Qatar 2022 : les matchs de la France

Ça touche que la France?

Non à priori ça touche aussi la chatte à Dédé.

Ce serait donc une MST au final?

Petit article sympa avec des photos de toutes les finales des coupes du monde:

https://www.bbc.co.uk/sport/extra/a7f6u ... l-pictures

https://twitter.com/footballogue/status ... hQuegPmdZA

Quel mongole... Et en plus il a joué pour l'EDF ce tromblon

Quelle honte. Dans le sens inverse ça serait inimaginable qu'un argentin dise ça.

La même pour Trézéguet (qui certes a vécu 16 ans en Argentine)

Qu’est-ce qui vous choque ?
Ça ne reste que du foot. Il faut arrêter de mettre du patriotisme à tort et à travers.
La France n’est pas un vrai de pays de foot. La place de ce sport dans la société française n’est pas la même qu’au Brésil ou en Argentine.

Perso, je suis pour l’EDF, mais si Messi soulève la coupe, ça fera une belle histoire.

+1 avec Platon. Les déclas sont maladroites, mais pas scandaleuses.

Il ne faut pas oublier que, parfois, les joueurs de foot sont des amoureux du foot. En tant que tels, ils ne peuvent qu'admirer un Messi, qui illumine la planète foot depuis 15 ans. C'est tellement plus élégant qu'un patriotisme étroit. Après, en tant qu'anciens joueurs de l'EdF, ils feraient sans doute mieux de la fermer et d'attendre le résultat de la finale pour se réjouir de la victoire des bleus ou pour touitter que bon, ils sont déçus, mais qu'ils félicitent l'Albiceleste et Messi.

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Griezmann, l’autre dieu du stade

Maestro|Crucial à l’avant, infatigable à la récupération, aucun joueur du Mondial n’est plus décisif que lui des deux côtés du terrain.

Cyril Simon Envoyé Spécial À Doha

Antoine Griezmann est un homme pressé. À 31 ans, le Mâconnais a une deuxième Coupe du monde à gagner. Mais pour les yeux rieurs du sélectionneur marocain, le numéro 7 a quand même pris quelques secondes de son temps mercredi soir au centre de la pelouse du stade Al-Bayt. « Alors toi, tu ne vas pas t’arrêter ou quoi ? » lui lance Walid Regragui, beau joueur malgré l’élimination. On ne sait pas ce que lui a répondu l’homme du match. Dommage car c’est la question à un million depuis le début de ce tournoi !

Comment la pile Duracell de l’équipe de France fait-elle pour recharger ses batteries ? On veut bien attendre encore 90 minutes, ou 120, pour avoir la réponse. On veut bien attendre qu’il oxygène une nouvelle fois le jeu tricolore face à l’Argentine, et ventile d’un énième dégagement catastrophe la gorge serrée des fans des Bleus. D’ici là, les autres parleront très bien pour lui.

Commençons par l’homme à qui il aime faire la cour depuis mars 2014 et la première de ses 116 sélections. « Antoine ne calcule vraiment pas les efforts. Sur le plan défensif, il a encore été remarquable aujourd’hui, l’a félicité Didier Deschamps après la demi-finale. Il a un gros abattage, il bouche les trous et, à chaque fois qu’il touche le ballon, il essaye d’éclairer le jeu et le fait plutôt bien. »

Ousmane Dembélé en a remis une couche ce vendredi. De 2019 à 2021, l’ancien Rennais l’avait vu perdre sa joie de vivre et sa grinta du côté du FC Barcelone. Aujourd’hui, les deux sont à nouveau réunis en bleu. Avec comme missions communes d’animer le couloir droit et de le protéger en soutien de Jules Koundé. « Ce poste lui va très bien. Il m’a souvent dit à l’époque que s’il jouait numéro 6 ou 8, il serait très bon », a confié l’ailier droit. DD n’est pas le premier entraîneur à recentrer un talent offensif vers des tâches plus variées, l’âge avançant.

