[Ex] André Ayew (Pelé)

pretender, le post date d'une semaine, et il s'en est passé pas mal depuis...

Le garçon semble avoir passé un palier, plus costaud et présent, moins de déchet dans son jeu, bref je retire ske j'ai dit (qui était surtout basé sur ses apparitions chez nous, où il était clairement pas au niveau) et attends de voir ske ça va donner s'il revient chez nous (en remplaçant à priori).

Tiens, d'ailleurs, j'ai remis la main sur l'itw. Equipe Mag non pas d'il y a 2 mois mais 22 mai 2010.
Ca vous donnera une meilleure idée peut-être sur lui.

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Ayew fils de Pelé

A 20 ans, André Ayew, le cadet de l'ancien Marseillais Abedi Pelé, a vécu l'incroyable odyssée d'Arles-Avignon, promu en Ligue 1. Contraint par l'OM, son club formateur, d'aller revoir ses gammes avec une équipe plus modeste, il a su s'imposer en toute simplicité. Présélectionné pour la Coupe du Monde avec le Ghana, il est en passe de quitter l'ombre du père.
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Le poulet yassa attendra. Les potes de Marseille aussi, tous amassés dans son trois pièces pour un dîner africain qui s'annonce débridé. Car André Ayew a tant à fêter. D'abord la montée de l'AC Arles-Avignon en Ligue 1, obtenue la veille, qui sidère le football français. Ensuite, une saison "très compliquée au départ, épuisante et, finalement, magnifique." Puis le départ le lendemain vers Accra pour sept jours de repos au pays avant de rejoindre le stage du Ghana d'avant Coupe du monde. "Si je reste parmi les 23 sélectionnés, alors ce sera le couronnement !" Autant de sujets que le garçon de 20 ans accepter d'aborder à l'improviste samedi dernier, au Baroque, un bar du centre-ville d'Arles, le débit aisé et la pupille claire malgré une nuit effrénée sur les dancefloors de la Cantina et du Bokao's, à Avignon. Au moment de commander un diabolo grenadine, un de ses deux Blackberry vibre : "Salut papa, je te rappelle plus tard..." D'Accra, Abdei Pelé venait aux nouvelles du fiston.

"Je veux démontrer que je peux gagner ma place dans le football français. Cette accession surprise va y contribuer. Cette année, on a vu le vrai André. Moi, je n'avais pas peur de prendre le risque de venir à Arles-Avignon." Allusion aux avis peu cordiaux entendus, fin août 2009, au moment de son prêt par l'OM. Plus maigre budget de Ligue 2 (5,7 M€), club à peine doté d'un stade et d'une secrétaire à plein temps, effectif hétéroclite formé d'apprentis pros et de vétérans sur le retour (Sébastien Piocelle, Kaba Diawara), André Ayew n'ignore alors rien de son nouvel environnement. Pendant les deux premières semaines, il doit même laver bas, shorts et chaussettes. "On me parlait d'enterrement de troisième classe. Moi, je voyais l'occasion de montrer ma valeur à mon vrai poste : milieu relayeur."

Aujourd'hui il engrange les bienfaits de son pari réussi. L'avenir s'est éclairci. L'été dernier, de retour d'un prêt sans éclat à Lorient (22 apparitions en Ligue 1), il en était surtout à encaisser le jugement tranché de Didier Deschamps, nouvel entraîneur de Marseille : entraînement avec la réserve et placement sur la liste des transferts. André Ayew connaît alors le
premier accident de sa carrière d'enfant gâté. Avant cet accroc, tout lui réussissait mieux et plus vite que ses camarades de promotion : lancement en Ligue 1 en août 2007 (par Albert Emon) à 17 ans, débuts en Ligue des champions trois mois plus tard face à Porto (avec Eric Gerets) et première sélection avec le Ghana la même année.

"Jusqu'à l'an passé, André n'avait jamais souffert, explique Abedi Pelé, joint au téléphone lundi soir. Sur le coup, il a compris que la vie n'était pas si simple. Il fallait qu'il repose les pieds sur terre. Lui, il a mangé de la viande tous les jours de sa vie. Moi, enfant, les bons jours, je partageais un plat de riz avec une vingtaine de frères, de soeurs, de cousins..." Chaque
matin, il fallait aussi aller chercher l'eau au puits.

