez en septembre dernier, une "manoeuvre" opérée dans le double objectif "de s'assurer d'une part de sa signature" en juin 2014, et d'anticiper "son départ volontaire et/ou à moindre coût à l'issue de la première année". À l'origine du conflit, les avocats de Marcelo Bielsa réclamaient les salaires majorés de 25% de la saison 2015-16, soit 2 775 000 euros, un préjudice moral chiffré à 20 000 euros et un préjudice d'image et de notoriété de 180 000 euros, sans compter le règlement d'un contentieux fiscal. Le point final d'une relation d'une complexité rare entre l'idole d'une partie du Vélodrome et son ancien club aura coûté un peu moins cher à l'OM.

La Provence

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URUGUAY; Bielsa futur sélectionneur de la Celeste ?

Au chômage depuis son licenciement à Leeds, la saison dernière, Marcelo Bielsa pourrait repartir au front ces prochains jours. D'après les informations TyC Sports, relayées et confirmées par des médias locaux, l'ancien entraîneur de l'OM devrait prendre la tête de la sélection uruguayenne. L'accord devrait être officialisé sous peu, selon le média sud-américain. El Loco s'engagerait jusqu'à la fin des qualifications pour la coupe du monde 2026, avec une extension de contrat en cas de succès dans sa quête.

La Provence

Officiel. Bielsa prend la sélection uruguayenne.

Bien content pour lui. Cela lui convient bien.

1ere liste, pas de Valverde, Araujo et Nunez

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Marcelo Bielsa et l'Uruguay, un mariage d'amour et de raison

À la tête d'un effectif expérimental, avec sept joueurs tout juste sacrés champions du monde des moins de 20 ans, Marcelo Bielsa entame face au Nicaragua (dans la nuit de mercredi à jeudi) en amical son mandat très attendu de sélectionneur de l'Uruguay.



Il en a donné des tranchantes, des surréalistes, des soporifiques, mais le 17 mai, la conférence de presse de Marcelo Bielsa fut la master class radieuse d'un homme convaincu d'être à la bonne place. Par « radieuse », entendons-nous : devant 300 journalistes venus de quinze pays assister à Montevideo à la présentation du nouveau sélectionneur de l'Uruguay, l'Argentin de 67 ans a, comme d'habitude, passé plus d'une heure à disserter d'un ton monocorde, le regard baissé.

Mais il a souri, souvent, distillant des aphorismes sur le foot comme miroir de la vie : « Avec ses résumés de trois minutes, le traitement actuel du football permet de moins en moins de tomber amoureux du jeu ; c'est comme si vous ne viviez avec votre femme que le samedi soir »... Surtout, Bielsa a expliqué pourquoi il était heureux d'être là, contant un voyage en bus autour de Montevideo qui lui prouva la générosité et l'humilité du peuple uruguayen, évoquant son admiration pour Oscar Tabarez, ancien sélectionneur-bâtisseur (2006-2021) d'une nation de 3,5 millions d'habitants dont l'oxygène est teinté de football.

Grâce à Tabarez, la Celeste (16e au classement FIFA) a retrouvé son lustre d'antan et dispose d'un réservoir hors norme de joueurs de qualité vu sa démographie : le titre de champion du monde des moins de 20 ans remporté dimanche (1-0 contre l'Italie) en est une énième illustration. « Les dirigeants n'ont pas eu à me convaincre, ce fut presque le contraire, a dit Bielsa. J'aime les joueurs et les citoyens de ce pays, aucun club n'allait m'offrir un groupe de joueurs comme celui de l'Uruguay. » « Il s'est déjà mis le pays dans la poche, sourit Luis Inzaurralde, auteur en 2018 d'une biographie de Tabarez dont la préface fut signée... Bielsa. Avec Tabarez, ils ont tant de points communs : la philosophie, le fair-play, ne pas gagner à n'importe quel prix, la culture du travail... »

Après trois saisons et demie à Leeds qu'il fit passer du ventre mou de la D2 aux places d'honneur de Premier League (9e en 2021) avant de perdre le fil, et le club avec - seize mois après son licenciement en février 2022, Leeds vient d'être relégué -, Bielsa a de nouveau choisi, comme à Bilbao ou Marseille, un endroit de passion et d'intensité qui lui ressemble. Ravie, l'Uruguay, qui le savait courtisé par des offres plus lucratives (Everton, les sélections des États-Unis ou du Mexique), en oublierait presque qu'après l'échec de l'Argentin Daniel Passarella en 2001, Bielsa n'est que le deuxième sélectionneur étranger de l'histoire du pays.

« Certains pensent que son salaire, le double des précédents sélectionneurs, ferait mieux de servir au modeste Championnat local mais c'est une petite minorité, explique Juan Pablo Romero, journaliste pour El Pais. Dans le top 10 des meilleurs entraîneurs du monde, tous les footballeurs placeraient Bielsa, et souvent haut ! » D'Enzo Francescoli à Diego Lugano, dithyrambiques sur sa nomination, le pays juge que l'Argentin arrive au moment idéal pour apporter du jeu et des émotions à un football qui n'attend que ça et ajouter à la « garra charrua » un visage plus offensif.

