Vous avez passé votre weekend à essayer d’oublier ? De faire comme si l’OM n’avait pas joué vendredi soir ? Comme si vous n’aviez pas regardé un mauvais match de L1 ? Et bien, OMLive est là pour vous aider à sourir à ce mauvais souvenir. Ainsi, la grisaille du début de semaine sera un peu moins sombre pour vous.
Les équipes :
Reims : Agassant, Mandi, Trafalcard ou presque, une fourmi, Signorino, Krychowiak, Devaux, Mads Winther Albaek (fils d’Alan), pas très Fortes, Ayité, et un rescapé de la Révolution Française.
OM : un cachalot échoué sur une plage, un éléphant de mer perdu sur une pelouse, deux aveugles, un Morel, un milieu défensif, un tueur de gabian, un robocop d’accra city, un gars qui se prépare pour le Brésil, un gars qui rêve de se préparer pour le Brésil, un Brandao du pauvre.
Pelouse : entourée par un beau petit stade.
1ere période :
Le match commence par des attaques rémoises. Leur entraineur ayant regardé 5 minutes quelques vidéos de matchs de l’OM, il a pu constater que nos points faibles sont les défenseurs latéraux. Et sa tactique manque de payer dès la 4ème minute. Ayew fauche De Préville, qui tombe comme une gerbe de blé dans la surface. Le fauchage a lieu en dehors de la surface. Et l’arbitre siffle coup franc. Alors soit il a bien vu, soit il croit que c’est dans la surface qu’à eu lieu la faute, mais pour faire honneur à sa grande corporation, il décide de ne pas donner de pénalty.
Sur le coup franc, Passi demande qu’on mette 3 joueurs dans le mur. Mandanda en met 2.
Reims continue d’attaquer. Mais une dizaine de minutes après la faute d’Ayew, c’est l’OM qui manque de marquer : un centre, tête de Gignac, et parade d’Agassa. Au passage, les micros d’ambiance de BeInSport nous permettent d’apprécier toute la créativité verbale de certains membres du staff marseillais.
La défense, et le Millieu marseillais reprennent petit à petit du poil de la bête, et Reims devient moins dangereux. De leur coté, les attaquants olympiens restent brouillons, et quand ils ne le sont pas, c’est Agassa qui fait des siennes. Sur le banc, Passi demande aux offensifs de jouer en triangle, Payet et Valbuena tentent des percées en solitaire.
Ayew se fait arracher quelques ligaments (21ème), Valbuena tombe deux fois : la première fois, il prend un coup et tombe au sol, ce qui permet d’obtenir un coup franc (9ème), la deuxième fois, il ne prend pas de coup, fait un quadruple axel double boucle piqué, et obtient un coup franc (44ème). Les deux coup francs sont tirés par Payet mais ne donnent rien. Sur le banc, Passi est triste : lui veut voir Cheyrou tirer les coup-francs.
Mi-temps : Dans l’ensemble, le staff est content de la prestation des joueurs. Pas de but encaissé. Seuls bémols : Spinosi a un peu mal à la gorge et Passi semble un peu déprimé.
2ème période :
Le match recommence sur une disparition. Celle d’un vol de nuit du coté de la chaine des Andes. La semaine dernière déjà, Gignac avait tiré loin au dessus des cages. Mais l’espoir n’est pas perdu pour MH370. José Anigo tient à préciser que d’après lui, le pilote est complètement innocent dans cette disparation. Sa philosophie est : « ce n’est jamais la faute du pilote quand on se crashe ».
L’OM continue de pousser, Reims a quelques contres inoffensifs, jusqu’au double arrêt de Mandanda à la 66ème : heureusement, les frappes étaient relativement près du sol. Dans la minute qui suit, Ayité récupére le ballon du coté de Fanni, qui se place à 3 mètres et attends. Signorino reçoit le ballon dans le dos du Uwe Boll du pauvre, il prend le temps de centrer malgré la sortie de n’Koulou de son axe pour compenser Fanni. Sur le centre, Devaux peut mettre une tête en lucarne, Mendes étant en retard (pas facile de couvrir l’axe tout seul). Mandanda, tel un concorde fonctionnant sur 3 réacteurs ne réussit pas à s’envoler. Ca fait but.
La révolte marseillaise commence alors : Passi hurle des consignes et Spinosi des insultes. Mais comme personne ne les écoute jamais, la dite-révolte s’arrête là. Les joueurs sur le terrain ne se bougent pas plus. Sauf Payet, qui à la 73ème court à fond pour aller se mettre au chaud sur le banc, pendant que Thauvin rentre à sa place. Passi n’y comprend rien, il avait prévu Romao pour Imbula.
Puis, à la 80ème, sur une offensive anodine, Valbuena fait une transversale pour Fanni qui est bien monté. Ce denier peut centrer. Au point de pénalty, Ayew prolonge le ballon de la tête avant que les mains d’Agassa ne s’en saisissent, Gignac se retrouve tout seul, avec le ballon à 3 mètres des buts vides. Son plat du pied est cadré ! Bakayoko est triste que les grandes traditions se perdent.
Le banc saute de joie, crie, hurle son bonheur au point qu’on n’entend presque plus Spinosi.
Maintenant qu’il a marqué, Gignac peut reprendre ces habitudes, et rate sa volée dans la minute suivante. Baka est rassuré. Il reprend totalement confiance dès que Thauvin rate à son tour son tir à la 86ème.
Le dernier changement de joueur des marseillais à lieu à la 91ème, Lemina remplace Cheyrou. Passi en perd son latin : pourquoi que 2 changements dont un inutile dans les arrêts de jeu ? Baup a pourtant bien été viré ?! On l’aurait réembauché ? Il en a assez, on ne lui dit jamais rien ! Cependant, il se garde de le dire à haute voix, pas question de se faire traiter de Caliméro par Anigo devant tout le monde.
Le match vu du forum :
Merci qui ? Merci José :
Chouette , j’ ai score exact aux pronos@Jarlandine
Merci qui ? Merci José :
Au moins, on prendra un point sur Lyon et Saint-Etienne @Randoulou
Merci qui ? Merci José :
Le Barça 2009, c’était du pipi de chat à côté de notre foot total du moment. @Pretender
merci qui ? Merci José :
Bibpanda, l’OM n’a pas perdu@Tahiice
Merci qui ? Merci José :
80% des recrues sur le banc@Pancho11
Merci qui ? Merci José :
Faire le nul contre une equipe de cadavre comme l’om cela vaut une defaite@riberino
Merci qui ?
Y encore des gens qui regardent les matches de l’OM…@drogba777
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