Une science de la passe qui confine à la magie

Cette métamorphose date des premiers jours du rassemblement avant le départ pour Doha. L’absence de Paul Pogba et N’Golo Kanté, les deux garants de l’équilibre en Russie, oblige à repenser tout l’entrejeu. Sur le paperboard, le binôme va laisser place à un triangle capable de « se déformer », selon l’expression de l’adjoint, Guy Stephan. Aurélien Tchouaméni se voit installer en pointe basse avec, devant lui, Adrien Rabiot et Griezmann dans des rôles hybrides de pistons-relayeurs. Ce qui rend le cas Grizou si spécial, c’est que sa polyvalence n’a pas nivelé pas ses qualités par le bas. Il reste lucide et étincelant partout. Raison pour laquelle Pogba le surnomme désormais « Griezmannkanté ».

Kylian Mbappé et Leo Messi braquent toute l’attention. Souvent à raison. Ils sont respectivement impliqués dans 45 et 43 occasions ayant abouti à un tir. Derrière, le joueur le plus actif offensivement s’appelle... Griezmann (30). Comment expliquer cela, alors que, face au Maroc, il n’a joué que deux ballons dans la surface adverse ? Par sa science de la passe, qui confine parfois à la magie. En une touche, deux ou parfois trois — s’il n’a pas le choix —, il accélère le jeu et peut l’envoyer dans une autre dimension, de préférence au service des fusées Mbappé et Dembélé.

À Doha, il ne terminera pas parmi les meilleurs buteurs comme en 2018. En Russie, il avait marqué quatre fois, dont deux en finale. En revanche, le classement des passeurs est à sa portée. Il partage pour l’instant la première place (3 passes décisives), aux côtés du Portugais Bruno Fernandes, de l’Anglais Harry Kane et de la Pulga de l’Albiceleste, qu’il affronte ce dimanche. Le Français détient aussi le record du nombre de centres réalisés (35).

Cette activité s’avère colossale au regard de son volume sans le ballon. Là aussi, Grizou culmine à un niveau d’exception. Face aux Lions de l’Atlas, aucun Français n’a réalisé plus de courses de pressing que lui (69). Ce n’est pas toujours bon signe pour les hommes de devant. Cela veut dire qu’ils patientent et qu’il manque un trait d’union pour jouer la contre-attaque.

11,47 km avalés par match, trois de plus que Mbappé

Mais les responsabilités défensives du relayeur sont immenses. Eriksen (Danemark) et Bellingham (Angleterre), parmi les meilleurs manieurs de ballon au monde, en savent quelque chose. Griezmann a eu comme consigne de bloquer leurs relances et de les empêcher de transpercer les lignes.

Au total, le Colchonero a déjà avalé près de 60 km, soit une moyenne de 11,47 km toutes les 90 minutes. En comparaison, les deux étoiles du PSG citées plus haut en parcourent trois de moins à chaque match. Si Griezmann était un dieu du stade, il porterait un dossard de décathlonien. Pas l’athlète le plus exposé mais assurément l’un des plus fascinants et iconiques.

Le Parisien

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Trois formules à la carte

Lionel Scaloni laisse planer le doute entre plusieurs systèmes pour affronter la France. Avec, pour chacun, des motivations et des intérêts variés. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL

JOSÉ BARROSO DOHA – Lionel Scaloni le répète souvent : il fait partie de ces techniciens qui accordent une importance relative aux systèmes tactiques. Le sélectionneur argentin aime à dire que c’est une image de départ à un instant T, qui ne reflète pas la manière dont les joueurs se l’approprient et qui est susceptible de changer en fonction des événements. De fait, lors de cette Coupe du monde, il a fait évoluer son équipe dans plusieurs schémas, y compris en le modifiant en cours de match, ce qu’il a fait régulièrement.