Après le départ de Tabarez, le mandat de son successeur Diego Alonso fut marqué par l'élimination au premier tour du Mondial 2022 et deux petits buts inscrits en trois matches. « La génération très talentueuse née entre 1997 et 1999 - Federico Valverde (Real Madrid), Ronald Araujo (FC Barcelone), Rodrigo Bentancur (Tottenham), Darwin Nunez (Liverpool), Mathias Olivera (Naples) - peut faire de grandes choses avec Bielsa », dit Romero.

« Et la suivante aussi, celle des champions du monde U20, ajoute Inzaurralde. Le foot uruguayen va bien. Bielsa est là pour mettre la cerise sur le gâteau et faire une toile de maître de l'oeuvre bâtie par Tabarez, dont le jeu était conservateur. » L'Uruguay pense avoir de quoi satisfaire la rigide exigence de l'Argentin, qui l'a parfois poussé à couper court aux expériences qui lui déplaisent.

Bielsa va discuter avec Suarez et Cavani

Pour ses deux premiers matches amicaux au stade Centenario, face aux modestes Nicaragua (140e au classement FIFA) dans la nuit de mercredi à jeudi (1h30) et Cuba (165e) le 21 juin, l'anticonformiste Bielsa a choisi de laisser les cadres au repos pour constituer une sélection âgée de 23 ans en moyenne, avec sept champions du monde U20, et ainsi tester les joueurs qu'il connaît le moins. Les choses sérieuses débuteront en septembre avec les qualifications pour la Coupe du monde 2026 et une inconnue : appellera-t-il les Luis Suarez (36 ans, Grêmio Porto Alegre), Edinson Cavani (36 ans, Valence) et autres représentants de la glorieuse génération qui conquit la Copa America 2011 ? « Je vais en discuter avec eux, a dit l'ancien guide du Chili (2007-2011). Je ne ferai jamais rien qui puisse faire mal aux idoles, métal précieux pour le peuple. »

L'ère Bielsa, sous contrat jusqu'en 2026 et dont ce pourrait être la dernière danse, sera pavée d'objectifs ambitieux : la Copa America 2024, le Mondial 2026 et, avant cela, le tournoi qualificatif pour les JO de Paris, où le coach pourrait prendre place sur le banc. L'Uruguay y voit un signe céleste : le pays fêtera alors le centenaire de sa médaille d'or des JO 1924 tandis qu'en 2004, Bielsa remporta avec l'Argentine lors des Jeux d'Athènes le plus grand titre de sa carrière. Une preuve de plus que ce mariage a quelque chose de terriblement romantique.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... on/1402612

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Conflit Lille-Bielsa aux prud'hommes : ce qu'il s'est dit devant la Cour d'appel

Le conseil de l'entraîneur argentin a plaidé l'absence de faute grave, mardi matin, en appel aux prud'hommes de Douai. Celui du LOSC qualifiait « el Loco » de diva doté d'un ego surdimensionné. Marcelo Bielsa sera fixé le 29 septembre.

Marcelo Bielsa devra attendre le 29 septembre, date du délibéré de la cour d'appel de Douai, pour savoir si la justice française lui donne raison dans son conflit qui l'oppose à son ancien club, le LOSC, qui l'a licencié pour faute grave le 15 décembre 2017. Dans une salle d'audience peu fréquentée, mardi matin, les avocats de l'entraîneur argentin de 67 ans et du LOSC ont plaidé une petite demi-heure chacun (la procédure d'appel est écrite).

Le président Olivier Becuwe a d'abord montré sa grande connaissance du dossier. Sa synthèse résumait les quatre enjeux d'un procès dont les contours financiers frôlent les 19 M€. Quel contrat retenir entre celui du 14 février 2017 ou celui homologué du 1er juillet 2017, moins favorable ? La faute grave (7 motifs) est-elle avérée ? La clause « parachute » (art. 15) qui dédommage Bielsa quel que soit le motif de sa rupture de contrat est-elle pénale et/ou valable ? Quel préjudice faut-il retenir/accepter sur les 5 M€ réclamés en plus des salaires ?

Des propos injurieux envers Lopez et Campos ?

Sur la faute grave, le point crucial, l'entraîneur argentin et le club nordiste s'opposent frontalement. Me Benjamin Cabagno a insisté sur les faits reprochés à son client sud-américain. « Ils le sont par les principaux accusateurs », avant de démontrer, « matériellement », qu'il s'agissait de « mensonges ».

« Tout ce qui a été laissé faire à Marcelo Bielsa était rigoureusement conforme à son contrat de travail, mais c'est subitement devenu une faute grave. [...] La défense est diffamante sur la base d'articles de presse. [...] Marcelo Bielsa s'est opposé à l'altération de ses fonctions (notamment lors du retour de Luis Campos à Luchin). Mais il a expliqué à son président que même s'il n'était pas d'accord, il respecterait sa décision. » S'appuyant sur l'expertise d'un professeur de droit, David Jacotot, l'avocat de l'entraîneur a encore répété que le document du 14 février était un « contrat de travail ».

