Faut reconnaître que le gars a une attitude irréprochable et un discours intelligent, mm si on aime pas sa tronche de cake et sa melonite apparente. Je le trouve tout à fait correct et honnête vis-à-vis du club et de lui-mm, ni lèche ni cassage. Et ce qu'il dit au sujet de l'équipe qui peut et doit mieux faire au niveau du jeu me semble tout à fait juste (j'aurais qd mm aimé que le journaleux lui demande pourquoi, et s'ils travaillaient à améliorer ces points).
Manifestement avec DD la relation est réduite au minimum, un peu dommage mais bon...
Ce sera jamais le joueur qu'il croit pouvoir devenir, mais pour un club du niveau (supposé) de l'OM un bon joker. Mot à ne pas prononcer devant lui.
Discours intelligent c'est vite dit : le gars se tait quand il est mauvais, et maintenant qu'il redevient décisif, il refait une grande ITW dans les medias, expliquant qu'on lui a pas fait confiance quand il jouait mal et déprimait à cause de l'EDF et que ça lui a foutu la rage ce qui fait que maintenant on est obligé de reconnaitre qu'il est indispensable. Et chez Valbu, le "on" est en fait le surnom qu'il donne à Deschamps.
[...]Car c’est une technique de com’ hyper connue. Vous vous taisez, vous suscitez un manque, vous continuez à vous taire, vous parlez enfin (un peu) dans un journal et vous vous livrez complètement dans un bouquin! Le buzz sur la sortie de ce dernier est assuré! En plus quand ce plan com’ est assuré en sous-main par des journalistes de l’Equipe, c’est encore mieux! Car son livre, Mathieu Valbuena ne l’a pas écrit seul. « Petit Vélo » s’est fait épaulé par deux pointures du journal L’Equipe, Hervé Penot et Raphaël Raymond. Tiens tiens! Mais Raphaël Raymond, ce n’est pas lui qui signe aujourd’hui l’interview de Valbuena dans L’Equipe? Et ben si! Du très bon travail d’attaché de presse! Si vous ajoutez à cela que Christophe Hutteau, agent de Valbu’, est un ancien journaliste à L’Equipe, vous avez toutes les clés pour décrypter ce qui ressemble à un petit délit d’initié entre amis…
Valbuena qui se plaint d'un manque de fluidité et de rapidité dans la circulation de balle, c'est comme Lucho qui se plaindrait de la lenteur d'Alou Diarra
Discours intelligent c'est vite dit : le gars se tait quand il est mauvais, et maintenant qu'il redevient décisif, il refait une grande ITW dans les medias
Procès d'intention, s'il l'avait ouvert pdt qu'il était nul, on lui aurait dit de fermer sa gueule...
Discours intelligent c'est vite dit : le gars se tait quand il est mauvais, et maintenant qu'il redevient décisif, il refait une grande ITW dans les medias
Procès d'intention, s'il l'avait ouvert pdt qu'il était nul, on lui aurait dit de fermer sa gueule...
Jodko.
Si quand t'es mauvais tu fais une ITW pour dire "oui je sais je suis pas bon en ce moment mais je vais me reprendre", il n'y a rien à dire. Là, il dit "j'étais pas bon mais on m'a pas fait confiance à ce moment-là", c'est pas un discours intelligent, c'est un discours de melon sur patte.
« Ces critiques sont dures pour différentes raisons. Je fais beaucoup d’efforts. Franchement, je ne simule pas. J’essaye juste de tomber le moins possible. Par rapport à certains défenseurs, mon poids est différent. Quand je tombe, je fais des vols planés mais en aucun cas je ne veux tricher ou voler », a expliqué, sur RMC, Mathieu Valbuena.
Valbuena FACTS
Valbuena ne simule pas, il est juste trop léger Valbuena ne simule pas, il s’entraine juste pour le concours de plongeon Valbuena ne simule pas, l’herbe lui a juste fait un croche pied
Cette histoire de simulation, ça dépend beaucoup de ce qu'on entend dans le terme. Si on parle de simulation dans le sens de faire croire qu'il y a un contact pour obtenir une faute, je trouve que Valbuena simule peu. En tout cas, rien à voir les Néné ou Fiorèse.