Pour lequel optera-t-il contre la France, demain ? Pour le moment, Scaloni laisse planer le doute, sachant qu’il a tout son groupe à disposition, sauf « Papu » Gomez (cheville). Hier soir, lors de la première vraie séance de travail sur les terrains de l’Université du Qatar (les joueurs étaient au repos mercredi et les titulaires de la demi-finale sont restés en salle jeudi), il a ainsi testé plusieurs organisations, en faisant appel à des joueurs différents. Chacune de ces formules obéit à des motivations et des intérêts variés.

Faut-il y voir un signe ? La première mise en place des titulaires attendus l’a été avec une défense à cinq, en intégrant Lisandro Martinez en axial gauche. L’Argentine avait commencé de cette manière contre les Pays-Bas en quarts de finale (2-2, 4-3 aux t.a.b.), mais c’était aussi pour répondre au 3-4-1-2 de Louis Van Gaal. Cette option, plus prudente, répondrait à la volonté de renforcer la ligne arrière et de limiter la force de frappe offensive des joueurs de Didier Deschamps. Nicolas Otamendi serait chargé de s’occuper d’Olivier Giroud dans l’axe tandis que le 5-3-2 réduirait les espaces entre les latéraux et les axiaux, dans ces zones où Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé peuvent faire mal. Adjoint de Jorge Sampaoli au Mondial 2018, Scaloni n’a pas oublié les ravages occasionnés par lejoueur du PSG lors du huitième de finale entre les deux équipes (4-3 pour les Bleus). Accessoirement, dans une telle configuration, le coach sud-américain pourrait privilégier dans le couloir droit un profil plus « offensif », à savoir Nahuel Molina, très en vue contre les Néerlandais.

Le 4-4-2 : système le plus utilisé en début de match

Hier soir, Scaloni a ensuite fait sortir Martinez au profit d’Angel Di Maria dans une position d’ailier droit. Il y aurait alors deux possibilités. Contre la Pologne au premier tour (2-0) et en huitièmes contre l’Australie (2-1), l’Argentine avait évolué en 4-3-3, avec Lionel Messi en « faux 9 ». Di Maria occuperait l’aile droite et Julian Alvarez la gauche, chacun en faux pied pour pouvoir occasionnellement se recentrer et combiner avec leur capitaine. Avec une ligne de quatre derrière, il y aurait débat pour les latéraux. Gonzalo Montiel, qui avait bien contenu Neymar en finale de la Copa America 2021 (1-0), offre plus de garanties défensives que Molina. À gauche, Marcos Acuna a une longueur d’avance, mais Nicolas Tagliafico a été très bon contre la Croatie et a réalisé des entrées intéressantes auparavant.

L’autre hypothèse est un 4-4-2, système le plus utilisé en début de match sur cette Coupe du monde : contre l’Arabie saoudite (1-2), le Mexique (2-0) et la Croatie (3-0). Avec Di Maria sur l’aile droite donc, une paire De Paul-Enzo Fernandez (devenu titulaire depuis la Pologne) au milieu et Alexis Mac Allister sur l’aile gauche (et le duo Messi-Alvarez devant). Ou bien avec Leandro Paredes qui prendrait numériquement la place de Di Maria. Dans ce cas, l’homme qui a fait déraper le quart contre les Bataves formerait un double pivot avec Fernandez (De Paul serait excentré droit, Mac Allister à gauche), avec la mission d’apporter de la pugnacité. C’est en effet une des interrogations de cette finale : de tous les adversaires croisés par l’Argentine, les Tricolores constituent le collectif susceptible de lui opposer le plus d’arguments en termes d’impact, d’explosivité et de puissance.