André Ayew, lui, a vu le jour à Seclin, arrondissement de Lille, peu avant Noël 1989, époque où son géniteur diffusait son talent sous le maillot du LOSC. Ensuite, ce fut Marseille, Lyon, Turin, Munich, au gré des transferts paternels. Puis un début d'adolescence dans la belle demeure d'East Legon, à Accra jusqu'à l'entrée au centre de formation de l'OM à 14 ans et demi.
Une ascension linéaire qui a pu l'imprégner d'un surcroît d'aisance. Abedi Pelé : "Quand on est jeune, c'est très compliqué de gérer les privilèges économiques hérités des parents. Mais le 4 x 4, la grande maison, l'argent ou le nom du père ne font pas une carrière de footballeur. Il faut savoir rester humble, sinon on se perd."

Abedi, à son arrivée en France (1986), avait d'abord brillé en Deuxième Division, à Niort. D'où son aval quand l'offre d'Arles-Avignon est transmise à son fils en août dernier car, "là-bas, c'est le même ballon que partout ailleurs !" Même si l'ancienne idole du Vélodrome confie qu'il a craint pour la carrière du fiston (voir encadré). André Ayew a-t-il pressenti la menace ?

Lui qui rêvait de titres avec l'OM se voit écarté par son club de coeur et envoyé dans les bas quartiers de la Ligue 2, avec un salaire amputé de moitié au passage. Coup de chance, il est emporté par l'euphorie qui s'empare d'Arles-Avignon sous la conduite de l'entraîneur Michel Estevan. Le benjamin du groupe se met au diapason du bon esprit du cru et finit par imposer sa justesse de gaucher et son activité au milieu de terrain. "L'argent, les conditions d'entrapinement, peu importait. Je voulais juste jouer. C'est de mon âge, non ?"

Les anciens l'instruisent sur la réflexion tactique, le dépouillement de son jeu, la récupération... "Selon eux, je ne me rends pas compte de mes qualités, je mérite mieux que la Ligue 2." Il termine le Championnat avec 25 matches, 4 buts, 3 passes décisives. Et glane cette invitation de Didier Deschamps dans la Provence du 16 mai : "La saison prochaine, André Ayew sera avec nous."

Contrepoint au commentaire lancé en octobre dernier par José Anigo, directeur sportif de l'OM : "Comme André a tendance à se croire arrivé, nous avons choisi de le mettre au pain sec." L'affirmation visible du jeune Ghanéen doit aussi beaucoup aux deux séjours prolongés en Afrique qui ont jalonné sa saison. D'abord l'Egypte, à l'automne 2009, pour la Coupe du monde des moins de 20 ans. Il est le capitaine des Black Satellites qui arrachent le trophée le 16 octobre face au Brésil (0-0, 4 tab à 3.) après une finale homérique. "Depuis, je sens qu'au pays les gens placent beaucoup d'espoirs en moi."

Comme symbole d'une génération montante au côté de Dominic Adiyiah (AC Milan) et Samuel Inkoom (FC Bâle). Trois mois plus tard, André Ayew grimpe encore une volée de marches lors de la CAN disputée en Angola. Le Ghana, amputée de ses
hommes forts (Muntari, Mensah, Essien, Paintsil, Appiah, etc) n'échoue qu'en finale, face à l'Egypte (1-0). Le petit gars d'Arles-Avignon ne parvient pas à imiter son père, gagnant de la CAN 1992, mais maintient son rang de titulaire de bout en bout malgré son âge.

"Je n'étais plus le petit chouchou des grands qui vient et ne dit rien. Comme ils étaient absents, j'ai pris des responsabilités. Cette fierté m'a donné une confiance qui ne m'a plus quitté depuis." Au bout d'une saison sans le moindre temps mort, André Ayew mesure le chemin parcouru dans le miroir tendu par les médias. Il y reste le fils d'Abedi mais le ton a changé. "Je passe moins pour le petit garçon de service, on m'accorde plus de chair, plus de consistance..."

Bientôt 22 heures. Olivia, sa copine, lui adresse un signe timide. Il est temps de prendre congé. Les clients du Baroque le conjurent de rester du côté d'Arles-Avignon. Il ne répond pas vraiment, car les offres de clubs plus huppés ne manquent pas. A la maison, les convives s'impatientent. Il est temps d'aller faire dorer le poulet et revenir les oignons pour la sauce.

