José Anigo s’est exprimé, larme à l’œil et main sur le cœur, sur la perquisition qui a eu lieu hier à son ancien domicile d’Aubagne : « Je veux venir et être entendu même si je dois passer deux jours en garde à vue. On peut regarder les comptes, chercher partout si j’ai de l’argent. J’en ai tellement marre de toutes ces histoires que je veux que ça finisse. Je suis sur une période de reconstruction après avoir touché le fond moralement… Je n’en peux plus de tout ça ».
Il n’a qu’à démissionner…