L'Equipe

De mon côté l’argentine ne m’a pas impressionné. Ils ont eu un parcours privilégié pour arriver en finale dans cette partie de tableau plus clémente surtout avec le Brésil en moins. Il n’ont pas rencontré de cadors européen et c’est selon moi le type d’équipe qui nous réussisse bien avec notre jeu de transition et nos ailiers rapides. Néanmoins je nous voit pas favoris au vu de l’atmosphère du stade, de nos blessés / malades et l’agressivité argentine peu sanctionné. J’espère aussi un arbitrage impartial. Attention aux petits appuis de leurs attaquants en tombons pas dans le panneau en subissant des pénalty. Sinon, comme il y a 4 ans, Mbappé peut leur faire très mal

Y'a 10 bûcherons et un métronome

Qu’est-ce qui vous choque ?
Ça ne reste que du foot. Il faut arrêter de mettre du patriotisme à tort et à travers.
La France n’est pas un vrai de pays de foot. La place de ce sport dans la société française n’est pas la même qu’au Brésil ou en Argentine.

Perso, je suis pour l’EDF, mais si Messi soulève la coupe, ça fera une belle histoire.

La belle histoire elle s'est terminée à partir du moment où il a signé au psg comme un vulgaire mercenaire.

En Autriche, l'Argentine est donnée légèrement favorite et l'on s'attend à peu de buts.

voila pourquoi la France n'est pas un pays de foot, chercher a foutre la merde un jour de finale, inimaginable ailleurs

Qu’est-ce qui vous choque ?
Ça ne reste que du foot. Il faut arrêter de mettre du patriotisme à tort et à travers.
La France n’est pas un vrai de pays de foot. La place de ce sport dans la société française n’est pas la même qu’au Brésil ou en Argentine.

Perso, je suis pour l’EDF, mais si Messi soulève la coupe, ça fera une belle histoire.

C'est un narratif de sport individuel qui nous est servi avec Messi, encore pire avec cette albiceste de soldats au service du sacre de la Pulga, desole de ne pas trouver ca ultra-bandant.

Meme au temps de la superbe de Zidane ou du vrai Ronaldo on a jamais vu ca, ils etaient mis en avant mais integres a un collectif, c'est un truc qui a commence avec CR7, Messi et Neymar, l'individualisation du football a outrance

voila pourquoi la France n'est pas un pays de foot, chercher a foutre la merde un jour de finale, inimaginable ailleurs

Bof, p'tite bite ça. J'ai vu passé un tweet de la Une du site de l'equipe de ce matin "Messi le défi d'une vie", un jour de finale de coupe du monde de l'equipe de France. Alors sortir des crasses sur l'EdF, ils ne sont plus à ça prés.

Qu’est-ce qui vous choque ?
Ça ne reste que du foot. Il faut arrêter de mettre du patriotisme à tort et à travers.
La France n’est pas un vrai de pays de foot. La place de ce sport dans la société française n’est pas la même qu’au Brésil ou en Argentine.

Perso, je suis pour l’EDF, mais si Messi soulève la coupe, ça fera une belle histoire.

La belle histoire elle s'est terminée à partir du moment où il a signé au psg comme un vulgaire mercenaire.

Bof. Vu que le Barça ne voulait pas le resigner, il aurait pu signer n’importe où.
Donc, il fait juste son métier.

Perso, je m’en fous royalement qu’il soit à Paris, Chelsea ou Milan, ça reste un immense joueur mais une petite personne (cf toutes les histoires sorties quand il était en Catalogne). Zidane ne valait pas mieux (foutre en l’air le travail de toute une équipe sur un coup de tête), Maradona non plus…

Sinon, je ne vois pas l’EDF favorite, au contraire de certains bookmakers. Je pense que l’Argentine a plus de joueurs au niveau au total. J’ai mis une pièce sur l’Argentine.
Mais j’espère me tromper.

https://twitter.com/footballogue/status/1604033809053208576?s=46&t=1MTC4QwSghjUhQuegPmdZA

Quel mongole... Et en plus il a joué pour l'EDF ce tromblon

Allez les bleus