Par contre, si on prend en compte dans la simulation, le fait d'en faire des caisses pour faire croire que le contact est illicite et mérite sanction, là oui, c'est évident que Valbuena le fait systématiquement. Bien qu'il conteste beaucoup moins qu'avant, qu'il fait moins la pleureuse, il voltige très facilement et ce n'est pas qu'une question de poids.
Contre Lorient en revanche, je trouve qu'il n'y a pas de simulation. Valbuena fout sa jambe dans les guibolles de l'adversaire qui revenait sur lui pour protéger le ballon et les deux tombent. Il commet une faute qui aurait due être sanctionnée CONTRE lui.
Au lieu de ça, l'arbitre qui est à 1 mètre, siffle en faveur du lutin. C'est juste une grossière erreur de l'arbitre et comme bien souvent dans ces cas-là le bénéficiaire ne s'en plaint jamais.
Jaimais pas le joueur (l'homme je m'en fous je le connais pas, mais c'est encore plus dur d'ouvrir ta gueule sur ton site internet a la zubar qd tes mauvais), a juste titre, car il représentait l'absence totale d'intelligence de jeu. J'avais toujours dit que je lui trouvais une précision incroyable en finition a tel point que son meilleur poste était 2e attaquant. Mais il severtuait a faire le meneur de jeu qui garde la balle 3h et qui fait les mauvais choix.
La le mec a simplifie son jeu, la rendu efficace, fait les bons choix, a progresse en intelligence tactique, tout en gardant ses qualités. Ce valbuena la est indispensable a l'OM. C'est pas du retournement de veste, simplement le mec a progressé, c'est pas juste une passe on fire comme il en a déjà eu, la il a profondément change son jeu. Et sil est pas con, il réalisera que c'est Grace à DD qui la pas ménagé mais au final, il en a fait un vrai bon joueur de foot (ce que gerets n'avait pas fait, il s'en était juste fait un pote)
Mathieu Valbuena raconte son bizutage mouvementé à l’OM
23/01/2012 - 12 h 17 - 0
Avant de devenir l'homme décisif de l'OM, Mathieu Valbuena a connu des moments difficiles et particulièrement un bizutage intense, comme il le raconte dans son autobiographie.
27 ans et déjà une autobiographie. Décidément, Mathieu Valbuena est un homme à part. Certes, il n’est pas rare de voir des footballeurs raconter les moments forts de leur carrière avant même la fin de celle-ci. Mais le parcours de Valbuena n’a rien de commun aux autres. C’est d’ailleurs cela qui a inspiré le titre de son livre, « Mon parcours du combattant », qui sortira le 26 janvier prochain. Il y raconte le refus des Girondins de Bordeaux de l’intégrer au groupe professionnel ou encore ses débuts délicats à l’OM.
Son bizutage à l’Olympique de Marseille est d’ailleurs l’un des passages repris aujourd’hui par Le Parisien. « J’ai l’impression d’être un mal-aimé. Peut-être devrais-je simplement m’ouvrir plus ? (…) Un fait se détache : les blagues tournent souvent autour de moi. A table, à l’entraînement, dans le vestiaire. (…) Un jour, je me rends sur le parking. Plus de voiture. L’a-t-on volée ? Pas du tout. Elle est garée sur celui de l’équipe réserve, en contrebas. Elle déborde de papiers journal, les portes sont ouvertes… Je passe sur le Musclor, produit chauffant, dans mon caleçon, sur les chaussettes coupées… Personne ne signe ces méfaits. (…) Je me sens à l’écart du groupe. Et que dire de cette histoire à Bordeaux, cette première saison ? Une fille se retrouve par hasard avec nous à l’hôtel. Comme je suis natif de Bordeaux, on m’accuse de l’avoir prise dans mes bagages. Je ne me sens déjà pas intégré et on me colle ça sur le dos. Je m’effondre. On est convoqués par José Anigo : je suis très mal. Je vais voir Samir Nasri : « je vous jure que ce n’est pas moi ! » Personne ne semble me croire »
Aujourd’hui, plus personne n’oserait faire du « Petit » le souffre-douleur de l’équipe, tant il est indispensable au bon fonctionnement du club phocéen. Cependant, il ne garde pas rancune à l’égard de ceux qui l’ont soumis à un tel traitement, comme il l’a confié au Parisien. « Sur le bizutage à l’OM, je n’ai pas donné de noms. Je n’ai pas de rancune, je n’en veux à personne », a-t-il assuré. Cela fait partie d’un passé qui doit désormais lui sembler très lointain !