Christophe Larcher

André Ayew
20 ans, né le 17 décembre 1989 à Seclin
1,76 m ; 72 kg
Au moment de l'article : 18 sélections, 1 but

2000 : S'installe au Ghana avec ses parents
2004 : Centre de formation de l'OM
2007 : Débute en Ligue 1, en Ligue des champions et en équipe nationale
2008 : Est prêté à Lorient (L1)
2009 : Est prêté à Arles-Avignon (L2)

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A. AYEW (7) : suspendu pour le quart de finale, il n’a pas été payé en retour de sa générosité et de son sens créatif.

Sa note sur L'équipe

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Le 27/06/2010 à 00:42
Foot - CM - GHA
Ayew : «Ce serait immense»


Élu joueur du match contre les Etats-Unis (2-1 a.p.), samedi soir, André Ayew savoure la qualification du Ghana pour les quarts de finale de la Coupe du monde. Elle lui donne des idées.
André Ayew ne pourra pas jouer le quart de finale face à l'Uruguay. Il sera suspendu.(REUT)
André Ayew ne pourra pas jouer le quart de finale face à l'Uruguay. Il sera suspendu.(REUT)

«André Ayew, le Ghana est-il en train de monter en puissance ?
On monte en régime, mais ça fait un moment que c'est le cas. Il nous manquait simplement un peu de réussite... Ce soir (samedi), on n'a pas eu des tonnes d'occasions, mais le peu qu'on a eues, on a su les mettre au fond. C'est pas mal, il faut continuer comme ça.

«Notre état d'esprit est irréprochable. Si on continue comme ça, ça va nous emmener loin parce que le groupe est très jeune.»

Qu'est-ce qui a fait la différence ?
Notre état d'esprit. Il est irréprochable. Si on continue comme ça, ça va nous emmener loin parce que le groupe est très jeune. On peut faire quelque chose.

Vous pensez à un éventuel sacre mondial ?
On espère, mais avant, il y aura l'Uruguay et une éventuelle demi-finale. Ce sera très compliqué... Chaque chose en son temps, il ne faut pas s'enflammer. Aucun pays africain ne s'est jamais hissé dans le dernier carré d'une Coupe du monde. Y arriver, ce serait déjà immense.

Contre l'Uruguay, vous serez suspendu...
C'est décevant, mais c'est le foot. Il faut vivre avec et espérer qu'on passera en demies. Comme ça, je pourrai faire mon retour (Rires).

«De nous voir moi et mon frère en sélection, ça fait toujours quelque chose à mon père. Mais s'il est content, c'est d'abord parce que le Ghana est qualifié.»

Que vous a dit votre père, Abedi Pelé, après la rencontre ?
De nous voir moi et mon frère en sélection, ça lui fait toujours quelque chose. Mais s'il est content, c'est d'abord parce que le Ghana est qualifié. Le plus important, c'est ça...

Lorsqu'il était joueur, lui aussi avait également remporté quelque chose d'important avec le Ghana...
La finale de la CAN, c'est vrai... On va voir ce que ça va donner pour nous»

Propos recueillis par Emery TAISNE, à Rustenburg (Afrique du Sud)

lequipe.fr

contractuellement il est comment?

Fin de contrat juin 2011 si je dis pas de bêtises.

Sinon bel article sur francefoot.fr

http://www.francefootball.fr/FF/breves2 ... grand.html

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Durant toute la Coupe du monde, Frank Simon, spécialiste du football africain à France Football, vous fait vivre la «Saga Africaine». (Photo Presse-Sports)

Ça fait toujours bizarre de rencontrer les enfants d'un bon ami, surtout quand il s'appelle Abedi Ayew Pelé. On a connu Abedi jeune homme tressé et pressé, à la recherche de titres avec l'Olympique de Marseille et le Ghana. On l'a suivi tout au long de sa carrière, à mesure qu'il devenait le meilleur joueur du continent africain. De sa vie personnelle, on ne savait que peu de choses en réalité. L'époque n'était pas aux people et aux WAGS, et Abedi vivait heureux, du LOSC à Munich 1860 en passant par l'OM bien sûr et Lyon.

C'est justement lors de son prêt à Lille, dans le Nord, qu'André est né. Mais c'est dans le sud qu'il a vécu ses jeunes années. Il y a trois ans, on a enfin pu discuter avec Dédé. Il venait d'être appelé en sélection ghanéenne par Claude Le Roy et n'était encore qu'un prospect en devenir, ému de devoir disputer la Coupe d'Afrique des nations devant toute sa famille et le public ghanéen. Depuis 2008, Dédé a grandi, et acquis une belle maturité. Il n'y a qu'à l'écouter parler pour s'en rendre compte.