« Ce n'est pas une histoire d'argent et pas uniquement de droit, lui a répondu Me Bertrand Wambeke, conseil du LOSC, mais celle d'un ego énorme. Le roman d'une blessure narcissique. M. Bielsa était présenté comme le meilleur entraîneur du monde par ses (anciens) conseils. À Lille, il s'est comporté comme une diva. Personne ne pouvait lui parler. On ne s'adressait pas au Dieu du foot. Il fallait passer par un adjoint puis un interprète. » Et l'avocat des Dogues, pour conclure, de citer une attestation prêtant à l'Argentin des propos injurieux à l'encontre de Gérard Lopez et Luis Campos.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... el/1405128

Foot: le club de Lille condamné à payer deux millions d'euros à son ex-entraîneur Marcelo Bielsa

https://www.lefigaro.fr/sports/football ... a-20230929

ruby, et hop 2 millions de plus

Sur son travail en Uruguay.

fourcroy,

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L'Uruguay de Bielsa, qualifié en demi-finales de la Copa America, c'est « Loco »

Avec Marcelo Bielsa à sa tête, l'Uruguay réalise sa meilleure Copa depuis 2011 et n'est plus qu'à deux marches du titre. Tombeur du Brésil en quarts de finale (0-0, 4-2 aux t.a.b.), il peut se prendre à rêver.



Entre les 45 degrés de Las Vegas et le scénario étriqué du quart de finale entre le Brésil et l'Uruguay, les 55 770 spectateurs de l'Allegiant Stadium ont vécu une épreuve étouffante. Finalement, ce sont les supporters de la Celeste qui ont pu exulter au terme d'une séance de tirs au but remportée par les protégés de l'Argentin Marcelo Bielsa (0-0, 4-2 aux t.a.b.).

À près de 10 000 kilomètres de là, à Montevideo, feux d'artifice, klaxons et cris de joie ont traversé les rues de la capitale. Une parfaite illustration de la performance réalisée par une équipe nationale transformée par le sélectionneur de 68 ans. Elle n'avait plus réussi à accéder au dernier carré depuis son sacre continental en 2011. Entre-temps, lors des quatre précédentes éditions, elle avait échoué à trois reprises en quarts et une fois au premier tour. La qualification a un goût d'autant plus savoureux qu'elle est survenue aux dépens de son rival brésilien qui s'était imposé aux tirs au but lors de leurs deux dernières confrontations à la Copa (2004 et 2007).

Séduisant et offensif lors de la phase de poules, l'Uruguay s'est renié le temps d'un match adoptant une stratégie plus défensive, surtout après le carton rouge Nahitan Nandez à la 74e minute. Un choix parfaitement assumé par l'homme à la glacière, en poste depuis un an, qui a su adapter son logiciel à une sélection rompue aux sales besognes : « C'était une victoire à l'uruguayenne, les joueurs donnent tout pour l'équipe. Le fait de conserver ce résultat montre le profil du football uruguayen. »

Un record dans le viseur

Désormais place à la Colombie de James Rodriguez en demi. Les Uruguayens sont à deux rencontres de remporter leur 16e Copa America, ce qui en ferait les seuls recordmen devant l'Argentine (15). C'est d'ailleurs avec son pays natal que Bielsa avait failli décrocher le Graal, mais il s'était heurté au Brésil en finale. Le technicien est en quête d'une couronne continentale qu'il n'était pas parvenu à obtenir non plus lorsqu'il était à la tête du Chili entre 2007 et 2011. En désaccord avec ses dirigeants, il avait quitté la sélection quelques mois avant la Copa 2011.

Comme à Bilbao, Marseille ou Leeds, « El Loco » séduit autant par la qualité du football produit que par sa vision plus globale sur un univers dont il semble en marge. « Le football a perdu en attractivité. Il est en phase de déclin. Il y a de plus en plus de spectateurs, mais il est de moins en moins attrayant. Ce qui en a fait le meilleur sport du monde n'est plus une priorité. Le business ne tient compte que du nombre de gens qui regardent, philosophait l'ex-entraîneur de l'OM en préambule du quart face à la Seleção. Le football ne se résume pas qu'aux belles actions, c'est bien plus que ça, c'est une expression culturelle. Regarder seulement les highlights ne permet pas à une population de tomber amoureux de l'essence du football. » Entre les Uruguayens et Bielsa, l'idylle semble pourtant partie sur de bonnes bases.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... co/1480845

Ce rigolo de Courbis qui en remet une couche sur lui et te dit n'importe quoi.
Ca me fait toujours rire de la part de qqn qui a trempé dans les caisses toulousaines et l'affaire rldienne. Et du fabuleux coach sans palmarès. On me rappelle le palmarès de Courbis en tant que coach ? Lui, le génie avec Makelele et Blanc... parlant de Bielsa "avec le regard dans ses chaussures"...

Malheureusement, sur le niveau, Bielsa a raison évidemment, tout comme sur le plaisir à regarder ce spectacle.
Courbis a simplement à chaque fois envie de se payer Bielsa, par simple "principe". Pour se cacher derrière les simples formules "professeur de football" et pas "entraîneur".