Comme son père, il a le sens de la passe
Sur le terrain, c'est un autre homme. Le timide milieu excentré est devenu un leader, un patron technique, et un animateur chez les Black Stars. Pas tout à fait dans le même style que son père. Plus de tempérament peut-être. Vainqueur de la CAN des 20 ans en 2009 au Rwanda, il était encore capitaine de cette équipe qui a remporté -grande première pour le Ghana- la Coupe du monde de la catégorie en Egypte, en octobre dernier. Laissé sur le côté par l'OM, il a réussi une belle saison avec Arles-Avignon, qu'il a contribué à hisser en L1. Son prêt s'est avéré payant. Et l'OM de récupérer bientôt, un joueur épanoui. Samedi soir, au Royal Bafokeng de Rustenburg, il a logiquement été désigné homme du match. Quelle aisance technique, quelle fluidité dans ses mouvements. Il a, comme papa, le sens de la passe, le sens du timing aussi. Il aime provoquer les défenseurs, et trouver l'ouverture.

A l'aise sur l'un ou l'autre des côtés, il aime aussi ce rôle de meneur axial, à l'ancienne. Naturellement, on retrouve chez Dédé beaucoup de ces qualités qui étaient l'apanage d'Abedi. Connaissant notre vieux copain, présent en Afsud où il est notamment consultant sur la chaîne locale Supersport, on le devine plus qu'heureux. Mais certainement triste que Dédé puisse manquer son quart de finale contre l'Uruguay, en raison d'un carton jaune reçu en fin de match contre les Etats-Unis. Abedi, qui manqua la finale de la CAN 1992 au Sénégal après avoir reçu injustement un carton jaune contre le Nigeria, connaît ce sentiment de frustration. Il saura sans doute trouver les mots pour aider son fils cadet, qu'il a plusieurs fois par jour au téléphone. Le public africain, lui, est heureux d'avoir découvert une nouvelle perle de taille mondiale. A lui de confirmer désormais.

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Autre bonne nouvelle pour l’OM, le retour de prêt du milieu André Ayew, qui réalise un superbe Mondial avec le Ghana. « Une belle recrue. Gratos, pour une fois… », ironise un dirigeant.

@ la parisien

s'il prolonge pas il part

Un peu de mal à comprendre son attitude quand même...
il regrette que l'an dernier, 'l'OM ne lui ait pas fait confiance plus que ca, mais l'an dernier le mec venait de se faire jeter par Lorient, et encore, l'OM ne l'avait pas jeté aux oubliettes, il était seulement prêté pour s'aguerrir...
bof, j'ai l'impression qu'il se dit qu'il postule directement à une place de titulaire, vu sa CDM, et que s'il ne la pas, c'est parce que DD peut pas le piffrer.

Aureck, c'est surtout que dans le système de DD il va être en concurence avec Kaboré et Cheyrou, à moins qu'il puisse joueur un cran plus haut mais il manque de vitesse ama.

Joueur prometteur ou est-il en surrégime ? En tout cas il a un très bon touché de balle et semble pouvoir encore progresser.

En tous les cas, ça va pas être simple pour Cheyrou si Ayew reste.

Site off:

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André Ayew, dont les prolongations sont des «priorités» poursuit le directeur sportif. «Même avant cette compétition, la décision qu’Ayew reste avec nous avait été prise» confirme Deschamps, ajoutant que la venue d’un milieu défensif faisait «partie des priorités.»

bon au moins c'est clair.

Site off:

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André Ayew, dont les prolongations sont des «priorités» poursuit le directeur sportif. «Même avant cette compétition, la décision qu’Ayew reste avec nous avait été prise» confirme Deschamps, ajoutant que la venue d’un milieu défensif faisait «partie des priorités.»

bon au moins c'est clairement opportuniste.

Itw en video d'Anigo aujourd'hui sur Ayew:


http://www.laprovence.com/video/Mercato ... rovence/om

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Le cas André Ayew fait décidément couler beaucoup d'encre. Auteur d'une saison remarquable (montée en Ligue 1 avec l'ACA, champion du monde des moins de 20 ans, finaliste de la CAN et quart de finaliste du Mondial avec le Ghana), le fils d'Abedi Pelé polarise l'attention. Bien que sous contrat avec l'OM, le Black Star se verrait bien changer d'air. Une solution balayée d'un revers de main par José Anigo. Présent en Bretagne pour le stage des Olympiens, le directeur sportif de l'OM est catégorique : "Je peux vous garantir qu'il sera avec nous cette saison. Le club compte sur lui !"

+ DD cet aprem:

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André a d’abord fait une saison délicate à Lorient. Les débuts à Arles-Avignon ont été aussi difficiles à cause des compétitions (championnat du monde des moins de 20 ans, CAN). Sur la fin de la saison, il a été beaucoup plus performant et a été l’artisan de la montée en Ligue 1. Il est titulaire à 20 ans dans la sélection du Ghana.

C’est un joueur de qualité que je souhaite garder dans l’effectif. Et pas pour faire le nombre ! Il amènera une concurrence supplémentaire, en pouvant jouer au milieu ou un peu plus haut. Au-delà de ses qualités, il a une maturité intéressante. Ses deux années en prêt lui ont permis de mûrir.

Ouais mais voilà, le André l'a l'air d'avoir vite oublié d'où il vient et surtout ses qq prestations à l'OM il y a 1 ou 2 ans en arrière.

Le garçon a nettement progressé, c'est ce que reconnaît tout le monde à l'OM et ailleurs, mais ça semble pas suffire, il n'aurait jamais fallu le critiquer ni même le prêter, mm quand il n'avait absolument pas le niveau, ni de loin ni de près.

On devrait lui repasser ses (pauvres) matches à l'OM, ça le ramènerait un peu à la réalité.

Bon mais Kaboré + Ayew + Cheyrou ça fait pas beaucoup ?

Kabore ne peut-il pas jouer ard, 6 et 8? Il pourrait etre la doublure de Azpi, notre futur 6 et de Cheyrou, alors que Pele pourrait etre celle de Cheyrou et de l'ailier gauche pour depanner.

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André Ayew: "Deschamps
m’a convaincu"

André Ayew va sceller dans les prochaines heures son avenir à
l’OM avec une prolongation de contrat de trois ans. "Ce n’est pas
encore signé, mais un accord a été trouvé", confirmait hier le Ghanéen,
qui va donc être lié à l’OM jusqu’en 2014.
Voilà qui met un terme à ce feuilleton, qui durait depuis la fin de
saison dernière. Après une année réussie à Arles-Avignon, où il était
prêté, le fils d’Abedi Pelé avait fait part de son désir de ne pas poursuivre
l’aventure à l’OM, où Didier Deschamps ne lui avait pas fait
confiance lors de l’été 2009. Ses brillantes performances lors du
Mondial sud-africain, où il fut nommé parmi les trois meilleurs espoirs,
ont attisé les convoitises des clubs allemands, italiens et anglais.
Mais finalement, "Dédé" a donné sa préférence à son club formateur.
"C’est le discours de Didier Deschamps qui m’a décidé.
Je voulais quitter l’OM, mais l’entraîneur m’a fait comprendre beaucoup
de choses lors de mon retour. Il a été très honnête avec moi,
aussi bien l’an dernier, où il ne comptait pas sur moi, que cette saison.
C’est une grande personne. Marseille, c’est mon club de coeur,
c’est ici que j’ai été formé, que je suis devenu professionnel. Je n’ai
encore rien prouvé pour déjà faire mes valises et partir. Je veux
continuer ma progression, j’ai encore beaucoup à apprendre ici."
Étonnant d’aplomb malgré ses 20 ans, André Ayew veut maintenant
s’imposer dans l’entre-jeu olympien, de préférence dans un
poste de milieu relayeur qu’il affectionne. "Mais le plus important,
c’est que je joue, que ce soit dans l’axe, à droite ou à gauche! Il va
falloir se battre pour jouer et gagner la confiance du coach."

La Provence

Une preuve de plus de l'autorité, de la force de conviction et du professionnalisme de

Et ce n'est ni le 1er ni le dernier joueur qu'il aura réussi à retenir au Club. Dans l'intérêt mutuel de tout le monde.

Ou quand avoir le "bon" coach peut tout changer...

Tout est dit!

J'ai tout de même l'impression qu'il est surcoté ce garçon. Il ne dribble jamais un adversaire et n'est encore pas décisif, ni avec l'OM, ni avec sa sélection et très peu en ligue 2.
Je pense que l'offre à 5 millions, si elle a bien eu lieu aurait du être accepté. Quand on voit qu'on à vendu Koné pour moins que ça et qu'on va surement perdre niang pour à peine plus... ca fait quand réfléchir.

il y a jamais eu d'offre à 5M€